grand débat national

quels sont selon vous les impots qu'il faut baisser en priorité

  • l'IR

    Votes: 14 31,8%
  • la TVA

    Votes: 8 18,2%
  • la CSG

    Votes: 21 47,7%
  • l'IFI

    Votes: 2 4,5%
  • TOUS

    Votes: 7 15,9%
  • oh non , pitié Buffeto pas un sondage par jour

    Votes: 3 6,8%
  • s'en fout car est résident monégasque ...

    Votes: 3 6,8%

  • Total de votants
    44
  • Sondage fermé .
Il est demandé pour une durée de six mois maximum avec le complément libre choix d’activité et peut être prolongé jusqu’aux trois ans de l’enfant mais sans contrepartie financière."
Certes, mais je sais très bien tout cela ; pour votre info, j'ai une fille qui est assistante sociale, et ayant 3 enfants, elle aura fait durer son congé parental, au maxi qu'elle aura pu ...

Et de nombreuses épouses qui ont un conjoint qui gagne relativement bien sa vie (mais sans excès toutefois ...), optent pour cette solution ; comme elles ne sont pas indemnisées au delà de 6 mois, elles prolongent leur congé parental sans indemnisation ; cela présente deux conséquences :
- elles n'auront pas de nounou à régler
- comme elles ne gagnent rien durant la période non indemnisée, l'imposition des revenus du couple ne s'en ressent que mieux ....

Donc ça revient à ce que je disais : le congé parental maxi est de 6 mois en France pour un premier enfant. Les femmes qui le prolongent jusqu'aux 2 ou 3 ans de l'enfant existent bien sûr mais elles ne sont pas rémunérées (ce qui en limite singulièrement le nombre). il y a sans doute des conventions collectives qui sont plus généreuses...
C'est curieux, mais à vous lire, on pourrait croire que la France se trouve peuplée de mères célibataires ...

Toutefois, et dans votre première version, vous n'aviez pas parlé du fait qu'il existe deux périodes de congé parental :
- celui qui se trouve indemnisé (les 6 fameux mois ...)
- celui où il ne l'est plus (de 6 mois à 3 ans ...) ; vous pourrez toutefois noter que durant cette période, et selon les cas, une mère peut aussi faire une formation ou quelque chose du genre ...

Mais tout cela, dites-vous bien que quelqu'un qui aura gravité à la fois dans les affaires sociales, et qui plus est dans un environnement international, se doit de naviguer allègrement dans cette réglementation ....
 
bon alors moi ma position est que je préfère faire payer l'utilisateur ou l'usager plutôt que le contribuable ….
Eh bien voilà une position claire! Une fois n'est pas coutume.
On peut être d'accord ou non, mais au moins c'est un choix de société assumé.
Je pourrais presque être d'accord avec ça, mais attention toutefois aux contribuables pauvres qui ne pourraient rien payer et donc n'iraient pas se soigner. Dans certains cas qui ne sont pas rares, ça peut poser un problème de santé publique (tuberculose, fièvre typhoïde, gale...).
Notamment chez les migrants, et là on bascule dans le volet immigration sur lequel je ne vais pas m'engager ici.

il est donc assez logique que je vote pour une réduction de l'IR . s'il faut trouver des ressources supérieures alors je voterais pour augmenter la TVA .( tabac , alcool , essence en 1er )
elle pése sur la consommation en effet mais la consommation est un choix personnel….
Logique. D'accord avec ça. Encore que, la consommation de l'alcool et du tabac ne sont pas dans le top ten de la consommation. Mais c'est une bonne idée (qui, cela dit, est mal passée auprès des GJ...!!)

personne n'est obligé d'acheter le dernier iPhone à la mode ou autre gadget inutile . ( perso ,, mais ca n'engage que moi l'argent n'est pas fait pour être dépensé mais thésaurisé ou investi :ange: )
D'accord encore plus. Mais malheureusement, tout le monde, et particulièrement les moins riches sont friands du "dernier modèle haut de gamme". Plus grand monde ne se sait prioriser ses dépenses, alors gérer un budget (ou un patrimoine, aussi petit soit-il), c'est même pas la peine d'y penser...
 
