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user28029
Ayant tous les détails de mes calculs vous avez la possibilité de chercher vous même l'origine des reliquats de différences.
De mon point de vue, la source de l'écart est claire. Vous introduisez un biais dans vos calculs intermédiaires de "coût de crédit" en sommant des flux intervenant à des dates différentes. Il se trouve que dans la plupart des cas ce biais est quantitativement négligeable donc le modèle donne tout de même la bonne réponse à la question "faut-il rembourser ou non". Mais quand on vient aux résultats chiffrés, même en prenant toutes les décimales à tous les niveaux, vous n'avez pas un résultat exact.
Mon modèle pèche par ses approximations au niveau des données, mais le modèle en lui-même est mathématiquement et financièrement valide. Mes premiers résultats étaient flous car j'ai pris pas mal d'hypothèses quant aux données, mais en affinant on arrive à un modèle complet mais qui reste simple et irréfutable.
On a 2 cas de figures. Un prêt qu'on rembourse. Un capital qu'on place ou qu'on utilise pour un remboursement partiel. Des flux mensuels qui entrent et viennent soit rembourser le prêt, soit augmenter l'épargne.
Passant déjà trop de temps - selon vos dires - à bâtir des applicatifs "un peu sioux" (quoi que rien d'exceptionnel !) c'est "rigolo" que vous me demandiez, désormais, "d'en faire encore plus" !
Cdt.
Vous ne comprenez pas : c'est très bien de pouvoir construire des applicatifs hyper précis qui donnent des résultats au centime près en prenant en compte le moindre détail, encore faut-il que le modèle où vous injectez ces paramètres soient corrects.
Si on était dans la construction, on dirait que moi je construis une baraque de parpaing, pas très esthétique ou confortable, mais les fondations sont solides et les murs sont droits.
Vous, vous passez du temps à mettre 3 couches de peinture et de beaux tapis, mais vous avez un mur bancal. Tôt ou tard, votre maison risque de s'écrouler.
Alors qu'une fois que mes murs sont posés j'ai tout le temps de les peindre