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Les biens ne resteront pas avec "peu de charges", ils ne sont plus neufs. Idem pour la taxe foncière, elle ne restera pas réduite au-delà de 2 années, si vous avez bien rempli le bon formulaire, au bon moment. Refaites maintenant les calculs avec un niveau de charges estimé dans 5 ans, avec un taux de taxe foncière "normal", un taux d'occupation de 90%, etc.

Effectivement les biens ne resteront pas avec peu de charges.
Ils ne sont plus neufs mais récents, c'est effectif.

Cependant, je ne l'ai pas mentionné et c'est un détail important, notre cœur de métier est la promotion immobilière.
Nous avons les équipes et les contacts pour effectuer l'entretien.
Cela n'est pas un problème en soit, même si cela coutera d'une manière ou d'une autre.

Nous avons optimisé pour aujourd'hui mais pourrons changer le fusil d'épaule si besoin.

Nous avons aussi la possibilité de remboursements anticipés etc.
 
Bien sur qu'ils ne sont plus neufs.

La totalité des plans locatifs se termine actuellement entre 2021 et 2022 pour des financements contractés entre 2010 et 2014.
La RP représente 1 400 € mensuels et se termine en 2023.

Il y a 3 SCI, des logements en nom propre et effectivement plusieurs foyers fiscaux en fonction des parts de chacun.
Mais il s'agit effectivement d'un beau pavé auquel s'ajoute la déclaration Spéciale car SCELLIER etc.

La rentabilité, je la regarde surtout par rapport au montant emprunté pour financer chacun des biens.
La totalité des biens n'a pas été financé à crédit mais si on isole la rentabilité SCI par SCI et qu'on la compare au cout de revient, on est très bien.
Comme dit précédemment, nous sommes promoteur/constructeur, cela joue plutôt en notre faveur.

La rentabilité est plus basse du fait de la modulation des crédits.

Non pas d'ISF car la valorisation n'apparait pas.
Plusieurs foyers fiscaux, SCI non valorisées etc.

On a possibilité d'allonger la durée et/ou réduire les mensualités. Mais ce n'est pas le but, nous gardons cette solution si problème il y a.

Certaines SCI disposent de liquidités et les porteurs de parts disposent de pseudo liquidités (comptes courants d'associés actuellement non récupérables).

Les banquiers aimeraient que nous placions en assurance vie. C'est leur seule demande.

Je me mets à leur banque, des années de relation bancaire sans aucun problème, défaut de paiement, compte à découvert etc.
Ils ont la main sur tout, hypothèques, cautions etc. sur tous les biens, ceux qu'ils ont financé, ceux qui étaient déjà là en propre.
Comme précisé plus haut, 1.12 million de CRD et potentiellement 4.91 million à la revente.
Ce n'est plus une garantie !!

Mais je comprends tout à fait qu'ils aient peur, qu'ont leur demande plus de sécurité.

C'est en quelque sorte pour cela que je recherche un autre type de banquier et/ou de financement.

Un banquier qui aurait l'habitude de prendre un peu plus de "risque".

Nous sommes effectivement, si on calcule de leur manière, très endettés.

Le but n'est pas à terme de n'acheter que de l'ancien avec travaux.
Notre domaine est le neuf (ou récent) et souhaitons nous y tenir.

Il y a peu de risque de méconnaissance du marché car nous sommes pro du domaine.

Il n'y a pas de risque démesuré que nous ferions prendre à nos financeurs.

Le problème vient du fait que les banques préfèrent aujourd'hui conserver leurs fonds propres plutôt que de prêter à des taux ridiculement bas. C'est exactement le problème que j'ai sur la partie promotion immobilière mais là c'est encore un autre niveau de frilosité bancaire.

Je suis d'accord qu'il n'y a pas de bon moment en matière d'immobilier.
Il n'y a même pas de bonnes affaires, il y a des affaires et cela suffit à ceux qui les font ou pas.

Je pense par contre qu'il existe des bons créneaux en matière de conjoncture.

J'ai la trentaine et j'aimerai profiter des taux bas pour financer un maximum de biens qui seront sortis du champ de la plus value au moment de ma retraite.

C'est mon objectif aujourd'hui, j'ai également conscience que fiscalement il s'agit d'une course en avant qui peut s'avérer sans fin.
 
