grand débat national

quels sont selon vous les impots qu'il faut baisser en priorité

  • l'IR

    Votes: 14 31,8%
  • la TVA

    Votes: 8 18,2%
  • la CSG

    Votes: 21 47,7%
  • l'IFI

    Votes: 2 4,5%
  • TOUS

    Votes: 7 15,9%
  • oh non , pitié Buffeto pas un sondage par jour

    Votes: 3 6,8%
  • s'en fout car est résident monégasque ...

    Votes: 3 6,8%

  • Total de votants
    44
  • Sondage fermé .
pas si incongrue que ca d'ailleurs…..

le patrimoine que j'ai acquis et dont je dispose c'est mon patrimoine . je l'ai acquis par mon travail , ma constance dans l'effort , mes propres qualités de gestion , ma persévérance tout en payant déjà moults impôts et taxes dessus .

lorsque j'investis dans un locatif je paye les frais de notaire , la taxe foncière chaque année , l'IR et les PS sur les revenus fonciers , l'impôt sur la PV en ca de revente avant 22ans et éventuellement l'IFIo_O

pourquoi devrais je en plus etre taxé si je décide de donner tout ou partie de mon patrimoine à mes enfants ?


Voilà un parfait exemple de la méritocratie...

Pas celle d'un footballeur
 
pourquoi devrais je en plus être taxé si je décide de donner tout ou partie de mon patrimoine à mes enfants ?
Parce que le socialisme nécessite l'argent des autres pour fonctionner, et qu'une majorité de Français a bien cerné le principe et en redemande, aidée par des politiciens à deux balles qui promettent n'importe quoi à des électeurs sans mémoire.

Que ce soit ton pognon dans le cadre de donations, celui des GAFA, celui des propriétaires de parkings en Île-de-France, ou celui des automobilistes qui roulent à 87 km/h en ligne droite par beau temps sur une route large et dégagée, ça n'a pas d'importance. Ce qu'il faut, c'est davantage de pognon pour que l'orchestre continue à jouer. Donc il faut aller le prendre là où il est. Ensuite on trouve une justification qui passe bien dans l'opinion. En France c'est facile : "salaud de riche" marche très fort.

Ce pays est foutu ! (pour paraphraser l'une de mes lectures)
 
Ce pays est foutu ! (pour paraphraser l'une de mes lectures)
Si tu parles sérieusement dans cette appréciation:dénonce ta nationalité, refuse à l'avenir pour toi et les tiens, tous les soins , même les plus chers(comme ces faux citoyens honteux qui vivent à l'étranger et reviennent juste pour des soins ou pour les assedics) , renonce à ta retraite et à toutes ces choses qui t'apparaissent comme trop collectivistes( assurance au tiers obligatoire, port de la ceinture obligatoire).... après ce paragraphe un peu rude..
là où je te rejoins,
Donc il faut aller le prendre là où il est
Malheureusement, ce n'est pas ce qui est fait.
 
Une réponse à côté de la plaque et volontairement ad hominem : "si ça ne te plait pas tu t'en vas" n'a jamais été un argument recevable dans le cadre d'un débat de société. Sur le fond, qu'il s'agisse de protection sociale, de santé, de retraite, ou d'autres sujets (développement économique, éducation, sécurité, innovation, transports, etc.), il existe des alternatives dans toutes les autres nations développées qui donnent des résultats équivalents, voire meilleurs, et qui utilisent moins d'argent public. Ne pas vouloir le voir pour surtout ne pas ouvrir le débat conduit à la situation actuelle : la puissance publique dépense de plus en plus d'argent pour des performances de moins en moins bonnes. Pour rappel : 368 milliards d'euros de plus de prélèvements publics entre 2002 et 2017 ! Soit de l'ordre de 800 euros supplémentaires par an et par foyer en moyenne ! Les réformes ne font que transférer la charge financière croissante d'un public à un autre (un coup les retraités, un coup les entreprises, un coup les célibataires, un coup les automobilistes) tout en diminuant le niveau réel de prestation (pensions bloquées, remboursements de soins en baisse chaque année, niveau scolaire en diminution, etc.). La récente reprise économique a profité à toute l'UE mais pas à nous. Et vous en redemandez ?

edit : même les migrants préfèrent aller voir ailleurs :)

Quant à renoncer à certaines prestations, il faudrait a minima ne plus contribuer en retour. Or vous savez comme moi que ce n'est pas possible et que l'État français veille à ce que tout le monde participe, de gré ou de force, même si aucun contrat n'a été signé. L'exemple des dissidents de la Sécu l'établit clairement.

Prendre l'argent là où il est : je suis curieux de connaître votre position, même si j'ai forcément une petite idée après cette intervention.
 
Dernière modification:
le patrimoine que j'ai acquis et dont je dispose c'est mon patrimoine . je l'ai acquis par mon travail , ma constance dans l'effort , mes propres qualités de gestion , ma persévérance tout en payant déjà moults impôts et taxes dessus .
Voilà un parfait exemple de la méritocratie...
Pas celle d'un footballeur

Oui, et, malheureusement, c'est l'exemple du footballeur, pas celui du Buffeto, qui est plus souvent mis en avant et valorisée dans les médias "Enfants des familles pauvres, enfants issus de l'immigration, si vous voulez vous en sortir, n'étudiez surtout pas et ne travaillez pas, jouez au foot ! (ou, encore mieux, vendez de la drogue !)
 
Quand je vous l'disais que ça sert à rien de parler de quel(s) impôt(s) il faut supprimer tant que le choix de la société dans laquelle on veut vivre n'est pas débattu.
Nous voilà en plein dedans.
 
débattre ne va pas etre le problème ....c'est arriver à un consensus qui le sera ...
Bien sûr, je n'ai pas dit le contraire d'ailleurs...;)

Ca risque d'être assez complexe, compte tenu du nombre d'acquis sociaux en France depuis la guerre. Il faut bien regarder d'où on part en termes d'acquis sociaux pour avoir une vision claire de où on arrive.
On sait tous où mène le mépris des classes populaires : aux GJ en France, au Brexit, à Trump, à Bolsonaro, à Erdogan...
 
Quand je vous l'disais que ça sert à rien de parler de quel(s) impôt(s) il faut supprimer tant que le choix de la société dans laquelle on veut vivre n'est pas débattu.
Nous voilà en plein dedans.
Et comme chaque Français a globalement l'impression de participer déjà trop, quels que soient son activité et son niveau de revenu, pour un service public qui se contracte quotidiennement et qui n'est plus capable d'assurer correctement ses missions de base, chacun souhaite que quelqu'un d'autre paye à sa place en mode "moi j'ai assez donné". On tourne en rond (ou on squatte les ronds-points).

On ajoute à ça la résistance naturelle au changement (valable partout), les nombreux intérêts particuliers à défendre, une élite haut placée qui en vit plutôt très bien, des médias subventionnés dont la majorité des journalistes votent à gauche... et on perçoit que le "système" a encore de beaux jours devant lui.
 
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