ben oui mais moi je n'ai pas de patron ( j'ai bien ma femme qui commande mais c'est personnel ça
) donc je dois m'auto payer les charges d'un patron hypothétique ? mais sans avoir droit aux congés payés par exemple….réforme des retraites
- Auteur de la discussion Buffeto
- Date de début
ben oui mais moi je n'ai pas de patron ( j'ai bien ma femme qui commande mais c'est personnel ça
) donc je dois m'auto payer les charges d'un patron hypothétique ? mais sans avoir droit aux congés payés par exemple….
juste une question ...as tu fait la somme annuelle de ce que vous versez toi et ton entreprise pour ta retraite ?
sans Paul et Mickey ça m'intéresserait de comparer à ce que , moi , je verse seul …..
car moi le système à points je le connais ....c'est comme ça que fonctionne le notre …
et je peux te dire que c'est un système pervers....
dans notre système , qui est un système par points , c'est déjà le cas...et ça ne m'a jamais posé de problème….
la perversité du système est ailleurs ( je te l'expliquerai si tu veux mais je te laisse d'abord essayer de la chercher tout seul )
moietmoi
Top contributeur
Ce type de communisme a montré ses limites....
laissons la diversité
Sinon comment traiter avec ce raisonnement l'égalité de retraite dans le cas suivant:
carrière monsieur x : revenu initial de 1000 lorsque le point acheté vaut 100 donc 10 point acquis
revenu de fin de carrière 2000 lorsque le point vaut 150 donc 13, 33 point acquis
soit un total de 23,33 points pour sa retraite
à comparer avec monsieur Y qui a une carrière en dents de scie, descendante, licenciements , acceptation de postes moins payés en fin de carrière
revenu initial 2000 lorsque le point vaut 100 soit 20 points acquis
revenu fin de carrière 1000 lorsque le point vaut 150 donc 6,66 point
donc un total pour Monsieur y de 26,66 points...contre 23,33 pour monsieur x...
Pourtant les gains étaient les mêmes....
la retraite par point créé des inégalités insoupçonnées....
CharlyBgood
Contributeur régulier
Je vois que mon post sur les infirmières a provoqué des remous. Vous commencez à me connaître, je ne fais pas dans la langue de bois.
Précisions:
Oui ce n'est pas mon secteur professionnel, et après ? J'ai ici comme tout le monde, le droit d'exprimer mon opinion, comme on a le droit de ne pas être d'accord avec moi.
Mon propos visait juste à sensibiliser la diversité des cas évoquée par @moietmoi , et le fait que les gens se comparent sans cesse entre eux. C'est humain.
Je rassure aussi @Manu215 : je respecte profondément tous les corps de métiers, les infirmières comme les cheminots, comme les autres acteurs du public et du privé. J'ai été une dizaine d'année recruteur.
Il n'y a pas de sot métier, il n'y a que des sottes gens, dit un proverbe qui m'inspire bcp de bien.
Simplement je constate qu'à tort ou à raison, c'est presque tjs du côté du public qu'on se plaint le plus, en matière de retraite comme d'autres choses. On y est par ailleurs 2 fois plus syndiqué, alors qu'on y est aussi le plus protégé. Ce sont ces paradoxes sur lesquels j'interpelle votre sagacité. Il y a certes des problèmes, mais il y en a aussi partout ailleurs.
D'où vient cette forme de cécité, qui confine parfois presque au mépris des autres corps de métier?
Le débat sur la pénibilité est du même tonneau d'ailleurs. Est-ce vraiment les cheminots, les "RATPistes", les profs, les infirmières urgentistes, les pilotes AIR France et les aiguilleurs du ciel (j'en oublie sûrement d'autres), qui font les métiers les plus pénibles ? Permettez moi de ne pas en être convaincu.
Chaque job de France et de Navarre a sa part d'avantages et de pénibilité, le mien y compris. Mais à en écouter certains, on croirait que le virus de la pénibilité ne touche que certaines corporations, et tjs les mêmes. Pour moi c'est un faux-fuyant qu'on jette en pâture pour esquiver le débat de fond.
Ça ne m'exalte pas plus que quiconque, mais pour nos retraites par répartition, vu les tendances et les agrégats en jeu, il faudra sans doute bosser + longtemps, donc partir + tard, et avec une pension qui ne sera que le reflet de nos possibilités financières systémiques. C'est à dire peau de chagrin.
Je signale d'ailleurs à cette auguste assemblée que des personnels du public ont accès à un dispositif nommé "Préfon", qui - à y regarder de près - n'est ni plus ni moins qu'un système de ... capitalisation. Le mot tabou est lâché ? Non juste du pragmatisme. Et ils ont raison d'y investir des deniers.