Bien sûr qu'ils ne sont plus neufs.
Alors, en toute logique, il ne faut pas les présenter comme tels, surtout lorsque l’on dispose de votre expérience en matière immobilière …

La totalité des plans locatifs se termine actuellement entre 2021 et 2022 pour des financements contractés entre 2010 et 2014.
La RP représente 1 400 € mensuels et se termine en 2023.
Cela veut donc dire qu’en dehors d’un rachat anticipé de crédit, vous êtes liés avec vos emprunts pendant encore plusieurs années (6 à 7 ans) ; si vous avez par ailleurs des disponibilités, alors la demande d’un placement en assurance-vie très probablement nanti dans l’avenir (au lieu et place d’un remboursement anticipé), serait une solution …

Mais votre réponse ne permet toujours d’isoler quelle est la valorisation de cette résidence principale dans le package de 4.910, car soit elle représente 150.000, et cela n’est pas favorable à la rentabilité de votre parc locatif, soit elle vaut 5 ou 10 fois plus, et cela change bigrement les choses !

Il y a 3 SCI, des logements en nom propre et effectivement plusieurs foyers fiscaux en fonction des parts de chacun.
Mais il s'agit effectivement d'un beau pavé auquel s'ajoute la déclaration Spéciale car SCELLIER etc.
Pour le pavé, je veux bien vous croire !

La rentabilité, je la regarde surtout par rapport au montant emprunté pour financer chacun des biens.
La totalité des biens n'a pas été financé à crédit mais si on isole la rentabilité SCI par SCI et qu'on la compare au cout de revient, on est très bien.
Comme dit précédemment, nous sommes promoteur/constructeur, cela joue plutôt en notre faveur.
La rentabilité est plus basse du fait de la modulation des crédits.
Alors reprenons point par point :
- Une rentabilité (réelle) ne s’analyse pas en comparant un rendement à 100% de la valeur d’un bien, par rapport au financement que l’on aura obtenu pour son acquisition ; juste une illustration en comparant si vous empruntez à hauteur de 80% ou à 40% de la valeur de ce même bien ; si vous obtenez des résultats différents, c’est qu’il y a un loup quelque part !
- Lorsque vous dites on est très bien, est-ce un sentiment partagé avec vos financeurs ?
- Que vous moduliez ou non votre planning de remboursement de crédit, cela ne doit pas changer la rentabilité du BIEN …
- Alors je sais bien qu’il existe des personnes qui raisonnent de façon proche de la vôtre, mais cela reste une incohérence de gestion …

Non pas d'ISF car la valorisation n'apparait pas.
Plusieurs foyers fiscaux, SCI non valorisées etc.
On a possibilité d'allonger la durée et/ou réduire les mensualités. Mais ce n'est pas le but, nous gardons cette solution si problème il y a.
Comme le souligne ZRR, de larges libertés avec la réglementation ?

Attention quand même, lorsqu’il y a défaut de déclaration (voire très large dissimulation d’un actif imposable), l’administration dispose d’un délai de reprise de durée étendue ; et elle a son temps l’administration, même si parfois elle peut louper une ou deux années de taxation ; et en plus les SCI, elle aime bien …

Certaines SCI disposent de liquidités et les porteurs de parts disposent de pseudo liquidités (comptes courants d'associés actuellement non récupérables).
Les banquiers aimeraient que nous placions en assurance vie. C'est leur seule demande.
Et alors, pourquoi donc ne pas étudier cette solution qui est loin d’être stupide …

Je me mets à leur place, des années de relation bancaire sans aucun problème, ni défaut de paiement, ni compte à découvert etc.
Ils ont la main sur tout, hypothèques, cautions etc. sur tous les biens, ceux qu'ils ont financé, ceux qui étaient déjà là en propre.
Comme précisé plus haut, 1.12 million de CRD et potentiellement 4.91 million à la revente.
Ce n'est plus une garantie !!
La aussi, on va commencer par le début …
Vous estimez (ou avez fait estimer) la valeur de votre parc immobilier (RP comprise) à 4.9 millions, dans un marché qui s’effrite graduellement dans de nombreux endroits ; un banquier normal se posera donc la question de connaître la crédibilité de cette donnée, voie de faire évaluer ce parc par un expert du domaine …

Ensuite, comment évoluera la valeur de ce parc dans 3, 5 et 7 ans ?
Le risque, ce sera alors que votre garantie s’effrite avec le marché …

Mais je comprends tout à fait qu'ils aient peur, qu'ont leur demande plus de sécurité.
C'est en quelque sorte pour cela que je recherche un autre type de banquier et/ou de financement.
Un banquier qui aurait l'habitude de prendre un peu plus de "risque".
De fait un fondé de pouvoir de banque n’a pas peur, mais effectivement sa hiérarchie lui demande de respecter un certain nombre de règles dites prudentielles, et les enfreindre ne peut se faire qu’avec une justification très sérieuse …

Nous sommes effectivement, si on calcule de leur manière, très endettés.
Dites-moi, qui dispose des cartes décisives en main ?
Vous, demandeur de prêt, ou votre interlocuteur bancaire qui dispose d’appuyer sur le bouton Start ?
Alors leur manière de calculer, aussi curieuse qu’elle puisse vous paraître, ce sera celle qui prévaut !

