Tout à fait d’accord avec toi, Yzard. Le régime par répartition devrait être limité au bénéfice d’une pension permettant de subvenir aux besoins essentiels, le reste relevant de la capitalisation et donc de la responsabilité individuelle.
D’accord bien évidemment avec l’observation de Charly sur la difficulté de faire aboutir cette réforme pourtant indispensable. Les Français ont déjà montré qu’ils aimaient bien les réformes douloureuses quand elles s’appliquaient aux autres. Alors, il est clair qu’il sera dur de changer les mentalités.
De façon générale, le principe de la réforme Macron me semble juste en ce qu’il vise à harmoniser les taux de cotisation et les niveaux de retraite en fonction des cotisations versées.
Qu’il y ait un peu plus de justice en matière de pensions ne serait pas anormal. Qu’un conducteur de train puisse partir à 52 ans quand un ouvrier du bâtiment doit attendre 62 ans ne me paraît ni équitable, ni tenable indéfiniment donc. Il n’est pas question de stigmatiser tel ou tel, mais de reconnaître que les conditions de travail ont évolué et que ce qui était juste ou acceptable dans l’après-guerre ne l’est plus aujourd’hui.
D’accord bien évidemment avec l’observation de Charly sur la difficulté de faire aboutir cette réforme pourtant indispensable. Les Français ont déjà montré qu’ils aimaient bien les réformes douloureuses quand elles s’appliquaient aux autres. Alors, il est clair qu’il sera dur de changer les mentalités.
De façon générale, le principe de la réforme Macron me semble juste en ce qu’il vise à harmoniser les taux de cotisation et les niveaux de retraite en fonction des cotisations versées.
Qu’il y ait un peu plus de justice en matière de pensions ne serait pas anormal. Qu’un conducteur de train puisse partir à 52 ans quand un ouvrier du bâtiment doit attendre 62 ans ne me paraît ni équitable, ni tenable indéfiniment donc. Il n’est pas question de stigmatiser tel ou tel, mais de reconnaître que les conditions de travail ont évolué et que ce qui était juste ou acceptable dans l’après-guerre ne l’est plus aujourd’hui.