C'est curieux, mais à vous lire, on pourrait croire que la France se trouve peuplée de mères célibataires ...

Ah non, point du tout ;).
Mais 30% des femmes qui s'arrêtent complètement de travailler au moins 1 mois après leur congé maladie en France, cela fait peu, non? Et ceci sans distinction du nombre d'enfants qu'elles ont (on est sans doute plus proche de 20% si on ne retient que le premier enfant...).
Ces chiffres de sortent pas de mon chapeau, ils viennent de l'INSEE : https://bfmbusiness.bfmtv.com/franc...ment-son-activite-professionnelle-843556.html

Alors si on cumule 1er enfant et 6 mois d'interruption totale, on est encore plus bas (10%?)... Donc comme je le disais, il y a très peu de femmes en France qui s'arrêtent plus de 6 mois après la naissance de leur premier enfant (largement moins de 10% je suppose).

Si on parle de notre cas personnel, mon épouse s'est arrêtée de travailler 3 ans dès notre premier enfant puis de nouveau 3 ans après la naissance de notre second enfant. Donc, on ne peut pas me dire que je prends mon cas pour une généralité. Bien au contraire, la vie d'une majorité de français ne ressemble pas à la mienne, ce qui n'empêche pas de s'en préoccuper...;)
 
"Rappel de Buffeto : je préfère faire payer l'utilisateur ou l'usager plutôt que le contribuable …."
Eh bien voilà une position claire ! Une fois n'est pas coutume.
On peut être d'accord ou non, mais au moins c'est un choix de société assumé.
Et je dois bien reconnaître, que comme principe de base, je le partage !!;)

Je pourrais presque être d'accord avec ça, mais attention toutefois aux contribuables pauvres qui ne pourraient rien payer et donc n'iraient pas se soigner. Dans certains cas qui ne sont pas rares, ça peut poser un problème de santé publique (tuberculose, fièvre typhoïde, gale...).
Mais il n'y a pas besoin d'être un contribuable pauvre, pour rechercher des solutions alternatives, notamment au niveau des prothèses (et j'en porte de 2 nature, visuelle et dentaire), et j'ai fini par trouver une solution alternative en matière de confort auditif ....

Mais si les prothèses n'étaient pas si chères, peut être bien que les contribuables pourraient mieux se soigner ...

Notamment chez les migrants, et là on bascule dans le volet immigration sur lequel je ne vais pas m'engager ici.
Ou se trouve donc le temps où l'on allait se faire soigner à ce que l'on appelait le dispensaire ....

Logique. D'accord avec ça. Encore que, la consommation de l'alcool et du tabac ne sont pas dans le top ten de la consommation. Mais c'est une bonne idée (qui, cela dit, est mal passée auprès des GJ...!!)
Je vais faire mon égoïste, en indiquant que je ne suis pas fumeur ...
Mais j'ai visité des centres de cures thermales, et j'ai encore le souvenir d'une photo des poumons d'un gros fumeur ...
Cela ressemble à deux blocs de mousse charbonneuse, mais spongieux ....
De plus, une expérience trop jeune, m'aura fait m'écarter très tôt de la cigarette et du tabac ...

Pour ce qui concerne les alcools, je fais une importante différence entre les vins, et les alcools forts : mais qu'il s'agisse des uns ou des autres, j'accepte d'en acquitter le prix, quel que soit le volume de taxes que ce prix contient ; pour la petite histoire, je demeure à proximité de l'Italie, et il y a de sérieux concurrents des revendeurs français ....

