Recherche conseils gros investissement et encours dépassés

Rien n'est impossible mais on va pas non plus inventer un logiciel capable de calculer à l'euro près la rentabilité en fonction de tous les critères possible et imaginable.
Il n'est pas question d'inventer un logiciel (qu'il soit de base en comptabilité, ou adapté à une activité spécifique), car cela existe déjà sur les étagères des diffuseurs ; à la limite et si vous savez bien vous servir d'Excel, peut-être est-il suffisant au moins pour traiter les données issues du logiciel comptable (qui ne fait que des additions), mais il faut savoir où affecter les mouvements (d'où la nécessité de disposer d'une connaissance comptable de base ...)

D'ailleurs à quoi bon connaître sa propre rentabilité si aucune des banques ne calcule de la même façon.

A quoi bon avoir une bonne rentabilité quand même une fois qu'ils la voient, ils ne la prennent pas en compte.
C'est bien la première fois que j'entends un investisseur ou un chef d'entreprise considérer que ce ne soit pas très important !

L'avantage des données comptables (avant que l'on se mette à les manipuler), c'est qu'elles ont une crédibilité qu'on ne leur conteste généralement pas !

Ce n'est pas votre avis, mais je reste persuadé que la plupart des banques ne veulent pas ou n'ont pas suffisamment d’intérêt à monter des prêts. La rentabilité ne se fait pas réellement sur les clients sérieux, j'ai plutôt l'impression qu'elle se fait sur les clients "moyens" à grand coups d'agios et autres frais.
Il est certain que dans le monde bancaire, le prêt immobilier représente pour la banque un produit d'appel, qui a vocation à tenter de "fidéliser tant que faire se peut" sur longue durée un prospect qui recherche une solution à court terme ... ; mais, c'est pour la banque un produit à faible marge puisque tout le monde tente de capturer les mêmes poissons !
 
En me relisant au cours des dernières heures, j'ai aussi tilté sur le fait que vous ayez évoqué un démembrement des parts entre usufruit et nu-propriété ; cela rebondit sur l'ISF, car la règle, c'est que c'est alors l'usufruitier qui se trouve redevable de cette taxe, le(s) nu-propriétaire(s) ne se trouvant plus concernés ...

Plus important, selon moi, si des parts sont démembrées, alors le bénéfice de la réduction d'impôt dans la cadre de la loi "Scellier" est... perdu. Idem si le démembrement a eu lieu a posteriori et non ab initio. C'est mon interprétation du formidable BOFiP.
 
Plus important, selon moi, si des parts sont démembrées, alors le bénéfice de la réduction d'impôt dans la cadre de la loi "Scellier" est... perdu. Idem si le démembrement a eu lieu a posteriori et non ab initio. C'est mon interprétation du formidable BOFiP.
Là, nous sommes dans l'ombre et seuls les personnages clés sont à même de savoir quelle est la dimension réelle du démembrement ...
Dans une même SCI comportant plusieurs biens, il peut tout à fait y avoir des parts qui sont attachées à un bien particulier AVEC démembrement, ainsi que d'autres parts qui seront représentatives d'une pleine propriété ; alors bien entendu, avec un tel mélange, il faut réussir à s'y retrouver, et ce n'est pas notre vocation !
 
J'ai conscience que si je reste en l'état, ma rentabilité nette va être grignotée car les revenus fonciers sont les plus taxés en France et qu'il n'existe à priori aucun moyen de les expatrier.

bien sur que si, si vous travaillez en suisse mais residez en France, fini la CSG RDS....allegement garanti !!
 
Les deux dernières années, j'étais "célibataire" avec un enfant en garde alternée. J'étais donc un bon contribuable.
Cette année je suis pacsé et avec une naissance. Ma rentabilité finale sera forcément meilleure en 2015 car j'aurai fatalement plus de disponibilité.

le banquier voit plutôt une naissance comme un alourdissement du rythme de dépense que par l'allegement tout relatif de la fiscalité...
 
oui je pense que vous l'avez achevé ! :biggrin:
Je ne crois pas, mais les faits sont têtus !
De toute façons, il sait maintenant, que certaines personnes ne prennent pas toutes ses certitudes pour argent comptant !

Alors il met cela sur le compte de la frilosité de ses partenaires banquiers, mais comme l'ensemble des biens du groupe familial sont déjà donnés en garantie et cela pour encore 6 ou 7 ans mini (jusqu'à obtention des mains levées), la marge de manoeuvre ne peut être que très très étroite !
 
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