Loueur en meublé microBIC

Comme vous par exemple. On pouvait s'en douter.
Si j'en étais, je serais flatté d'être reconnu par mes paires, mais non, ancien, je le suis au yeux des jeunes, mais pas du tout dans la maison;

Mais nous on est des particuliers avec un 40 m2 et pas de comptable ! Petit petit donc ...
On ne va pas jouer dans la cour des grands !
humm grand ou petit c'est un monde où tout le monde peut être gagnant, un comptable+ un organisme agrée :cout voisin de 600 euros dont une bonne partie peut se déduire des impôts (cas 7ff) donc coût réel 200 euros
un bien estimé en valeur vénale à 120 000 euros (par exemple 40m² à 3000 euros/m²) en amortissement avec un comptable on pourrait avoir 5000 euros d'amortissement et 150 pour les meubles, 750 de tf, 575 de cfe, l'assurance pno:100 euros; la gestion , puisque vous déléguez: 600 euros/an, les charges de copro et autres 600 annuel et quelques autres choses 225 euros
on arrive donc a des charges comptabilisées fiscalement à 8000 euros ; or vous avez un loyer de 8000 donc vous déclarez 0 ; soit 0 d'impots , alors qu'à l'heure actuelle vous déclarez 4000 soit en tmi 14% et PS de 17,2% soit 1268 euros d'impots et PS; donc un gain de l'ordre de 1068 euros en déclarant au réél;
si vous êtes non imposable, il vaut mieux rester au micro bic .
Bien sûr ces chiffres sont fictifs et à remplacer par les votres...
 
Ça m’intéresse car on paie bcp d’impôts sur le revenu.

Tout le monde, tous les français pour être un peu plus précis, ont le sentiment, souvent bien réel, de payer beaucoup d'impôts.
En l'espèce, il s'agit d'impôt sur le revenu. Et, pour être clair et avoir des solutions adaptées, il vaut mieux parler de TMI (taux marginal d'imposition).
 
Quelle affirmation ? Je parle de mes propres impots (ce n’est pas une généralité)
j'avais mis les smileys "humour" ….

bien sur ( et si tu suis mes nombreuses interventions sur ce forum ) je fais partie de ceux qui dénoncent l'imposition bien trop élevée dans notre pays ....
 
Ok pour le TMI : 30 %

La solution d'opter pour le réel, suggérée par moietmoi peut donc être envisagée. Bien sûr, le calcul de l'amortissement de la construction doit être affinée en fonction de son coût réel. Vous trouverez par ailleurs sur le net des informations sur la ventilation du coût entre les divers composants amortissables (gros œuvre, second oeuvre, etc...) qui vous permettront de mieux estimer l'intérêt de l'option.
 
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