D'accord encore plus à propos des gadgets à la mode.
Mais malheureusement, tout le monde, et particulièrement les moins riches sont friands du "dernier modèle haut de gamme".
Oui, mais là, nous entrons dans une démarche similaire au snobisme, car si le seul attrait est d'avoir le dernier bidule à la mode, si cela peut en rassurer quelques uns, tant mieux pour eux !
Pour ma part, et tant qu'un matériel continue à fonctionner agréablement, je le conserve volontiers, et pour en changer, il faudra que le remplaçant montre des avantages très significatifs ...

Alors ensuite, il y a l'avancée technologique qui nous conduit à ne plus trouver le modèle d'il y a 3 ou 4 ans ...

Plus grand monde ne sait prioriser ses dépenses, alors gérer un budget (ou un patrimoine, aussi petit soit-il), c'est même pas la peine d'y penser...
Certes, mais eux environnements m'auront marqués dans ma vie !
- primo le cocon familial, où mon père artisan ébéniste, n'achetait pratiquement aucun outil ; il se les fabriquait ...
- secundo, un président d'association qui avait une déclinaison du besoin assez particulière des solutions de substitution à l'acte d'achat ....
 
Dernière modification:
bon alors moi ma position est que je préfère faire payer l'utilisateur ou l'usager plutôt que le contribuable …
je ne nous vois pas comme usager ou utilisateur, ni comme contribuable, mais comme citoyen;

Lorsque j'ai une maladie rare , suis utilisateur, usager? non je suis un citoyen malade, et en fonction du degré de développement technologique et de la richesse de la société toute entière, je suis pris en charge par la société; le coût du traitement se chiffrant en centaines de milliers d'euros , il ne peut y avoir de prise en charge individuelle;( ou alors tu as bien thésaurisé Buffeto!!):)
est-ce un impot, une cotisation , une taxe qui doit contribuer à cela? en tout cas ce n'est pas le malade qui n'y est pour rien!
Lorsque je suis élève puis étudiant et que pour ma spécialité, je dois me former avec les meilleurs professeurs, je suis un investissement pour le pays, et je ne suis pas un utilisateur de l'éducation, ni un usager, et la société serait bien bête de se passer des millions de cerveaux intelligents qui sont les ressources de l'avenir sous prétexte que les parents n'ont pas de quoi; Et que les systèmes de crédits pour les études, montrent leurs limites tant dans l'évasion des têtes bien formées pour aller à l'étranger sur des postes mieux rémunérés pour rembourser le crédit et ne plus servir le pays, donc un investissement uniquement rentables aux banques et pas au pays, que tant par les risques de "subprime" étudiants;

et ainsi de suite... Pour moi, la seule question est comment susciter et maintenir l'initiative individuelle et l'audace lorsque la prise en charge est forte;
 
C'est curieux, mais à vous lire, on pourrait croire que la France se trouve peuplée de mères célibataires ...

Hélas, dans certaines régions socialement et économiquement fragiles dont la mienne, elles sont particulièrement nombreuses, et bien souvent le congé parental prolongé (choisi durant la période où le couple existait) les aura éloignées trop durablement du monde professionnel. Pour ma part j'en ai croisé bon nombre contraintes de se contenter d'un job d'aide-ménagère ou d'auxiliaire de vie scolaire. Peu d'heures au contrat, et un salaire d'à peine 700€ par mois...
 
je ne nous vois pas comme usager ou utilisateur, ni comme contribuable, mais comme citoyen;
Lorsque j'ai une maladie rare , suis utilisateur, usager? non je suis un citoyen malade [...] qui n'y est pour rien!
C'est une excellente remarque, d'où mon presque d'accord avec Buffeto. On en vient à ce que disait Tomas466 sur le fait que "la santé ça n'est jamais comme le reste, la santé n'a pas de prix, etc...".
Je n'ai pas le temps d'argumenter sur son post, j'y reviendrai plus tard.
 
