Il y a 10 ans, la crise des subprimes.

oui mais c'qui n'va pas M. Bufetto, c'est le "planté d'crédits" (caler des crédits sur la survaleur du crédit au lieu des revenus objectifs du quidam)
certes mais ceci est un autre problème ....qui est responsable celui qui demande un crédit au dessus de ses moyens ou celui qui le lui accorde ?
 
certes mais ceci est un autre problème … .qui est responsable celui qui demande un crédit au dessus de ses moyens ou celui qui le lui accorde ?
La faculté d'accorder sans pratiquement de contrôle, des crédits sur la base d'une hypothèque rechargeable de façon débridée ….

Cette forme d'hypothèque un temps étudiée pour la France n'aura pas été autorisée, bien que sous une forme beaucoup plus limitée …...
 
qui est responsable celui qui demande un crédit au dessus de ses moyens ou celui qui le lui accorde ?
La perversion est liée au mode distribution: celui qui accorde ,est payé en retour(commission..); Alors les vendeurs trouvent des moyens sophistiqués pour masquer les engagements réels;
Quel élu pouvait comprendre ce qui se cachait dans les emprunts toxiques vendus en France aux collectivités?

Nous parlons des subprimes aux USA, en nous croyant protégés de toute "faute" par nos systèmes de contrôles, mais nous avons eu en France, une grande banque Française qui n' a pas hésité à vendre quasi la même chose, avec des taux d'appels très bas, pendant une période de 2 ou 3 ans, pour aboutir à une mensualité exhorbitante, qui n'était composée que d'intérêts, le capital restant dû sur le crédit augmentant au fil des mois, malgré les mensualités payées conformément au contrat; Il a fallut l'intervention du président de la République, en 2009, directement auprès de la banque pour que des milliers d'acquéreurs immobilier ne se trouvent liquidés par ces amortissements négatifs ...nous ne sommes pas à l'abri.
 
nous avons eu en France, une grande banque Française qui n' a pas hésité à vendre quasi la même chose, avec des taux d'appels très bas, pendant une période de 2 ou 3 ans, pour aboutir à une mensualité exhorbitante, qui n'était composée que d'intérêts, le capital restant dû sur le crédit augmentant au fil des mois, malgré les mensualités payées conformément au contrat; Il a fallut l'intervention du président de la République, en 2009, directement auprès de la banque pour que des milliers d'acquéreurs immobilier ne se trouvent liquidés par ces amortissements négatifs ...nous ne sommes pas à l'abri.

Je suppose que tu évoques Dexia et ses prêts pourris aux collectivités ?
Des maires et leur aéropage de staff sont pas non + blanc-bleus dans l'affaire, on en a déjà causé.

Et par ailleurs, je ne te savais pas si fan du "petit" Président :ange:
 
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