Par contre, dans votre méthode, le nombre de périodes ne correspond pas "à la périodicité de versements de l'emprunteur" (Article R.313-1 aliné 2).
Vous calculez un nombre de périodes théoriques par le quotient 365 /30 = 12,166...67 périodes ce qui ne "colle donc pas" ni à la réalité ni avec le code de la consommation.
Vous me lisez mal, Aristide.
il y a bien 12 périodes normalisées et aucun arrondi n'est pratiqué sur le nombre de ces périodes, en sorte que le coût réel du crédit n'est pas affecté.
Le taux périodique est convenablement calculé et n'est donc pas en cause.
C'est le seul affichage du TEG qui l'est, pour corriger les effets éventuels d'une période unitaire dont la durée serait fixée à 30 jours par référence à l'année bancaire de 360 jours.
Encore une fois, restons en là pour l'instant, nous ajusterons lorsque la question (déjà posée) sera tranchée.
Cordialement.