Le but n'est pas à terme de n'acheter que de l'ancien avec travaux.
Notre domaine est le neuf (ou récent) et souhaitons nous y tenir.
J’avais bien compris que vous ne souhaitiez pas faire QUE de la rénovation, mais le financement que vous demandez aujourd’hui, c’est une opération du genre, qui change singulièrement des précédentes !

Il y a peu de risque de méconnaissance du marché car nous sommes pro du domaine.
Il n'y a pas de risque démesuré que nous ferions prendre à nos financeurs.
Ce n’est peut être pas l’avis de tout le monde (au moins sur le second volet), et si votre banquier (historique ou non) vous fait sentir le contraire, vous devriez en tenir compte …
Il n’est pas là pour vous décevoir, mais simplement pour étudier une solution, compatible avec les règles qui sont celles qu’on lui demande de respecter …

Le problème vient du fait que les banques préfèrent aujourd'hui conserver leurs fonds propres plutôt que de prêter à des taux ridiculement bas. C'est exactement le problème que j'ai sur la partie promotion immobilière mais là c'est encore un autre niveau de frilosité bancaire.
Les taux sont actuellement très bas (voire historiquement bas), et imaginez un renversement de tendance qui peut toujours être plus ou moins brutal ; nul doute qu’alors, les prix du marchés immobilier (mais obligataire aussi), vont en subir l’impact, et la garantie de votre parc immobilier que vous mettez en exergue en subira les conséquences …

Sur un projet solide et garanti, un banquier va continuer à prêter !
S’il ne le fait pas, c’est qu’il y a quelque chose qui coince, et ce n’est pas seulement une question d’appréciation personnelle d’un risque, par tel ou tel autre banquier !

J'ai la trentaine et j'aimerai profiter des taux bas pour financer un maximum de biens qui seront sortis du champ de la plus value au moment de ma retraite.
C'est mon objectif aujourd'hui, j'ai également conscience que fiscalement il s'agit d'une course en avant qui peut s'avérer sans fin.
Que comprend bien votre objectif, mais n’est-ce pas un poil précipité dans un calendrier très (trop ?) audacieux ?
Je vous indique tout cela en ayant passé plus de 40 années comme interlocuteur d’entreprises diverses en interface avec le monde bancaire …
 
Dernière modification:
Bonjour,

En effet l'objectif n'est pas d'attendre car je suis jeune mais mon père l'est moins.

L'objectif est de battre le fer pendant qu'il est chaud et que les taux sont bas.

Je ne me suis pas encore penché sur l'idée d'une société au Luxembourg mais cela me parait quand même lourd.

Je n'ai pas parlé de société au Luxembourg, mais juste d'une assurance-vie où il est tout à fait possible d'y loger des parts de SAS française, qui peut être par exemple une holding SAS animatrice...
 
J'ai la trentaine et j'aimerai profiter des taux bas pour financer un maximum de biens qui seront sortis du champ de la plus value au moment de ma retraite.

Deux choses:
- Ce n'est pas parce que les taux sont bas qu'on fait forcément de bonnes affaires. Le point important c'est le coût du bien à la base.
- Visiblement, vous souhaitez vendre dans 30+ années. D'une part, rien ne dit qu'il y aurait réellement une plus-value à faire. D'autre part, ce n'est pas forcément intéressant. Avez-vous pensez à vos éventuels enfants (transmission, etc.)? :)

IMHO, je pense qu'un modèle SCI IR (NP) + SCI IS (US) + holding SAS + AV lux est quelque chose que j'aurais plus tendance à regarder personnellement. Mais bon, vu l'état actuel, ce n'est pas envisageable. i.e. il faudrait maintenant attendre au moins la fin des Scellier.

Ensuite, bâtir un patrimoine non-immobilier me paraît être primordial. Donc, vous dites être très bien actuellement sur ce pan. Certes, pourquoi ne pas se pencher maintenant sur le pan financier?

D'ailleurs, vous n'avez jamais pensé à consulter plusieurs CGPI?
 