Elle est marrante votre présentation de situation, et de façon involontaire, elle me replonge au beau milieu des années 80, lorsque j'ai pris la responsabilité de mon dernier poste ...

Parmi cette responsabilité, il y avait la problématique de tenter d'équilibrer un régime d'assurance maladie, sachant qu'il y avait des effectifs provenant de nombreux pays du monde (logiquement destinés à y retourner), et qu'il y avait aussi du personnel local, qui avait vocation à rester en service jusqu'à une prise de retraite, et à se trouver couvert également durant cette période de retraite ....

Et bien entendu, d'assurer tous les désagréments médicaux que cette population pourra y rencontrer ...

Première démarche, assurer sur moyens propres la couverture de ce qui était qualifié de petit risque, un suivi médical avec des interventions dite mineures ne nécessitant que peu d'actes de chirurgie ou de radiothérapie ....

Seconde démarche, négocier une couverture d'assurance en contre-garantie, sur la plus grosse partie des autres actes, entraînant des charges importantes, tout en ne relevant pas de maladies rares

Je ne nous vois pas comme usager ou utilisateur, ni comme contribuable, mais comme citoyen
Pour répondre à cette introduction, je considère que nos sommes avant tout des citoyens, mais qu'ils seront un jour ou l'autre des contribuables, tout en étant (très rapidement) des usagers ou utilisateur d'un service public, bien avant d'être devenus des contribuables ....

Lorsque j'ai une maladie rare, suis-je utilisateur, ou usager ?
Non je suis un citoyen malade, et en fonction du degré de développement technologique et de la richesse de la société toute entière, je suis pris en charge par la société.
Il fut d'abord que vous soyez un assuré social, afin que vous puissiez commencer par obtenir la couverture que vous propose ce régime social ; comme assuré social, vous acquittez une quote-part de cotisation sociale ....

Le coût du traitement se chiffrant en centaines de milliers d'euros, il ne peut pas y avoir de prise en charge individuelle (ou alors tu as bien thésaurisé Buffeto !!):)
Mais s'agissant d'une maladie rare, il existe une forte probabilité pour qu'elle ne se trouve pas éligible à une prise en charge par la société ....
Et à partir de là, il faut envisager des solutions très diverses, et ce n'est pas un hasard si le Théléthon perdure depuis d'aussi nombreuses années ....

Est-ce un impôt, une cotisation, une taxe qui doit contribuer à cela ? Alors qu'en tout cas, le malade qui n'y est pour rien !
Ce ne peut être ni un impôt ni même un taxe, et dans le meilleur des cas, cela pourra combiner une cotisation à une assurance sensible à vote affection, mais le plus souvent complétée par une forme de mécénat ....


Lorsque je suis élève puis étudiant et que pour MA spécialité, je dois me former avec les meilleurs professeurs, je suis un investissement pour le pays, et je ne suis plus un utilisateur de l'éducation, ni un usager, et la société serait bien bête de se passer des millions de cerveaux intelligents qui sont les ressources de l'avenir sous prétexte que les parents n'ont pas de quoi
A partir de ce paragraphe, nous changeons complètement de sujet et d'environnement ....

Et c'est tout le problème de notre système dit d'éducation nationale, qui forme des têtes bien faites et bien pleines, mais qui ne se trouve en adéquation avec les débouchés économiques permettant de bien absorber cette population pourtant bien formée ...

Et que les systèmes de crédits pour les études, montrent leurs limites tant dans l'évasion des têtes bien formées pour aller à l'étranger profiter de postes mieux rémunérés pour rembourser le crédit et ne plus revenir servir le pays formateur.
Cette une situation qui est effective, à la fois pour des étudiants originaires de France et formés en France, mais aussi de personnes issues de l'immigration, qui viennent de former en France, mais ne retournent pas dans leur pays d'origine ...

Combien de roumains ou de malgaches (pour ne citer qu'eux) croise-t-on dans les spécialités médicales ou para-médicales ??

