Bonjour,
Ce qui me gêne dans cette approche, est qu"elle ne "parle pas" au commun des mortels.
Ah bon ???
Dire aux emprunteurs :
"En comptant tout ce que vous payez (= le coût du crédit "simple" légal actuel avec charges obligatoires
mais - en plus - toutes les charges facultatives) et en y ajoutant le manque à gagner en intérêts (au taux de l'épargne) sur toutes lesdites sommes déboursées:
A la fin du crédit le plus long (ou autre durée maximale choisie applicable toutes banques confondues)
=> Dans la banque "A"
+ Votre coût du crédit corrigé (du manque à gagner en intérêts ci-dessus évoqué) sera de 20 unités
+ La valeur de votre patrimoine total (physique + financier) sera de 80 unités
=> Dans la banque "B"
+ Votre coût du crédit corrigé (du manque à gagner en intérêts ci-dessus évoqué) sera de 30 unités
+ La valeur de votre patrimoine total (physique + financier) sera de 70 unités"
=> Avec 20 u + 80 u = 70 u + 30 u
=> ne "parle pas" au commun des mortels ????
La proposition que je fais est plus pragmatique à mon avis: l'instauration d'une méthode de calcul contraignante "normalisée" et d'une tolérance en cas d'utilisation d'une autre méthode.
Foutaise perpétuée si type "Taux d'ensemble" !!!
+ Ne tient pas compte de l'apport personnel (= prêt à soi même au taux de l'épargne)
+ Quid des charges dites facultatives mais toujours souscrites/payées comme l'assurance décès invalidité co-emprunteur ?
+ Ne tient pas compte du manque à gagner en intérêts sur l'ensemble des débours
Par ailleurs j'ai déjà explique qu'un tel taux n'est pertinent que si les plans de financement sont strictement identiques et que ledit calcul est effectué sur des durées identiques.
Si dans la banque "A" il y a un crédit sur 10 ans et un autre sur 20 ans mais que dans la banque "B" il y en ait trois de 7 ans, 12 ans et 18 ans sur quelle durée unique calculeriez vous ce "Taux d'ensemble" pour que les résultat soient pertinents ?
J'ai le sentiment que vous n'avez pas lu ou pas compris mes développements qui se veulent pourtant très concrets puisque appuyés par des analyses de coûts crédits corrigés/valeurs patrimoines sur des cas réels..
D'autre part, faute de propositions concrètes je ne vois pas en quoi/comment votre vague idée d'autres méthodes "parlerait plus au commun des mortels".
; il faut en effet soigneusement analyser le contrat, et veiller par exemple à ne retenir le coût mensuel de l'assurance que pour sa partie obligatoire et afférente au crédit examiné (à l'exclusion du prêt complémentaire à taux zéro).
???
Pas bien compris.
Exclure quoi du complémentaire à taux zéro...et pourquoi ?
Cdt