Pas de publicité, R-Mon94 !
Même si comme tout le monde, j'ai mes opinions sur tel ou tel courtier, sur telle ou telle enseigne nationale (et je brûle parfois de donner mon avis !!!), il convient de les garder pour soi sur ce forum.
Comme partout, il y a des bons et des mauvais, des bons et des mauvais boulanger, des bons ou mauvais coiffeurs, etc.
Confier sa recherche de financement à un courtier peut apporter un service supplémentaire. On peut y songer si :
-> on a le temps,
-> on a les connaissances suffisantes,
-> on connait le langage bancaire,
-> on sait optimiser, comparer, négocier
... et bien sur si le gain apporté par le courtier en terme de temps, de compétences, de relationnel, de gain financier compense les honoraires qu'il demandera éventuellement.
Un autre contributeur sur le forum faisait une analogie avec le bricolage. On sait tous un peu bricoler : choisir de faire appel à un professionnel ou le faire soi-même résulte presque du même cheminement de décision que de faire appel à un courtier.
La profession s'est réglementée à partir du 1er janvier 2013. Dorénavant, les courtiers (une des quatre catégories d’intermédiaires en opération de banque et en service de paiement) doivent justifier de compétences professionnelles (études supérieures, niveau II ou III minimum ou d'une expérience significative acquise auprès d'un IOB ou d'un établissement bancaire, d'une assurance professionnelle et être légalement honorable).
Gageons que ces nouvelles exigences donnent encore plus de sérieux à cette profession.
Un courtier, enfin, est censé proposer la meilleure solution de financement pour son client. C'est très subjectif :
-> cela peut être le meilleur taux d'intérêt existant sur le marché local mais la banque peut refuser par exemple la modulation des échéances alors que c'est essentiel pour le client,
-> cela peut être un taux d'intérêt plus élevé mais une assurance déléguée moins onéreuse donnant un coût du crédit plus intéressant,
-> la recherche de l'option ou du montage spécifique : trouver une banque faisant 24 mois de franchise totale puis 12 mois de partielle relève du défi - le montage en double-ligne de prêt est très intéressant financièrement mais toutes ne le proposent pas ou à des conditions qui ne rendent pas cela intéressant,
-> la recherche du coût le plus faible et expliquer ainsi l'intérêt du taux variable,
-> ETC................
Même si comme tout le monde, j'ai mes opinions sur tel ou tel courtier, sur telle ou telle enseigne nationale (et je brûle parfois de donner mon avis !!!), il convient de les garder pour soi sur ce forum.
Comme partout, il y a des bons et des mauvais, des bons et des mauvais boulanger, des bons ou mauvais coiffeurs, etc.
Confier sa recherche de financement à un courtier peut apporter un service supplémentaire. On peut y songer si :
-> on a le temps,
-> on a les connaissances suffisantes,
-> on connait le langage bancaire,
-> on sait optimiser, comparer, négocier
... et bien sur si le gain apporté par le courtier en terme de temps, de compétences, de relationnel, de gain financier compense les honoraires qu'il demandera éventuellement.
Un autre contributeur sur le forum faisait une analogie avec le bricolage. On sait tous un peu bricoler : choisir de faire appel à un professionnel ou le faire soi-même résulte presque du même cheminement de décision que de faire appel à un courtier.
La profession s'est réglementée à partir du 1er janvier 2013. Dorénavant, les courtiers (une des quatre catégories d’intermédiaires en opération de banque et en service de paiement) doivent justifier de compétences professionnelles (études supérieures, niveau II ou III minimum ou d'une expérience significative acquise auprès d'un IOB ou d'un établissement bancaire, d'une assurance professionnelle et être légalement honorable).
Gageons que ces nouvelles exigences donnent encore plus de sérieux à cette profession.
Un courtier, enfin, est censé proposer la meilleure solution de financement pour son client. C'est très subjectif :
-> cela peut être le meilleur taux d'intérêt existant sur le marché local mais la banque peut refuser par exemple la modulation des échéances alors que c'est essentiel pour le client,
-> cela peut être un taux d'intérêt plus élevé mais une assurance déléguée moins onéreuse donnant un coût du crédit plus intéressant,
-> la recherche de l'option ou du montage spécifique : trouver une banque faisant 24 mois de franchise totale puis 12 mois de partielle relève du défi - le montage en double-ligne de prêt est très intéressant financièrement mais toutes ne le proposent pas ou à des conditions qui ne rendent pas cela intéressant,
-> la recherche du coût le plus faible et expliquer ainsi l'intérêt du taux variable,
-> ETC................
Dernière modification: