Affirmation bizarre, car à lire vos propos antérieurs, j’avais cru comprendre que la Méthode Exact/Exact que vous comparez à d’autres Méthodes n’était justement jamais employée par les Banquiers ! …En France, sauf convention expresse contraire, les taux d'intérêts s'expriment en "X% l'an"
Que le mois soit de 30 ou 31 jours et/ou l'année de 365 ou 366 jours toutes les banques sans exception calculent comme je l'ai fait ci-dessus et respectent cette exigence.
Oui, par contre c’est vrai, je l’ai constaté depuis bien longtemps déjà, vous avez raison de le rappeler, les Taux d’Intérêts Conventionnels sont, en FRANCE, exprimés et utilisés en « X% l’an » sans tenir compte de la durée réelle des mois de Février ou des Années, mais dans les Bases Normalisée ou 30/360, voire Exact/365 : Nous sommes là sur des calculs approximatifs avec des durées fictives !
À partir du moment où on commence à vouloir analyser le bien-fondé de ces pratiques dans l’établissement des échéanciers, en les comparant à la Méthode Exact/Exact (Je le rappelle, ce terme doublé à un sens précis en mathématiques), donc avec des durées réelles, il convient d’aller jusqu’au bout du raisonnement pour être tout à fait juste et en tirer des conclusions fiables !
Par ailleurs, j’avais compris que cette discussion tournait autour d’une pratique, de tous les Banquiers justement, ancestrale, séculaire (La Méthode LOMBARDE datant du Moyen Âge tout de même !) et combattue depuis quelques décennies seulement maintenant (Et apparemment encore pratiquée bien qu’illégale de nos jours !), alors vous savez, les pratiques actuelles des Banquiers ne m’impressionnent pas plus que cela !
Quant à pratiquer l’évitement, j’ai aussi constaté que vous en étiez coutumier quand les arguments commençaient à manquer.
Il est effectivement difficile de reconnaître ses torts quand on s’est autant investi mais que l’on aboutit à une impasse.
Je vous rappellerai juste deux affirmations contradictoires de votre part à une journée d’intervalle :
(Jeudi 14/06/2018 12h49 Post #3449)
Conclusions:
1) - La méthode "Exact/Exact"" est bien la plus coûteuse dans tous les cas que ce soit en coût du crédit ou en TEG.
2) - Dans les deux derniers cas l'on voit que le TEG varie dans le sens inverse du coût crédit; le TEG est moins élevé dans le second cas du fait que l'ajustement est porté en totalité sur le dernière échéance.
3) - Semble Inutile de tergiverser plus longtemps; les faits sont établis et démontrés.
(Vendredi 15/06/2018 12h19 Post #3460)
Globalement ce calcul par "1/12ème d'année" toutes durées et toutes mises à dispositions confondues reviendrait à légèrement plus cher pour l'emprunteur par rapport à un calcul via la méthode "Exact/Exact" dans 53,49%.
Quel revirement spectaculaire ! MRGT34 doit s’en amuser !
Quand le lecteur doit-il vous croire pour fonder son argumentation ?
Cdt.