Crédit immobilier > Domiciliation + CB obligatoire

C'est comme tromper sa femme avec sa voisine, ce n'est pas illégal, mais ce n'est pas très moral
Moral? il faut faire des kilomètres pour respecter une moralité?..moi je dirais que ce n'est pas très malin, car il y a plus de chance de se faire prendre... mais le coeur a ses raisons....

et le coeur n'a que faire des relations commerciales; si la domiciliation des revenus est contractuelle, alors il faut respecter le contrat, sinon les revenus vont dans la banque qui offre de l'intérêt pour le détenteur;
 
Il me semble logique et moral de domicilier ses revenus auprès de la Banque qui vous fait confiance pour vous prêter 100 ou 300 ke.
Alors primo, et ce soir, je vais être un brin désagréable avec vous ; car le jour où la morale sera une des règles de conduite du monde bancaire, il faudra nous faire signe ...

Ensuite admettons que, comme client multi-bancarisé, je sollicite auprès de mon banquier principal mais aussi auprès de 2 ou 3 de ses concurrents une proposition de crédit, ce qui me semble logique ; alors bien entendu, et ayant encore un prêt en cours de remboursement, j'ai déjà promis à l'un de vos confrères la domiciliation de mes revenus ....

A la suite de cette consultation, je vais disposer de plusieurs propositions (qui ne sont pas encore des offres de prêt), et comme vous êtes en compétition sur ce point, vous pouvez vous trouver bien placé ; alors bien entendu, je dispose d'un bon ratio d'endettement (4 à 5 fois la mensualité), mais vais-je pour autant devoir domicilier la totalité de mes revenus (et donc faire un enfant dans le dos à l'un de vos confrères), juste pour verser 4 à 5 fois le montant de la mensualité d'emprunt ??

Est-ce bien à la fois moral et surtout logique ?

C'est comme tromper sa femme avec sa voisine, ce n'est pas illégal, mais ce n'est pas très moral. (sauf si votre femme refuse depuis 6 mois que vous la touchiez :cool:)
Vous faites parfois de curieuses comparaisons ; mais avec son banquier, ne sommes-nous pas en union libre?

La société actuelle, par le biais notamment de la publicité, nous formate tous sans exception pour tout vouloir sans quasiment rien payer.
Ca a du bon, voir du très bon, mais ça a ses limites.
Je suis bien d'accord pour qu'il existe des limites, mais à condition quelles restent raisonnables, et donc qu'elles ne deviennent pas excessives ...

Alors que souhaitez-vous donc ?
Que je domicilie mon salaire, mais après avoir donné une instruction à mon employeur de le verser en deux parties, l'une chez un de vos confrères pour un montant qui me permette de poursuivre normalement la gestion du compte déjà ouvert, puis de ne verser que le solde sur le compte qui va servir à couvrir l'emprunt contracté ?
 
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Bonsoir Paal,

Nous avons effectivement certaines pensées différentes, et heureusement, ça fait avancer les échanges sur le forum et je vais nuancer les miennes.

Selon moi, un crédit immo de 15, 20 ou 25 ans, n'est ni un mariage ni une union libre mais plutôt un Pacs.

Quand je parle de morale, ce n'est pas forcément vis à vis de la Banque, mais envers son conseiller qui a monté le dossier de prêt, surtout si le contact humain s'est bien passé.
Le conseiller n'est pas commissionné, mais indirectement la domiciliation contribue à le faire vivre et maintenir son emploi en fidélisant le client sur la durée. A nuancer si il n'y a eu aucun feeling avec son conseiller.

Après une période ou moi aussi je voulais tout sans rien payer, notamment tout acheter sur internet car moins cher, je suis peu à peu revenu à faire mes achats au niveau local, car même si je paie un peu plus cher (en vérifiant que la différence de prix reste raisonnable), j'ai une relation humaine, moins de mauvaises surprises et moins d'embêtements en cas de problème.

