calcul cout rachat assurance vie

Bonjour,

Par ailleurs, avant de dénigrer votre CGP, je voudrais faire remarquer que l'hypothèse d'un rachat de presque la totalité de votre ancienne AV d'un seul coup, certes vous conduirait peut-être à payer immédiatement 2072 € d'impôts en plus (selon votre estimation) MAIS pourrait s'avérer être une opération pertinente si le nouveau contrat est sans frais d'entrée, et s'il rapporte nettement plus que l'ancien (un calcul estimatif serait toutefois à faire pour le confirmer).
Bonjour,
le conseiller me fait à peu près la même réponse suite à mes questions sur la fiscalité en mettant en vant un meilleur rendement (mais pas spécialement de frais d'entrée réduit).

Je ne comprends pas ce raisonnement : si je fais un rachat total, je suis sur de payer 2000 €. Déjà rien qu'en faisant un rachat partiel en décembre, puis un en janvier j'économise de l'argent.
De plus, il est question de meilleur rendement mais il n'y a rien de garantie : le rendement pourrait bien être inférieur à celui du fond € vu la situation des bourse actuellement.

Bref, quoiqu'il en soit, et sans dénigrer le conseiller, à mon sens, le rôle du conseiller était de m'informer de la fiscalité en cas de rachat total (notamment afin de que je provisionne les 2000 € d'impots à payer) et de sa stratégie : perdre sur la fiscalité pour gagner en rendement ou en frais d'entrée.

Là j'ai plutôt l'impression que le conseiller me presse à tout sortir pour augmenter ses commissions.
 
Bonjour,
le conseiller me fait à peu près la même réponse suite à mes questions sur la fiscalité en mettant en avant un meilleur rendement (mais pas spécialement de frais d'entrée réduit).
Encore faudrait-il que ce prétendu meilleur rendement (net de frais et fiscalité) se confirme, et que l'ensemble de l'économie générée par les produits de remplacement soit consistante ...

Je ne comprends pas ce raisonnement : si je fais un rachat total, je suis certain de payer 2000 € de fiscalité. Déjà rien qu'en faisant un rachat partiel en décembre, puis un en janvier j'économise de l'argent.
L'avez-vous effectué ce rachat partiel d'un montant limité en décembre 2018 ??

De plus, il est question de meilleur rendement mais il n'y a rien de garanti : le rendement pourrait bien être inférieur à celui du fond € vu la situation des bourses actuellement.
Si l'on résume la proposition de remplacement de votre correspondant (je n'ose pas le qualifier de conseiller), il s'agissait :
- de vous proposer un PERP, et il s'agit-là d'en mesurer l'intérêt que vous en retireriez
- de vous proposer des SCPI, selon des modalités de financement à déterminer, et pour un volume de revenus annuels, qui soit compatible avec votre situation actuelle
- un contrat AV, mais avec des UC fortement orientées vers les marchés immobiliers ...

Ou en êtes-vous sur tous ces points ??

PS - ma réplication sous Excel de simulation d'imposition à l'IR, avec revenus fonciers (micro ou régime réel), situation familiale, tranches d'imposition de l'année et aussi avec primes de PERP déductibles et autres gourmandises du genre (décote, etc ....) fonctionne maintenant bien ; je l'ai vérifiée avec des situations pratiques et théoriques, comparativement avec le simulateur officiel ...
L'avantage, c'est que je n'ai plus besoin de recharger la feuille de collecte du simulateur de multiples fois avec de nombreuses données inchangées, à raison de chaque évolution / optimisation, et juste à le faire en fin de processus, lorsque cette évolution se trouvera considérée optimale.

Bref, quoiqu'il en soit, et sans dénigrer le conseiller, à mon sens, le rôle du conseiller était de m'informer de la fiscalité en cas de rachat total (notamment afin de que je provisionne les 2000 € d'impôts à payer) et de sa stratégie : perdre sur la fiscalité pour gagner en rendement ou en frais d'entrée.
Tout à fait, mais il semble qu'il ne l'ai pas fait, de vous renseigner sur les conséquences (au moins fiscales) de sa proposition ; or, en assurance-vie, la fiscalité est tout de même une facette importante du placement (surtout là, ou deux rachats pouvaient être faits à quelques jours/semaines d'intervalle ...)