Effectivement les biens ne resteront pas avec peu de charges.
Ils ne sont plus neufs mais récents, c'est effectif.

Cependant, je ne l'ai pas mentionné et c'est un détail important, notre cœur de métier est la promotion immobilière.
Nous avons les équipes et les contacts pour effectuer l'entretien.
Cela n'est pas un problème en soit, même si cela coutera d'une manière ou d'une autre.

OK, mais vous conviendrez donc que d'un point de vue tiers (e.g. banquier), c'est une source future de charges supplémentaires, donc baisse de rentabilité, donc augmentation de risques.
 
Le problème vient du fait que les banques préfèrent aujourd'hui conserver leurs fonds propres plutôt que de prêter à des taux ridiculement bas. C'est exactement le problème que j'ai sur la partie promotion immobilière mais là c'est encore un autre niveau de frilosité bancaire.

Ce n'est pas réellement un problème, ni une préférence, les banques ont l'obligation de conserver une quantité non négligeable de fonds propres...

Non pas d'ISF car la valorisation n'apparait pas.

Si quelque chose n'apparaît pas, c'est qu'elle est dissimulée. Donc, attention... Et puis, un modèle "iceberg" n'existe pas pour l'administration fiscale.
 
j'ai du mal a concevoir cela, car ca fait minimum 3.7 millions d'actifs net, donc a moins d'avoir 4 foyers fiscaux...bof...

ca sent le troll...

Merci, non pas de troll.

Oui 4 foyers fiscaux, le mien, mes parents, mon frère et ma sœur.

On a deux résidences principales dedans.

Mais la question de l'isf pourrait peut être se poser si on faisait des ventes.
La pour le moment, on a juste bâti du patrimoine à moindre coût.
La valorisation a la revente n'apparaît nulle part.
J'ai un peu de mal à comprendre ce qui vous fait croire que je pourrais avoir du temps à perdre à m'inventer une vie.
 
Ce n'est pas réellement un problème, ni une préférence, les banques ont l'obligation de conserver une quantité non négligeable de fonds propres...
Oui, il y a l'aspect réglementaire qui impose aux banques de conserver un certain niveau de fonds propres, niveau principalement destiné à couvrir certains aléas de gestion, notamment sur les activités de marché ...

Pour ce qui concerne les activités classiques de prêts et dépôts, une banque recherchera toujours une ressource afin de satisfaire une demande de prêt, ce qui est son métier de base ; et les fonds propres n'ont logiquement rien à voir là-dedans ...

N'oublions pas qu'une banque est une entreprise commerciale (un peu particulière, certes sous l'angle de l'organisation de son bilan), mais ses fonds propres sont là pour préserver son outil de travail et de permettre un coussin amortisseur à son résultat d'activité ....

Pour elle, la ressource c'est un stock, et les prêts sont des créances, donc tout en bas de bilan comme actif net circulant ; et plus cela circule vite, mieux c'est !

Si quelque chose n'apparaît pas, c'est qu'elle est dissimulée. Donc, attention... Et puis, un modèle "iceberg" n'existe pas pour l'administration fiscale.
Il est certain qu'en matière d'ISF, il n'y a QUE 3 situations :
- un patrimoine situé au dessus des 1.3 million par foyer avec, soit indication du patrimoine net sur la déclaration 2042, soit une déclaration spécifique détaillée au-dessus d'un certain niveau
- un patrimoine RÉELLEMENT au dessous de ce seuil, et on peut alors se dispenser de déclarer
- une autre situation qui résulte d'une absence de déclaration, voire d'une insuffisance de valorisation des actifs déclarés !

Alors dans votre cas, vous avez une panoplie de déclarations 2044, avec une trentaine de biens sur 3 SCI (entre autres, car il y a aussi des biens en direct), et bien entendu, il y a un moment où le système de l'administration va s'occuper du recoupement entre concentration de taxes foncières, déclarations individuelles à l'IR et déclarations ISF qui vont lui manquer ...

Cela peut bien entendu mettre du temps à se révéler, mais une fois une demande anodine d'information adressée et reçue (quand avez-vous souscrit la déclaration ISF relative à vos biens immobiliers ?), vous avez d'abord une interruption du délai de prescription, et le dialogue (si l'on peut dire) va alors s'engager ...

Alors s'il n'existe pas de modèle "iceberg", il existe quelques logiciels sous-marins fiscaux spécialisés chargés d'évaluer la partie émergée, mais aussi de détecter celle qui se trouve sous la surface !
 
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