Depuis la vague de renégociations Immo qui a entraîné un manque à gagner compris entre 5000 et 30000e pour chaque crédit renégocié, les banques ont depuis 18 mois environ très fermement modifié leur discours vis à vis des clients.
La nouvelle réglementation Européenne qui devait être une avancée pour le client (la libre concurrence) a eu un effet pervers en faveur des banques, qui aujourd'hui imposent leurs règles en échange d'une offre de crédit immo attractive pour le client. Les banques mettent désormais en avant "le devoir de conseil et de surveillance absolue de la gestion des comptes de leurs clients".
Absolument toutes les banques ont reçu des amendes records ces derniers temps pour ce fameux manquement au devoir de conseil et suite à l'explosion des plaintes des clients, dont beaucoup sans fondement, mais dont les banques sortaient perdantes d'avance dans 90% des cas devant la justice.
A titre d'exemple dans un autre domaine, le fait d'augmenter un versement programmé en Assurance-Vie, ne serait-ce que de 10e supplémentaire/mois, requiert un questionnaire d'une vingtaine de minutes à poser au client et à signer. En cas de refus du client, la banque refuse la modification des versements programmés ou fait signer tout une série de "documents de mise en garde" au client.
Idem pour les Pea et Comptes-titres, qui sont aujourd'hui, avec l'accord (forcé) du client, totalement transférés vers "les filiales des Banques en Ligne" des Banques afin d'éviter tout litige.
Le discours habituel : lorsqu'un client gagne de l'argent en Bourse, c'est gràce à lui, si il perds de l'argent c'est pour mauvais conseil de son banquier / lorsqu'une entreprise croît en s'aggrandissant ou en rachetant son concurrent, c'est uniquement grace à son dirigeant, et lorsqu'une entreprise coule, le dirigeant ne se remet que rarement en cause, c'est à cause du Méchant Banquier ...
En utilisant l'argument d'absence de frais de garde et des frais de courtage environ 50% moins élevées sur la filiale en ligne : Le client devra donc obligatoirement répondre en ligne au questionnaire chaque année, sous peine d'être bloqué en page d'accueil du site et ne pouvoir effectuer aucune opération.
Après la vague de départ vers les Banques en ligne pour les Comptes-Courants, nous revoyons une vague de retour de clients qui reviennent en Banque traditionnelles. Ces dernières, qui après avoir tremblé depuis 2008, reviennent plus fortes que jamais. Les Banques en ligne ont semble t'il atteint leur point haut avec 15% (voir 20% grand maxi dans les dix prochaines années) de la clientèle pour la France.
Il n'y aura plus aucune scène de ménage avec Paal, je l'ai "ignoré" sur le site.
La nouvelle réglementation Européenne qui devait être une avancée pour le client (la libre concurrence) a eu un effet pervers en faveur des banques, qui aujourd'hui imposent leurs règles en échange d'une offre de crédit immo attractive pour le client. Les banques mettent désormais en avant "le devoir de conseil et de surveillance absolue de la gestion des comptes de leurs clients".
Absolument toutes les banques ont reçu des amendes records ces derniers temps pour ce fameux manquement au devoir de conseil et suite à l'explosion des plaintes des clients, dont beaucoup sans fondement, mais dont les banques sortaient perdantes d'avance dans 90% des cas devant la justice.
A titre d'exemple dans un autre domaine, le fait d'augmenter un versement programmé en Assurance-Vie, ne serait-ce que de 10e supplémentaire/mois, requiert un questionnaire d'une vingtaine de minutes à poser au client et à signer. En cas de refus du client, la banque refuse la modification des versements programmés ou fait signer tout une série de "documents de mise en garde" au client.
Idem pour les Pea et Comptes-titres, qui sont aujourd'hui, avec l'accord (forcé) du client, totalement transférés vers "les filiales des Banques en Ligne" des Banques afin d'éviter tout litige.
Le discours habituel : lorsqu'un client gagne de l'argent en Bourse, c'est gràce à lui, si il perds de l'argent c'est pour mauvais conseil de son banquier / lorsqu'une entreprise croît en s'aggrandissant ou en rachetant son concurrent, c'est uniquement grace à son dirigeant, et lorsqu'une entreprise coule, le dirigeant ne se remet que rarement en cause, c'est à cause du Méchant Banquier ...
En utilisant l'argument d'absence de frais de garde et des frais de courtage environ 50% moins élevées sur la filiale en ligne : Le client devra donc obligatoirement répondre en ligne au questionnaire chaque année, sous peine d'être bloqué en page d'accueil du site et ne pouvoir effectuer aucune opération.
Après la vague de départ vers les Banques en ligne pour les Comptes-Courants, nous revoyons une vague de retour de clients qui reviennent en Banque traditionnelles. Ces dernières, qui après avoir tremblé depuis 2008, reviennent plus fortes que jamais. Les Banques en ligne ont semble t'il atteint leur point haut avec 15% (voir 20% grand maxi dans les dix prochaines années) de la clientèle pour la France.
Il n'y aura plus aucune scène de ménage avec Paal, je l'ai "ignoré" sur le site.
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