Là j'ai plutôt l'impression que le conseiller me presse à tout sortir pour augmenter ses commissions.
Vous commencez à voir clair dans les objectifs de votre correspondant ....
 
Dernière modification:
L'avez-vous effectué ce rachat partiel d'un montant limité en décembre 2018 ??


Si l'on résume la proposition de remplacement de votre correspondant (je n'ose pas le qualifier de conseiller), il s'agissait :
- de vous proposer un PERP, et il s'agit-là d'en mesurer l'intérêt que vous en retireriez
- de vous proposer des SCPI, selon des modalités de financement à déterminer, et pour un volume de revenus annuels, qui soit compatible avec votre situation actuelle
- un contrat AV, mais avec des UC fortement orientées vers les marchés immobiliers ...

Ou en êtes-vous sur tous ces points ??
Bonjour Paal,
nous n'avons effectué aucun rachat même partiel. Nous étions pris par le temps car en voyage à l'étranger du 15 décembre au 1er janvier.
Surtout, ma compagne (c'est son AV) souhaite conservé ce placement en fond €, l'un des meilleurs, qu'elle a depuis plus de 20 ans. Nous souhaitons placer en priorité une somme importante que nous avons sur livret A et compte courant.

Nous devons voir un 2ème conseiller. Nous n'avons plus vraiment confiance en ce premier conseiller. Notamment, le placement en SCPI ne parait pas très interessant dans notre cas avec nos 2 appartements que nous déclarons souvent en micro-foncier. Le conseiller ne semble avoir fait aucun calcul en ce sens (pourtant, il a du voir que j'ai déclaré en micro-foncier lors de mes dernières déclarations).

Il faut que je me repenche sur l'opportunité des autres placements.
 
Bonjour,
le conseiller me fait à peu près la même réponse suite à mes questions sur la fiscalité en mettant en vant un meilleur rendement (mais pas spécialement de frais d'entrée réduit).
Bonsoir,
Pour qu'une telle opération soit intéressante il faudrait que le rendement de votre contrat ancien soit très faible et le rendement du nouveau contrat très élevé et avec des frais d'entrée nuls.

Je ne comprends pas ce raisonnement : si je fais un rachat total, je suis sur de payer 2000 €. Déjà rien qu'en faisant un rachat partiel en décembre, puis un en janvier j'économise de l'argent.
Vous avez tout compris: en faisant un rachat en décembre 2018, un autre en janvier 2019 et un dernier en janvier 2020 vous auriez eu la possibilité de sortir du contrat en 13 mois environ sans payer d'impôt. En supposant que le nouveau contrat rapporte 1% de plus que l'ancien et que vous ayez procédé à un rachat quasi total en décembre 2018 vous auriez gagné 1 200€ de plus et.....perdu 2 000€ d'impôts. pour que l'opération soit rentable il faudrait que le nouveau contrat rapporte au moins 2% de plus que l'ancien.
A remarquer toutefois que les dates choisies optimisent la durée totale de l'opération (à 13 mois).
En réalité, sur une période plus longue (par exemple deux ans) l'écart se réduirait et les gains pourraient excéder les pertes.
Cependant sur cette période de deux ans, il faudrait mettre en comparaison la sortie successive par tiers en exonération d'impôt avec réinvestissement successif sur un contrat performant: on arriverait alors à la conclusion que cette méthode est plus intéressante (je la mets d'ailleurs personnellement en oeuvre en 2017, 2018 et 2019 pour sortir d'un contrat devenu inintéressant pour moi).

Bref, quoiqu'il en soit, et sans dénigrer le conseiller, à mon sens, le rôle du conseiller était de m'informer de la fiscalité en cas de rachat total (notamment afin de que je provisionne les 2000 € d'impôts à payer) et de sa stratégie : perdre sur la fiscalité pour gagner en rendement ou en frais d'entrée.
Le conseil n'est effectivement pas pertinent.

Là j'ai plutôt l'impression que le conseiller me presse à tout sortir pour augmenter ses commissions.
C'est aussi mon impression.
J'ai simplement essayé de lui trouver quelques excuses....sans y parvenir.
 
Dernière modification:
j'ai une question annexe concernant les 17,20 % de CSG : ceux-ci ont bien été prélevé sur les intérêts ? Nous n'avons pas à les payer lors du rachat ? Ils ne sont pas concernés par abattement de 9200 € ?
Les plus values des UC sont soumises aux PS lors des rachats. Les plus values sur les fonds en euros sont soumises aux PS au fil de l'eau (chaque année) seulement depuis 2011. Vous aurez donc des PS à payer en cas de rachat.
Les PS ne sont pas concernés par l'abattement de 9 200€.
 
