nous avons eu en France, une grande banque Française qui n' a pas hésité à vendre quasi la même chose, avec des taux d'appels très bas, pendant une période de 2 ou 3 ans, pour aboutir à une mensualité exhorbitante, qui n'était composée que d'intérêts, le capital restant dû sur le crédit augmentant au fil des mois, malgré les mensualités payées conformément au contrat; Il a fallut l'intervention du président de la République, en 2009, directement auprès de la banque pour que des milliers d'acquéreurs immobilier ne se trouvent liquidés par ces amortissements négatifs ...nous ne sommes pas à l'abri.