Crise prochaine ?

Exact j'ai lu un peu trop vite mon graph, au temps pour moi.
Alors reprécisons les choses, et Trump fut élu en novembre 2016, avec prise de fonction début 2017 ….

https://www.abcbourse.com/graphes/temp/cabvtwtj.0tw.png
Sur ce graphe (sur 5 ans en hebdo) l'élection de Trump figure sous le E de EVT (en haut du graphe), et il y eut effectivement un fléchissement de marché, mais 2 années plus tard …..

Sous l'angle de la lisibilité, le graphe de Poam5356 est très illustratif de l'évolution des cours depuis l'élection de Trump ....
 
Dernière modification:
pas si sûr il faut que je vérifie mais je ne me souviens pas d'un mouvement particulier de mes parts d'Investipierre bnp reim entre autres;
A l'époque (nous étions avant l'existence Boursorama et quelques autres sites), ce dont je me souviens, c'est que le prix de la part dégringolait à chaque réception de rapport de gestion, ce qui m'aura permis de procéder à plusieurs souscriptions durant la période …..
tes souvenirs sont meilleurs que les miens....


investipierre 1990.pnginvestipierre 1998.png
 
Je partage l’avis de deux d’entre vous sur la crise immobilière avant les années 2000 .
Pour la crise de 2008 , c’est différent .
J’ai retrouvé pour l’année la baisse très lente de la valeur des parts mensuellement et il n’y a aucune comparaison avec l’effondrement brutal de la bourse.

Les SCPI ne sont pas cotées en Bourse. Elles échappent donc aux aléas de cette dernière, permettant la distribution régulière de dividendes. En 2008, les SCPI ont ainsi rapporté en moyenne 5,73% aux détenteurs de parts, selon l’Institut de l’épargne immobilière et foncière (IEIF),

L’année 2008 a également été marquée par une baisse des prix de parts de 5,07% en moyenne. Cette baisse est de nature différente en ce qui concerne les SCPI à capital fixe et les SCPI à capital variable : pour les SCPI à capital fixe, la baisse des prix de part sur le marché secondaire a été plus importante (-7,89% en moyenne).
Pour les SCPI à capital variable la baisse des prix de part a été limitée à – 1, 4 %
 
L’année 2008 a également été marquée par une baisse des prix de parts de 5,07% en moyenne. Cette baisse est de nature différente en ce qui concerne les SCPI à capital fixe et les SCPI à capital variable : pour les SCPI à capital fixe, la baisse des prix de part sur le marché secondaire a été plus importante (-7,89% en moyenne).
Pour les SCPI à capital variable la baisse des prix de part a été limitée à – 1, 4 %

C'est bien ce que j'écrivais plus haut: tout ne s'effondrera pas en cas de crise.
Il faut raison garder, et faire le dos rond.
Evidemment si on est contraint de vendre à ce moment précis, c'est très ennuyeux.
=> c'est là que la poche de liquidités est précieuse, et que les placements financiers liquides sont très utiles, et ont une vertu > à l'immobilier.

En revanche cela a été très dur en Espagne: et pour cause, il y avait une vraie grosse bulle immobilière.
 
Petite anecdote marrante - dans une autre vie lorsque j'étais encore à la fac, un des dirigeants de KKR était venu pour une présentation et nous avait dit qu'il avait été nommé un des golden boys de la finance française pour avoir prédit le krach des marchés des années 80.

Il nous a ensuite dit texto "bon ce que personne ne vous dira c'est que le krach ça faisait dix ans que je le prédisais, à un moment j'allais forcément avoir raison..."
 
Intéressant, on commence à lire des articles alarmistes sur les SCPI, pointant notamment l'absence de liquidité et les frais élevés.
On dirait de la com visant à décourager l'investisseur lambda, pour éviter de trop démocratiser ce placement et éviter la formation d'une bulle (trop tard ?).
Qu'en pensez-vous ?
 
Qu'en pensez-vous ?
je gère un groupe facebook qui parle d'investissement …..il est extrêmement compliqué de trouver chaque jour une nouvelle idée à développer ( lorsqu'on a déjà écrit des contributions quotidiennes depuis plusieurs années )...

donc j'imagine que les journalistes ou chroniqueurs , eux aussi , ont une grosse pression pour trouver de nouveaux angles d'écriture ….

du coup ils s'engouffrent au moindre début de commencement de frémissement de quoique ce soit qui puisse leur permettre de publier.
 
On dirait de la com visant à décourager l'investisseur lambda, pour éviter de trop démocratiser ce placement et éviter la formation d'une bulle (trop tard ?).
Qu'en pensez-vous ?
on peut aussi penser que cela relève du conseil de bon sens... sans être alarmiste, ou alors, on en parle en augmentant les dangers pour mieux préserver la niche des érudits...
 
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