Donc un investissement uniquement rentable pour les banques et pas profitable au pays, que tant par les risques de "subprime" étudiants, et ainsi de suite ...
Ce n'est quand même pas aussi tranché que ça, mais il y a une partie de vrai !!

Pour moi, la seule question est comment susciter et maintenir l'initiative individuelle et l'audace lorsque la prise en charge est forte.
De quel domaine parlez, seulement du monde médical ??
 
Bonsoir,
Il y aurait beaucoup à dire sur la question de la santé.
Le passage aux 35 heures: une véritable usine à gaz, une bonne dose d'utopie et d'hypocrisie! Pendant que des accords étaient signés dans de grandes branches d'activité concernant les salariés du privé (au moins une que j'ai connue) conduisant à une réduction effective, non pas de 10% mais d'environ 5%, des administrations réduisaient, elles, de 10% le temps réel de travail, tout ceci bien entendu sans baisse de salaire mais avec une supposée augmentation de la productivité.
Résultat: du jour au lendemain les fonctionnaires devaient faire le même travail avec 10% de temps en moins: cherchez l'erreur.
Je ne partage pas vraiment l'avis de @buffeto sur le fait que ce sont les patients qui devraient payer leurs soins de santé. Les soins ne sont pas un produit de consommation et il me parait normal que la solidarité nationale joue dans ce domaine.
J'ai connu quelqu'un qui, suite à une reconversion, s'est retrouvé responsable des achats de matériels dans un hôpital: il était effaré du prix de certains matériels, pour lui incompréhensible et il s'est attaché à faire diminuer ce prix. Je ne sais pas si tous les responsables des achats ont autant de conscience professionnelle que lui.
Du côté des patients, le problème principal est le prix des soins qui est à quatre vitesse actuellement entre le secteur conventionné 1, le secteur conventionné 1 OPTAM, le secteur conventionné 2 et le secteur non conventionné. Pour ma part, j'ai du mal à comprendre (ou à accepter) la persistance du secteur 2.
Mais ce n'est que mon avis...
 
On en vient à ce que disait Tomas466 sur le fait que "la santé ça n'est jamais comme le reste, la santé n'a pas de prix, etc...".

ok ,étendons à d'autres domaines, supposons que j'habite en haute montagne, là où la pose de l'électricité coûte cher, là où les routes doivent être entretenues souvent (gel/et autres), si l'état me considère comme usager ou utilisateur, la diagonale du vide va s'agrandir et seules les métropoles seront habitées; le pays n'existe plus, alors que si je suis un citoyen, j ai droit à mon abonnement edf/autre et aux routes entretenues au même coût pour moi ...et le pays existe;

Santé, éducation, utilities comme disent les anglais,quoi d'autres? Parce je vis au centre de la France, je n'utilise pas les douaniers... ? parce que je suis pacifiste, je n'ai pas besoin de l'armée?

Il faut d'abord que vous soyez un assuré social, afin que vous puissiez commencer par obtenir la couverture que vous propose ce régime social ; comme assuré social, vous acquittez une quote-part de cotisation sociale ....
c'est là la différence entre le citoyen et les autres dénominations;De mon point de vue, parce que je suis citoyen,la société, en fonction de ses moyens , m'assure le même traitement de santé, que je sois contributeur ou non; ce sont des choix de société;
De quel domaine parlez vous , seulement du monde médical ??
Non justement, comme je viens de le dire.. cela couvre pas mal de domaines, il faut donc sans doute plus de taxes, plus d'impôts, plus de cotisations, mais plus équitables, mieux réparties et certainement mieux gérer;

La difficulté est sans doute aussi que lorsque l'on dit "mieux gérer" certains entendent "moins de personnels" et prennent leur habits de cost kille alors qu'une meilleure gestion peut se traduire par les mêmes coûts, les mêmes personnels et plus de services pertinents;
 
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