Aristide,
Si ce n’a pas toujours été le cas, j’apprécie tout particulièrement le ton de votre intervention au Post #3578 :
Il fallait bien que je vous le dise, quand même.
Nous ne sommes pas encore d’accord sur tout, mais il y a peut-être une explication :
Je conteste la façon d’appliquer la Méthode Exact/Exact du Calcul des Intérêts dans un Échéancier ;
Je sens bien que certains points de mes développements sont acceptés par vous et que d’autres ne le sont pas du tout, bien au contraire : Seulement voilà, il me semble que vous m’opposez des arguments relatifs aux pratiques bancaires, qui ne sont donc pas, d’après vous, celles de cette Méthode !
Notre désaccord ne provient-il pas de là ? Je pense que la question est à analyser.
À un Taux Journalier (Tj) donné, il correspond deux Taux Annuels différents : Celui des Années Communes (Tj x 365), d’une part et celui des Années Bissextiles (Tj x 366), d’autre part.
Donc dans mes hypothèses, qui conduisent à des Calculs Exacts, au lieu de parler d’un seul Taux Annuel, on en considère deux différents dans le rapport de 366/365, alors que les pratiques bancaires sont de considérer le contraire : Un seul Taux Annuel et deux Taux Journaliers différents dans le rapport de 365/366, et c’est ce qui change tout et, malheureusement, conduit à des Calculs approximatifs qui font que deux Emprunteurs ne sont pas traités équitablement !
Par cette Méthode, que volontairement je désigne par Exacte, pour la distinguer de la précédente, les Intérêts de chacune des Échéances seraient alors Proportionnels au Capital Restant Dû, au Taux Journalier et à sa Durée en Jours, indépendamment de la Date de Valeur de la mise à disposition des fonds.
Évidemment, pour des Périodes Constantes de remboursement, Hebdomadaires par exemple, le Taux correspondant aux Échéances Courantes serait Fixe, alors que pour des Remboursements Mensuels il serait proportionnel à la Durée des mois passés (28, 29, 30, 31 jours), mais n’est-ce pas déjà le cas dans la Méthode Exact/Exact.
Cdt.
Si ce n’a pas toujours été le cas, j’apprécie tout particulièrement le ton de votre intervention au Post #3578 :
Il fallait bien que je vous le dise, quand même.
Nous ne sommes pas encore d’accord sur tout, mais il y a peut-être une explication :
Je conteste la façon d’appliquer la Méthode Exact/Exact du Calcul des Intérêts dans un Échéancier ;
Je sens bien que certains points de mes développements sont acceptés par vous et que d’autres ne le sont pas du tout, bien au contraire : Seulement voilà, il me semble que vous m’opposez des arguments relatifs aux pratiques bancaires, qui ne sont donc pas, d’après vous, celles de cette Méthode !
Notre désaccord ne provient-il pas de là ? Je pense que la question est à analyser.
Ce n’est pas comme cela que je le vois :Mais un taux journalier donne un taux annuel "x% l'an"différent suivant les dates exactes de mises à disposition des fonds.
À un Taux Journalier (Tj) donné, il correspond deux Taux Annuels différents : Celui des Années Communes (Tj x 365), d’une part et celui des Années Bissextiles (Tj x 366), d’autre part.
Donc dans mes hypothèses, qui conduisent à des Calculs Exacts, au lieu de parler d’un seul Taux Annuel, on en considère deux différents dans le rapport de 366/365, alors que les pratiques bancaires sont de considérer le contraire : Un seul Taux Annuel et deux Taux Journaliers différents dans le rapport de 365/366, et c’est ce qui change tout et, malheureusement, conduit à des Calculs approximatifs qui font que deux Emprunteurs ne sont pas traités équitablement !
Justement, est-il si difficile à comprendre que si le Taux Nominal porté au Code de la Consommation était le Taux Journalier au lieu du Taux Annuel, il pourrait être mentionné sur l’Offre/Contrat pour servir à calculer n’importe quelle Échéance, fût-elle souhaitée Constante !Ainsi, sur un prêt de 25 ans voulu à 300 échéances constantes par exemple, avec six ou sept années bissextiles suivant la date exacte de mise à disposition des des fonds, partant d'un taux journalier, pour respecter le code de la consommation comment calculez vous le taux nominal proportionnel annuel (= "x% l'an") qui doit être indiqué sur l'offre/contrat de prêt et qui servira à calculer ladite échéance constante ?
Vos calculs ci-dessus ne sont que des "Taux en x% l'an" proratisés (= "prorata temporis") à un jour d'intérêt.
C'est bien un taux nominal annuel qui permet - par prorata temporis - d'obtenir un taux ramené au jour.
Ce n'est pas un "taux contractuel négocié pour un jour" qui permet de déterminer un taux nominal proportionnel annuel sur les 25 années du prêt dont une sur quatre en bissextiles.
Cdt
Par cette Méthode, que volontairement je désigne par Exacte, pour la distinguer de la précédente, les Intérêts de chacune des Échéances seraient alors Proportionnels au Capital Restant Dû, au Taux Journalier et à sa Durée en Jours, indépendamment de la Date de Valeur de la mise à disposition des fonds.
Évidemment, pour des Périodes Constantes de remboursement, Hebdomadaires par exemple, le Taux correspondant aux Échéances Courantes serait Fixe, alors que pour des Remboursements Mensuels il serait proportionnel à la Durée des mois passés (28, 29, 30, 31 jours), mais n’est-ce pas déjà le cas dans la Méthode Exact/Exact.
Cdt.