Le placement en question est le fond € d'Afer (son nom m'a échappé...) donc l'un des meilleurs du marché si je ne me trompe.
A moins de partir sur un placement à risque, nous n'auront jamais 2 % d'écart.

A côté de cela, nous avons une somme moins importante sur du Winalto (MAIF) avec de bien piètre performance, et une somme très importante sur livret A et compte courant sur laquelle il faut absolument que nous prenions une décision.

Je me pose la question de la pertinence de conserver cette AV Afer, au moins en partie : est-ce équivalent d'avoir 50 % de son épargne sur une AV en fond €, et 50% sur une AV à 50/50,
que d'avoir 2 AV à 25% UC et 75 % € ?

Il me semble que oui.
 
Je me pose la question de la pertinence de conserver cette AV Afer, au moins en partie : est-ce équivalent d'avoir 50 % de son épargne sur une AV en fond €, et 50% sur une AV à 50/50,
que d'avoir 2 AV à 25% UC et 75 % € ?
Il me semble que oui.
Première chose, et si vous avez un contrat 100% Euros et l'autre réparti entre fonds Euros et UC, vous n'avez qu'à vous occuper du second, car le premier doit logiquement rouler tout seul ...

Ensuite, et comme vous ne semblez pas encore familiarisé avec une gestion libre d'un contrat multisupport (avec des UC), il va falloir savoir si vous avez l'envie et le temps pour effectuer cette familiarisation ....

Il me semble donc difficile de me mettre à votre place, car je risque de vous embarquer dans un processus qui demande un pré-requis, lequel ne s'acquiert probablement pas aussi facilement que cela ; par le passé j'ai eu des contrats très peu exposés au risque des UC (lesquelles n'étaient pas non plus aussi puissamment proposées qu'elles ne le sont aujourd'hui)

Ceci fait qu'indépendamment de mon activité dans les milieux financiers, j'ai pu dégager suffisamment de temps pour progresser en douceur ; mais je dois avouer que sans ce pré-requis dont je dispose maintenant, ce serait très probablement bien plus ardu ....

D'un autre côté, vous avez aussi maintenant des trakers qui fonctionnent comme des UC, et qui sont une solution simplificatrice, même s'il faut se souvenir qu'un tracker se gère (comme une petite parcelle d'un gros portefeuille)...
 
Le placement en question est le fond € d'Afer (son nom m'a échappé...) donc l'un des meilleurs du marché si je ne me trompe.
Bonjour,
j'en ai aussi depuis longtemps et je considère que c'est un très bon fonds en euros. De plus les frais d'entrée sont très difficilement négociables à moins de disposer de sommes très importantes à investir.

A moins de partir sur un placement à risque, nous n'auront jamais 2 % d'écart.
C'est aussi mon avis.

A côté de cela, nous avons une somme moins importante sur du Winalto (MAIF) avec de bien piètre performance, et une somme très importante sur livret A et compte courant sur laquelle il faut absolument que nous prenions une décision.
Je ne connais pas Winalto. Est-ce aussi une AV ? Si oui et si sa performance est décevante, pourquoi ne pas procéder à des rachats sur ce contrat et ouvrir une autre AV en ligne: c'est facile et leurs fonds sont performants.

Je me pose la question de la pertinence de conserver cette AV Afer, au moins en partie : est-ce équivalent d'avoir 50 % de son épargne sur une AV en fond €, et 50% sur une AV à 50/50,
que d'avoir 2 AV à 25% UC et 75 % € ?
Pour moi, oui aux deux questions.
La principale difficulté réside dans la définition de vos besoins: épargne à court, moyen, long terme ?
Epargne dans quel but ? Projets, retraite, transmission ? Avec quel niveau de risque ?
Sachant qu'épargner sur des fonds en UC n'est pas suivre un long fleuve tranquille (comme l'explique @paal ).
Je ne vois pas l'intérêt de racheter un fonds en euros qui est parmi les meilleurs.
Vous pourriez le conserver comme le socle solide de votre épargne dans lequel vous pouvez taper en cas de nécessité.
Si vous êtes joueur vous pouvez investir le reste de votre patrimoine financier (Winalto et livrets) sur des UC d'une AV en ligne avec une répartition plus ou moins grande sur le fonds en euros de cette AV (avec un pourcentage de 30 à 40 % d'UC, vous pouvez accéder aux fonds en euros les plus performants).
A noter également que le contrat AFER dispose aussi de fonds en UC auxquels vous pouvez accéder par arbitrage.
 
