Bonjour,
Une fois de plus (ce qui devient "saoulant") je vous informe que ce calcul est légalement inexact pour trois raisons :
1) - Le coefficient n'est pas 30,41666 mais (365/12)
Le résultat du quotient "365/12" donne une infinité de décimales, il est donc aisément compréhensible que, matériellement/pratiquement parlant il soit impossible de les afficher toutes dans un texte quel qu'il soit.
C'est donc à dessein que l'annexe aux deux décrets concernés précise (c'est-à-dire 365/12),
2) - Une année compte 12 mois normalisés
Une année compte 365 jours, ou, pour les années bissextiles, 366 jours,
Ou 52 semaines
Ou 12 mois normalisés.
Dès lors si le mois normalisé était retenu pour 30,416 66 jours l'année serait alors non plus sur 12 mois normalisé mais 365/30,416 66 = 12,0000026301376 mois.
3) - Enfin - et surtout - les exemples "5 bis A et B" de l'annexe d'une part et "5 bis' A et B" de cette même annexe d'autre part utilisent bien le quotient "365/12" et non pas sa valeur approchée pour l'affichage de 30,416 66.
(3,75 % / 365) x (365/12) = 0,312500
Cdt
En effet, en prenant l’exemple d’un taux d’intérêt conventionnel de 3,75 % :
a) Taux de période normalisé rapporté à une année de 365 jours = (taux d’intérêt conventionnel annuel / 365) x 30,41666 jours, soit :
(3,75 % / 365) x 30,41666 = 0,312499 %
b) Taux de période normalisé rapporté à une année de 366 jours = (taux d’intérêt conventionnel annuel / 366) x 30,41666 jours, soit :
(3,75 % / 366) x 30,416 66 = 0,311646 %
c) Taux de période mensuel = (taux d’intérêt conventionnel annuel / 360) x 30 jours, soit :
(3,75 % / 360) x 30 = 0,312500 %
Il est ainsi constaté que les résultats sont différents selon l’une ou l’autre des méthodologies utilisée, si bien que les banque sont malvenues de revendiquer une équivalence financière pour justifier le calcul des intérêts qu’elles appliquent.
C’est purement mathématique, les connaissances à avoir consistent jute à savoir exécuter correctement une multiplication et une division.
Une fois de plus (ce qui devient "saoulant") je vous informe que ce calcul est légalement inexact pour trois raisons :
1) - Le coefficient n'est pas 30,41666 mais (365/12)
Un mois normalisé compte 30,416 66 jours (c'est-à-dire 365/12), que l'année soit bissextile ou non.
https://www.legifrance.gouv.fr/affi...XT000006069565&idArticle=LEGIARTI000026876050
Le résultat du quotient "365/12" donne une infinité de décimales, il est donc aisément compréhensible que, matériellement/pratiquement parlant il soit impossible de les afficher toutes dans un texte quel qu'il soit.
C'est donc à dessein que l'annexe aux deux décrets concernés précise (c'est-à-dire 365/12),
2) - Une année compte 12 mois normalisés
Une année compte 365 jours, ou, pour les années bissextiles, 366 jours, 52 semaines ou 12 mois normalisés.
https://www.legifrance.gouv.fr/affi...XT000006069565&idArticle=LEGIARTI000026876050
Une année compte 365 jours, ou, pour les années bissextiles, 366 jours,
Ou 52 semaines
Ou 12 mois normalisés.
Dès lors si le mois normalisé était retenu pour 30,416 66 jours l'année serait alors non plus sur 12 mois normalisé mais 365/30,416 66 = 12,0000026301376 mois.
3) - Enfin - et surtout - les exemples "5 bis A et B" de l'annexe d'une part et "5 bis' A et B" de cette même annexe d'autre part utilisent bien le quotient "365/12" et non pas sa valeur approchée pour l'affichage de 30,416 66.
Le bon calcul légal et exact est donca) Taux de période normalisé rapporté à une année de 365 jours = (taux d’intérêt conventionnel annuel / 365) x 30,41666 jours, soit :
(3,75 % / 365) x 30,41666 = 0,312499 %
(3,75 % / 365) x (365/12) = 0,312500
Cdt