Un placement dans la voiture électrique de moins en moins rentable

L’UE a commis l’erreur « du tout voiture électrique »

Il aurait fallu développer également la voiture à hydrogène

D’autre part les carburants de synthèse pourront être utilisés dans des moteurs thermiques probablement d’ici 2030

Les Allemands ont pris des brevets pour utiliser l’hydrogène comme vecteur énergétique , dans des moteurs thermique.

Il y a encore deux ans j’étais certain que l’hydrogène naturel n’existait pas .
Or aujourd’hui , en France on en trouve partout à l’état naturel à des profondeurs variant entre 10 et 30 000 Km de profondeur
Enfin et surtout , on n’est pas certain de son origine , mais il existe une forte probabilité qu’il soit renouvelable
Désolé , dans la précipitation d’avoir confondu Km et m

Et merci dans le post précédent d’avoir donné les bonnes valeurs
 
Bonjour
Coup de mou sur les véhicules neufs , et en particulier électriques en Europe !
Tesla particulièrement à la peine !
extrait du journal les Echos du 19 Avril

Sur l’ensemble du premier trimestre, les ventes de voitures électriques grimpent de 3,8 % sur un an,
loin des progressions à deux chiffres qui étaient jusqu’à présent la norme.

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En même temps rien d'étonnant dans ces chiffres.
Pourquoi acheter une voiture électrique sauf à être éligible au leasing social?

Surcoût à l'achat.
Un prix de revente occasion dérisoire.
Pas de Prime à la conversion si RFR ≥ 15900 €
Bonus écologique une nouvelle fois abaissé.

Les loueurs professionnels font machine arrière sur l'électrique, notamment à cause du prix dérisoire de revente.

Sauf à baisser les coûts et les marges, je vois difficilement l'électrique gagner plus de parts de marché à court terme.
 
Le marché des véhicules électriques cale

APRÈS UN BON MILLÉSIME EN 2023, LE SECTEUR EST À LA PEINE EN CE DÉBUT D’ANNÉE, À LA FOIS EN EUROPE ET AUX ÉTATS-UNIS.

L’INFLATION ET LA DIMINUTION DES AIDES D’ÉTAT RALENTISSENT LE MARCHÉ.

Extrait du journal le Figaro du 19 avril

Amélie Ruhlmann



En mars, les immatriculations européennes de voitures neuves ont connu leur premier repli de l’année. Le marché de l’automobile électrique, en particulier, bat de l’aile.

Avec 134 400 nouvelles immatriculations en mars, les véhicules électriques enregistrent un recul de 11,3 % à l’échelle du continent. La part de marché du tout-électrique, qui avait atteint 14,6 % sur la totalité de l’année 2024, n’excède plus 13 %.

. Aux États-Unis, les « BEV » patinent depuis plusieurs mois, boudés par les acheteurs en raison de prix historiquement bas à la pompe et de restrictions persistantes sur le marché des prêts.

Dans le sillage des gouvernements britannique et norvégien, le gouvernement allemand a coupé net le robinet des subventions à l’achat de véhicules électriques en septembre 2023, provoquant une chute brutale des achats.

Volkswagen et Stellantis ont eu beau allonger les remises pour compenser la fin des primes publiques, rien n’y fait : les immatriculations électriques ont à nouveau plongé de 30 % en mars, sans perspective de redressement à court terme
 
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