Bonjour,
j'ai pu me replonger dans tout ça après un retour de vacances. je vais pouvoir répondre à vos différentes questions:
- en terme d'objectif, il s'agit principalement de valoriser et transmettre un capital à nos enfants (nous n'avons que 36 ans et des enfants de 3 et 5 ans).
- Notre situation fait que nous avons des revenus corrects (mais moyens) de l'ordre de 3000 € net + 600 € de revenu immobilier (quand tout va bien) mensuels. Cela nous suffit malgré un train de vie que nous estimons confortable.
- Il nous reste 100000 € à payer sur 10 ans sur notre maison d'une valeur de 260000 €.
- Au niveau financier, il existe un gros déséquilibre puisque j'ai seulement 25000 € sur une assurance vie, mais que ma compagne dispose de près de 450000 € (dont 170000 € pas placé) + 2 appartements.
- De manière générale, nous trouvons que la gestion d'appartement en location est assez lourde. De plus, ma compagne ne souhaite pas s'investir et avoir besoin d'arbitrer régulièrement sur ses placements (de mon côté cela m’intéresse, mais je ne veux pas prendre la responsabilité de gérer ses placements).
La situation actuelle (bourse) me pèse beaucoup plus qu'à ma compagne qui reste sereine malgré une perte conséquente.
- emprunter pour investir va me poser problème car j'ai des soucis de santé actuellement.

Au niveau des placements proposés par le conseiller, il y a donc :
- un investissement SCPI moitié primovie / moitié primocroissance => ce que j'en retiens est qu'il faut emprunter pour que cela soit interessant. Or pour défiscaliser les intérêts, il faudra passer nos appartements en micro-foncier ce qui est souvent désavantageux. De plus, primovie rapporte une rente (donc imposable), mais primocroissance capitalise. Du coup, on risque d'épargner plus que la rente mensuelle si je ne me trompe ?

- Sérénipierre a l'air interessant sur certains aspects, mais il est souligné plus haut que les frais d'entrée sont exorbitants : peut-être puis-je trouver équivalent en ligne avec moins de frais ? Ce qui me semble interessant est la possibilité de diversifier avec de l'immobilier. De plus, les nombreuses options de pilotage comme stoploss, me semblent intéressantes.

- Le contrat "épargne retraite" de Swisslife ne semble pas un PERP. Il est indiqué que c'est un contrat individuel d'assurance vie soit en gestion libre, soit en pilotage retraite (investissement en OPC). Il est indiqué que l'on peu sortir du contrat quand on le souhaite. Le PERP ne semble pas correspondre à mes objectifs car je ne pense pas avoir besoin de retraite complémentaire.

Si vous avez d'autres conseils, ou des idées de placements, je suis preneur.
De manière générale, dois-je abandonner l'idée d’investir dans l'immobilier en dur ou en scpi ? Sans emprunter, il n'y a pas d’intérêt ? De plus, notre patrimoine comprendra à la fin de notre prêt de l'ordre de plus de 470000 € d'immobilier.

Est-ce que nos seules solutions sont des placements d'assurance vie interessants avec du fond €, des UC, des obligations et de l'immobilier afin de diversifier un max ?
 
Bonjour,
j'ai pu me replonger dans tout ça après un retour de vacances. je vais pouvoir répondre à vos différentes questions:
- en terme d'objectif, il s'agit principalement de valoriser et transmettre un capital à nos enfants (nous n'avons que 36 ans et des enfants de 3 et 5 ans).
Vous êtes donc un jeune couple, avec des enfants en début de scolarisation ; et c'est toute l'importance que de disposer d'un bilan de patrimoine sérieux, assortis d'objectifs patrimoniaux à court et surtout moyen terme (disons sur les 10 ou 12 prochaines années, ce qui devrait correspondre à une étape importante dans leur cycle d'études, où il faut prévoir qu'elles puissent être longues - ingénieur, médecine ou expertise comptable à titre d'exemples...)