C'est un choix à faire et ce n'est que ma vision, étant moi même conseiller financier en banque traditionnelle mais en distinguant bien la différence entre l'image d'une Banque et l'image du simple conseiller financier qui se démène au quotidien pour la satisfaction de ses clients et dont la vie pro empiète largement sur la vie privée.

Même si au final, c'est la BANQUE qui reste le plus grand gagnant dans l'opération.
 
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Bonsoir Paal,
Nous avons effectivement certaines pensées différentes, et heureusement, ça fait avancer les échanges sur le forum et je vais nuancer les miennes.
Selon moi, un crédit immo de 15, 20 ou 25 ans, n'est ni un mariage ni une union libre mais plutôt un Pacs.
Il y a une chose bien plus simple, qui s'appelle le contrat, et qui nécessite que l'échange de consentements, sur les droits et obligations relevant de cette situation ....
Et c'est presque aussi vieux que la nuit des temps ...

En choisissant le Pacs, vous semblez en avoir oublié un aspect : on peut aller jusqu'à le rompre, sans qu'il y ait consentement de la partie adverse ....

Quand je parle de morale, ce n'est pas forcément vis à vis de la Banque, mais envers son conseiller qui a monté le dossier de prêt, surtout si le contact humain s'est bien passé.
Le conseiller n'est pas commissionné, mais indirectement la domiciliation contribue à le faire vivre et maintenir son emploi.
En quoi le client devrait-il devenir garant ou caution (même sur le plan moral) d'un versement de rémunération qui ne le concerne aucunement ?

Vous imaginez un peu la transposition de ce type de raisonnement sur la caissière de supermarché, ou sur le magasinier chez le commerçant du coin ?

Après une période ou moi aussi je voulais tout sans rien payer, notamment tout acheter sur internet car moins cher, je suis peu à peu revenu à faire mes achats au niveau local, car même si je paie un peu plus cher (en vérifiant que la différence de prix reste raisonnable), j'ai une relation humaine, moins de mauvaises surprises et moins d'embêtements en cas de problème.
Certes, mais chacun raisonne à sa façon, mais cela présente des limites, notamment celles de laisser choisir les individus que l'on croise ....

C'est un choix à faire et ce n'est que ma vision, étant moi même conseiller financier en banque traditionnelle mais en distinguant bien la différence entre l'image d'une Banque et l'image du simple conseiller financier qui se démène au quotidien pour la satisfaction de ses clients et dont la vie pro empiète largement sur la vie privée.
Là, vous nous parlez des contraintes de votre activité, alors que vous avez signé un contrat avec votre employeur qui les prévoit ; en quoi le client devrait-il se trouver de quelque façon que ce soit mêlé à cela ??

De nombreuses personnes font la distinction : un petit exemple, j'ai une liaison internet Free qui est maintenant en panne depuis le 26/04 pour une raison qui ne porte pas de nom ; cela va bientôt faire 2 mois ...

J'ai fort heureusement une boutique Free pas trop loin, et les personnes portant un gilet de la marque, finissent par me lire de façon répétitive le même message, mais ne me proposent rien dans un délai raisonnable ....

Comme la télé n'était pas sur la fibre auparavant, je la reçois encore par un relais hertzien ....

Alors c'est vrai, il y a des gens qui font une très grosse différence entre le service au client, et l'idée qu'ils peuvent avoir sur leur comportement qui engage tout de même la notoriété de l'entreprise qu'ils représentent ...

Même si au final, c'est la BANQUE qui reste le plus grand gagnant dans l'opération.
Oui, dans les banques, c'est un peu comme dans les casinos ; s'ils réalisent de mauvais affaires, c'est qu'il y a un loup ; autrement, cela reste une rente de privilégiés ....

Il n'y a qu'à regarder leurs résultats financiers pour s'en convaincre ....
 
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Juste pour conclure et exposer les propositions que moi et mes collègues faisons à nos clients, au risque de vous choquer :

- Vous domiciliez vos revenus et vous souscrivez l'assurance de prêt, éventuellement l'assurance habitation, et en plus la relation commerciale a été cordiale : mon client va avoir du 1.5%, voir moins, et je défends avec conviction le dossier auprès de ma hiérarchie. Ma hiérarchie suivra mes recommandations.