Je rassure @Membre34128 : je me fiche de ce qu'il y a dans l'assiette du voisin. Sincèrement.
Je fais d'ailleurs mienne cette philosophie: si tu veux être heureux, contente toi de ton sort s'il est après tout acceptable ou vivable. Bcp trop de gens se font des nœuds à la tête, en regardant systématiquement avec défiance ou envie, la Mercedes du voisin. Moi je m'en cogne.
Et attention, ça n'est pas antinomique avec les ambitions personnelles que je nourris. Simplement, je trace mon chemin, et je reste serein.
Portez-vous tous bien, bon we.
Précisions:
Oui ce n'est pas mon secteur professionnel, et après ? J'ai ici comme tout le monde, le droit d'exprimer mon opinion, comme on a le droit de ne pas être d'accord avec moi.
Mon propos visait juste à sensibiliser la diversité des cas évoquée par @moietmoi , et le fait que les gens se comparent sans cesse entre eux. C'est humain.
Je rassure aussi @Manu215 : je respecte profondément tous les corps de métiers, les infirmières comme les cheminots, comme les autres acteurs du public et du privé. J'ai été une dizaine d'année recruteur.
Il n'y a pas de sot métier, il n'y a que des sottes gens, dit un proverbe qui m'inspire bcp de bien.
Simplement je constate qu'à tort ou à raison, c'est presque tjs du côté du public qu'on se plaint le plus, en matière de retraite comme d'autres choses. On y est par ailleurs 2 fois plus syndiqué, alors qu'on y est aussi le plus protégé. Ce sont ces paradoxes sur lesquels j'interpelle votre sagacité. Il y a certes des problèmes, mais il y en a aussi partout ailleurs.
D'où vient cette forme de cécité, qui confine parfois presque au mépris des autres corps de métier?
Le débat sur la pénibilité est du même tonneau d'ailleurs. Est-ce vraiment les cheminots, les "RATPistes", les profs, les infirmières urgentistes, les pilotes AIR France et les aiguilleurs du ciel (j'en oublie sûrement d'autres), qui font les métiers les plus pénibles ? Permettez moi de ne pas en être convaincu.
Chaque job de France et de Navarre a sa part d'avantages et de pénibilité, le mien y compris. Mais à en écouter certains, on croirait que le virus de la pénibilité ne touche que certaines corporations, et tjs les mêmes. Pour moi c'est un faux-fuyant qu'on jette en pâture pour esquiver le débat de fond.
Ça ne m'exalte pas plus que quiconque, mais pour nos retraites par répartition, vu les tendances et les agrégats en jeu, il faudra sans doute bosser + longtemps, donc partir + tard, et avec une pension qui ne sera que le reflet de nos possibilités financières systémiques. C'est à dire peau de chagrin.
Je signale d'ailleurs à cette auguste assemblée que des personnels du public ont accès à un dispositif nommé "Préfon", qui - à y regarder de près - n'est ni plus ni moins qu'un système de ... capitalisation. Le mot tabou est lâché ? Non juste du pragmatisme. Et ils ont raison d'y investir des deniers.
Je rassure @Membre34128 : je me fiche de ce qu'il y a dans l'assiette du voisin. Sincèrement.
Je fais d'ailleurs mienne cette philosophie: si tu veux être heureux, contente toi de ton sort s'il est après tout acceptable ou vivable. Bcp trop de gens se font des nœuds à la tête, en regardant systématiquement avec défiance ou envie, la Mercedes du voisin. Moi je m'en cogne.
Et attention, ça n'est pas antinomique avec les ambitions personnelles que je nourris. Simplement, je trace mon chemin, et je reste serein.
Portez-vous tous bien, bon we.
moietmoi
Top contributeur
Bonjour @Charly26230 , en accord avec quasi la totalité de ton dernier post, je ne peux que m'interroger lorsque tu écris:
mais là je m'éloigne trop du sujet, même sur le nouveau forum moneyvox....
quant à Préfon: est ce une réussite à montrer en exemple...je ne crois pas; même si tu cites préfon, plus pour le principe du système, qui pour le produit en lui-même;
ma sagacité me fait dire que c 'est justement parce "2 fois plus syndiqués, et qu'ils se plaignent le plus, qu'ils sont le plus protégé...et sans doute le moins maltraités; il n' y a aucun paradoxe:c'est d'ailleurs pour cela qu'ont été constitués tant la fonction publique (résistance aux pressions) et les syndicats(défense des intérêts matériels et moraux des adhérents sans s'occuper de l'intérêt général)
mais là je m'éloigne trop du sujet, même sur le nouveau forum moneyvox....
quant à Préfon: est ce une réussite à montrer en exemple...je ne crois pas; même si tu cites préfon, plus pour le principe du système, qui pour le produit en lui-même;
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