- Notre situation fait que nous avons des revenus corrects (mais moyens) de l'ordre de 3000 € net + 600 € de revenu immobilier (quand tout va bien) mensuels. Cela nous suffit malgré un train de vie que nous estimons confortable.
- Il nous reste 100000 € à payer sur 10 ans sur notre maison d'une valeur de 260000 €.
Cela fait partie de l'inventaire de ce bilan patrimonial, avec la valorisation des avoirs, mais aussi l'évolution des dettes ; cela peut conduire à faire un bilan évolutif sur la base actuelle, mais en projetant ce patrimoine 5 ou 10 ans plus tard, sans nouvelle forme de placement ou d'investissement ...

Et c'est sur cette base que vous allez devoir réfléchir aux évolutions et au timing de ces évolutions ...

- Au niveau financier, il existe un gros déséquilibre puisque j'ai seulement 25000 € sur une assurance-vie, alors que ma compagne dispose de près de 450.000 € (dont 170.000 € pas placé) + 2 appartements.
On ne peut pas dire que disposer de 170 KE sur un ou plusieurs comptes bancaires, ce soit de l'optimisation en matière de placement, et je pense qu'il vous appartient de trouver une solution (au moins dans une limite de 120 à 145 KE)

- De manière générale, nous trouvons que la gestion d'appartement en location est assez lourde. De plus, ma compagne ne souhaite pas s'investir et avoir besoin d'arbitrer régulièrement sur ses placements (de mon côté cela m’intéresse, mais je ne veux pas prendre la responsabilité de gérer ses placements).
Je suis bien placé pour savoir que dans un couple, il y a souvent des compétences distinctes, et que c'est généralement l'un de membres qui s'occupe de la vie courante, et que c'en est généralement un autre qui s'occupe davantage et/ou met en oeuvre les décisions stratégiques du couple, portant alors sur des évolutions pouvant engager des capitaux importants.

Mais pour le coup, il semble que vous vous comportiez comme un couple en union libre, chacun s'occupant de son côté de ses propres affaires ; à la lecture, c'est un peu l'impression que vous donnez ...

La situation actuelle (bourse) me pèse beaucoup plus qu'à ma compagne qui reste sereine malgré une perte conséquente.
- emprunter pour investir va me poser problème car j'ai des soucis de santé actuellement.
C'est effectivement un élément sensible à prendre en compte, puisqu'il va peser sur vos facultés personnelles à faire assurer vos éventuels emprunts, et c'est donc de nature à présenter une assez forte contrainte sur l'évolution de votre patrimoine global ....

Au niveau des placements proposés par le conseiller, il y a donc :
Alors si vous le voulez bien, on pourra parler des produits proposés après qu'un bilan patrimonial sérieux ait été dressé, et qu'au delà d'objectifs plus ou moins lointains de transmission, il y ait eu des objectifs plus proches, tels que les études et l'installation de vos enfants dans une grosse quinzaine d'années ....

Si vous avez d'autres conseils, ou des idées de placements, je suis preneur.
De manière générale, dois-je abandonner l'idée d’investir dans l'immobilier en dur ou en scpi ?
Là tout dépend de votre attirance pour devenir un encore plus gros bailleur de biens physiques, alors que la gestion de SCPI me semble moins prenante et contraignante ....

Ayant ou ayant eu les deux, j'ai acquis une préférence pour les SCPI ....

Sans emprunter, il n'y a pas d’intérêt ?
De plus, notre patrimoine comprendra à la fin de notre prêt de l'ordre de plus de 470.000 € d'immobilier.
Tout dépend si vous souhaitez un jour être un redevable de l'ex ISF (IFI) ....:D

Et c'est aussi là qu'il va vous falloir raisonner en terme de formes de transmissions à vos enfants, via des donations (donations partage, comportant ou non des biens immobiliers) ...

Est-ce que nos seules solutions sont des placements d'assurance-vie intéressants avec du fond €, des UC, des obligations et de l'immobilier afin de diversifier un max ?
Bien entendu que non, mais il convient de reconnaître que l'assurance-vie (quelle que soit la forme de gestion que vous retiendrez) est un produit assez souple d'emploi, et qui permet de couvrir un panel assez large d'utilisation pour des objectifs variés ; à ce titre, c'est un produit pivot central dans la constitution et le développement d'un patrimoine ....
 
Dernière modification:
Retour
Haut