- Vous êtes un prospect, vous exigez un taux, vous ne souhaitez ni domicilier vos revenus, ni souscrire l'assurance du prêt et encore moins l'assurance habitation : mon client aura du 2% voir du 2.2%, je démonte le dossier auprès de ma hiérarchie en expliquant qu'il n'y a aucune chance d'établir une relation durable avec le client.
Ma hiérarchie suivra mes recommandations et je ne me ferais pas démonter à mon tour en devant justifier en quoi j'ose présenter un tel dossier qui n'intéresse en aucun la Banque au niveau local.


Il faut absolument faire la différence entre la Banque de détail et la banque d'investissement. La Banque de détail reste une Pme locale qui reste une société commerciale et "humaine", et la division Banque d'Investissement qui est un ogre sans pitié et représente plus des 2/3, voir des 3/4 des profits globaux)
Avant de travailler en banque, moi aussi j'avais cet image de voleur et d'arnaqueur du banquier. Depuis, en ayant compris comment fonctionne et vit une Banque de détail, je réagit comme un chef d'entreprise qui doit faire tourner sa boutique (seuls 40% des clients génèrent des profits, et dans la majorité des cas ce ne sont pas les plus aisés...), mais tout en gardant l'esprit ouvert et un esprit critique (je suis cash, vous l'avez certainement vu dans mes interventions sur le forum, je sais dire lorsque ma banque fait de la Merde et lorsque j'argumente pour la défendre).

Un crédit immo ne rapporte rien (surtout en cette période de taux bas) à une banque, alors si en plus il n'y a pas la domiciliation, aucun intérêt de prendre un risque en finançant un projet immo, qui plus est avec un client au profil "chieur" qui n'hésitera pas à nous attaquer en justice à la moindre contrariété.

Et pour faire un lien avec un autre de nos échanges, la seule solution est (étaient) pour ce type de clientèle de faire appel à un courtier.... sauf que les courtiers amènent dorénavant aux sièges des banques des dossiers avec quasiment plus de contreparties de la part du client que la demande d'un conseiller en banque traditionnelle (La grande majorité des dossiers apportés par les courtiers incluent un accord de principe du client à domicilier ses revenus et souscrire les assurances habitations et automobiles).

La domiciliation devient quasiment obligatoire par la force des choses.
La seule solution éventuelle est de tout annuler 1 an après la mise en place du dossier du prêt immo, ni vu ni connu, en envoyant ses demandes de résiliation directement au siège.

Enfin, prenez l'exemple de la publicité actuelle en grande pompes de Fortunéo à 1.65% sur 15 ans alors que j'ai financé un même projet pour 0.9% en banque traditionnelle. C'est comme Free, je pensais avoir tout compris lorsque j'y ai été client pendant 10 ans, aujourd'hui j'ai compris qu'après avoir profité de leurs très belles offres à pas cher pendant cette période, aujourd'hui ils ont besoin de faire enfin du fric après leur période de conquête de clients, et les opérateurs d'origines font aujourd'hui souvent mieux (en terme de réseau et de contenu) et à moins cher.
 
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Juste pour conclure et exposer les propositions que moi et mes collègues faisons à nos clients, au risque de vous choquer :
Vous souhaitiez me choquer, c'est réussi, et le comportement des collaborateurs de votre banque (je n'ai plus aucune envie de savoir laquelle c'est ...) ne correspond pas à mon concept de ce que devrait être le rôle du conseiller financier que vous revendiquez, et se confirme n'être en fait qu'une vente de packages de produits plus ou moins liés ...

Mais si cela me choque, cela ne me surprend pas pour autant (car ce n'est absolument pas nouveau), et comme mon expérience s'est déroulée dans le domaine de la finance et de la gestion de l'entreprise, avec un parcours assez diversifié, si l'on excepte mon dernier poste où j'y ai passé plus de 25 ans, j'ai des exemples multiples de ce type de situation ....

Vous pratiquez une logique qui ne fait qu'aboutir à un déséquilibre contractuel, situation en permanence fragile par nature (lorsque les dés sont pipés au départ ...) ; il me semble qu'il faut que vous preniez conscience de cette fragilité permanente, même si cela devait vous conduire à vous remettre en cause ...

Juste une information factuelle : durant mon expérience de finance, j'ai rencontré beaucoup de personnes (je sais qu'elles sont beaucoup moins nombreuses que celles des personnels de banque dont c'est la mission exclusive), et vous devriez vous demander pourquoi ces personnes rencontrées venaient chercher un avis externe, et ne se contentaient pas de l'avis ou de la proposition apportés par le prétendu conseiller financier ; vous avez un titre (j'y suis assez peu sensible, mais c'est une autre histoire), mais avez-vous bien la sensation d'être le conseiller du client qui se présente ?

J'ai déjà une réponse (et j'ai la conviction qu'elle est très souvent exacte !!)
 
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Je suis un commercial à 75% et un conseiller à 25%.
J'ai un devoir de conseil envers mon client et un code de déontologie à respecter.
J'ai un devoir de résultat envers mon employeur et j'ai également un devoir de suivi de la gestion bancaire de mes clients, et principalement à ceux à qui l'on a fait confiance pour prêter 100,200 ou 300ke.

Aujourd'hui de plus en plus de clients en surendettement portent plainte contre la banque avec comme motif que nous n'aurions jamais dû financer leur projet et que nous ne les avons pas suivi dans la gestion de leur comptes. Si nous n'avons pas les copies des fiches de salaires du client et tous les justificatifs de revenus d'il y a 10 ou 15 ans lors de l'octroi du prêt... nous sommes dans la merde... pour nous défendre.

Paal, vous prenez plaisir à lancer constamment des piques. Je ne sais pas si vous étiez spécialisé dans la gestion d'entreprises caritatives ou si vous vivez encore dans le monde de Oui-Oui contre les méchants banquiers.

Je vous laisse le lien d'un article concernant les prêts immo et la domiciliation bancaire. Bon week end à tous

Ouest France 23/02/2018
 
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Je suis un commercial à 75% et un conseiller à 25%.
J'ai un devoir de conseil envers mon client et un code de déontologie à respecter.
Qui fixe la répartition ?

Déjà que ce n'est pas votre client, mais celui de la banque, ce qui est un poil différent ....

J'ai un devoir de résultat envers mon employeur et j'ai également un devoir de suivi de la gestion bancaire de mes clients, et principalement à ceux à qui l'on a fait confiance pour prêter 100,200 ou 300ke.
Et lorsqu'il arrive que votre prétendu code déontologique, vient en conflit avec les objectifs de résultat de votre employeur, que choisissez-vous ?

C'est bien le code déontologique qui passe à la trappe, n'est-ce pas ....

Alors soyez plus objectif, vous êtes commercial à 95%, et peut être par chance conseiller, mais seulement pour le solde !

Aujourd'hui de plus en plus de clients en surendettement portent plainte contre la banque avec comme motif que nous n'aurions jamais dû financer leur projet et que nous ne les avons pas suivi dans la gestion de leur comptes.

Si nous n'avons pas les copies des fiches de salaires du client et tous les justificatifs de revenus d'il y a 10 ou 15 ans lors de l'octroi du prêt... nous sommes dans la merde... pour nous défendre.
Ce n'est tout de même pas si compliqué de demander ce qui existe en France pour tous les contribuables, à savoir un avis d'imposition des revenus ....

Mais vous admettrez qu'entre la communication d'un revenu périodique, et l'obligation de domicilier ces mêmes revenus, ce n'est pas la même chose du tout !!

Et je n'ai rien contre le fait d"avoir à fournir chaque année un avis d'imposition ou une attestation patronale du revenu perçu.

En en consultant un des miens, vous auriez probablement fait le tronche, surtout fourni sans une explication nécessaire pour la compréhension de son contenu ...

Paal, vous prenez plaisir à lancer constamment des piques.
Je ne sais pas si vous étiez spécialisé dans la gestion d'entreprises caritatives, ou si vous vivez encore dans le monde de Oui-Oui contre les méchants banquiers.
Je ne prends aucun plaisir particulier et vous laisse choisir, mais ce n'est ni l'un ni l'autre ...

J'ai passé plus de 40 ans en compagnie des banques, de leurs directions et autres fondés de pouvoirs, et vous devez bien comprendre que le monde du oui-oui, il est né après que j'ai fait connaissance ...

Il existe des banquiers méchants, et j'en ai rencontré quelques uns, dont l'un aura mis à genoux une des entreprises dans laquelle j'ai travaillé ; pas de pot, c'était à l'époque où le Baron Empain aurait pu intervenir, mais il avait été enlevé, et y aura laissé un doigt au milieu des années 70 !

Je vous laisse le lien d'un article concernant les prêts immo et la domiciliation bancaire.
Bon week end à tous
Ouest France 23/02/2018

Petit extrait
« Certaines banques pourraient être tentées de les revoir a minima dans la mesure où la réglementation ne définit ni le montant ni le contour de ces avantages. Il suffit qu'une contrepartie, aussi minime soit-elle, figure dans l'offre de prêt pour valider la domiciliation des revenus. Pas certain que les clients y gagnent.
D'autant plus que la domiciliation des revenus pendant dix ans excède la durée moyenne de détention d'un prêt immobilier (sept ans environ). Les clients sont donc contraints de rester fidèles plus longtemps. »

Cela justifie alors la consultation multi-banques pour un même projet, et de retenir celui qui sera le plus attractif, sans se soucier de la pratique interne de la banque ou de ses exigences ....

Puis il va y avoir un moment où le banquier va devoir apprendre à partager avec ses confrères sur un même client ...

Surtout qu'en plus, et au delà des frais liés au changement de garantie font qu'il risque d'y avoir du grabuge dans les domiciliations bancaires ; et ce que suggérais (et ai déjà autorisé) sur demande de salariés, aura été effectif ...

Eh oui, c'est cela lorsque l'on est aussi responsable des ressources humaines, et là, il n'y aura pas photo entre satisfaire la demande d'un salarié, et une demande de son agence bancaire que je ne connais pas ...

Alors parfois, c'était du 45/55, ou bien un ratio demandé par le salarié, en fonction des mensualités et du capital restant dû ...
 
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Il me semble logique et moral de domicilier ses revenus auprès de la Banque qui vous fait confiance pour vous prêter 100 ou 300 ke.
Si dans mon offre de prêt il n'y a pas marqué de domiciliation c'est qu'il y a une confiance et puis j'ai un garant.

juste qu'il faut des fonds sur le compte ouvert chez eux.
 
Il va falloir que j'aille sur le forum pendant le weekend car on a l'impression que Paal et NSK ont passé le weekend ensemble à se balancer des assiettes dans la g.... Belle scène de ménage

Sur mon expérience personnelle de client, en 2014 j'avais mis en concurrence 2 banques dont une je suis client depuis 2004 mais pour laquelle j'ai aucun frais de gestion, et une banque rebelle bretonne chez qui nous avions été clients, et un peu parrainés pour revenir dans cette banque.
A la CMB, ma conjointe a domicilié ses revenus alors que j'ai gardé la domiciliation des miens dans une troisième banque en Ile de France.
Deux ans après, quand nous avons renégocié le taux, le conseiller de la CMB nous a expliqué comment un taux se négociait en nous présentant la grille de calcul. Donc on y a ouvert un contrat d'assurance vie de 45€ pour notre fils et rien de plus.
Mais en 2014, vis à vis de la directrice d'agence de la SG, étant client j'étais un peu gêné d'avoir refusé leur offre qui était mauvaise. Je fais toujours fonctionner mes comptes gratuitement; j'ai ouvert un livret jeune pour mon fils. Et ils ne m'en tiennent pas rigueur.

Mais NSK est malheureusement dans le vrai
 
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