Bonjour,
Tout d'abord je vous rappelle que seuls les immeubles par destination (= non démontables/transportables) sont finançables; donc, dans une cuisine, les appareils électro ménagers ne sont pas à prendre en considération.
Ensuite il faut aussi savoir qu'un devis accepté est un contrat et, comme tout contrat, il doit être respecté.
Si d'aventure vous avez fait instruire un dossier sur la base d'un devis non accepté et qu'en définitive le prix ait évolué à la hausse au moment de son acceptation il y a deux possibilités :
+ Vous autofinancez le surplus par accroissement de votre apport personnel.
+ Vous sollicitez un complément de financement.
Mais, compte tenu du relatif faible montant en cause et du fait des nouveaux coûts (frais dossier - garantie...) engendrés cette option semble peu réaliste.
Le travail fait par soi même n'est pas finançable.
Si vous faites instruire un dossier sur la base d'un devis entreprise et qu'en fait vous n'achetez que les matériaux, la facture réelle à produire sera forcément d'un montant inférieur.
Le risque est qu'à la fin du chantier, au moment où il faudra justifier par des factures la totalité des travaux finançables réellement effectués, apparaisse une insuffisance ce qui pourrait amener la banque à revoir la totalité du plan de financement et - éventuellement - demander un remboursement partiel du PTZ.
Des devis correspondant aux dépenses réelles finançables sont donc préférables.
Le plan de financement est forcément bâti sur la base des devis produits et autres frais (dossier - garantie - parts sociales....) à prévoir.
Et un plan de financement c'est le total de dépenses ci-dessus d'un côté et des ressources de l'autre qui doivent l'équilibrer.
Dans les ressources il y a divers crédits possibles mais aussi votre apport personnel.
Donc, effectivement, le montant des crédit accordés ne pourra pas - au maximum - dépasser celui des devis produits et, surtout, in fine, les factures des dépenses réelles finançables devront être fournies pour justification.
Cdt
Je suis d'accord que la banque ait besoin de devis, or un devis de cuisine en 2016 et un devis de cuisine en 2017 peut varier, si on annonce une cuisine à 4000€ et que l'année d'après nous en voyons une à 5000€, comment cela se passe ?
Tout d'abord je vous rappelle que seuls les immeubles par destination (= non démontables/transportables) sont finançables; donc, dans une cuisine, les appareils électro ménagers ne sont pas à prendre en considération.
Ensuite il faut aussi savoir qu'un devis accepté est un contrat et, comme tout contrat, il doit être respecté.
Si d'aventure vous avez fait instruire un dossier sur la base d'un devis non accepté et qu'en définitive le prix ait évolué à la hausse au moment de son acceptation il y a deux possibilités :
+ Vous autofinancez le surplus par accroissement de votre apport personnel.
+ Vous sollicitez un complément de financement.
Mais, compte tenu du relatif faible montant en cause et du fait des nouveaux coûts (frais dossier - garantie...) engendrés cette option semble peu réaliste.
Ensuite, j'ai fait un devis pour du parquet, sauf que le vendeur m'a fait un devis pour livraison + pose, chose que je compte faire moi-même, dois-je retourner faire le devis ?
Le travail fait par soi même n'est pas finançable.
Si vous faites instruire un dossier sur la base d'un devis entreprise et qu'en fait vous n'achetez que les matériaux, la facture réelle à produire sera forcément d'un montant inférieur.
Le risque est qu'à la fin du chantier, au moment où il faudra justifier par des factures la totalité des travaux finançables réellement effectués, apparaisse une insuffisance ce qui pourrait amener la banque à revoir la totalité du plan de financement et - éventuellement - demander un remboursement partiel du PTZ.
Des devis correspondant aux dépenses réelles finançables sont donc préférables.
Dernière petite question, nous avons pris le maximum en prêt que nous pouvions doit-on faire en sorte que nos devis arrivent à la somme totale demandée en prêt ?
Le plan de financement est forcément bâti sur la base des devis produits et autres frais (dossier - garantie - parts sociales....) à prévoir.
Et un plan de financement c'est le total de dépenses ci-dessus d'un côté et des ressources de l'autre qui doivent l'équilibrer.
Dans les ressources il y a divers crédits possibles mais aussi votre apport personnel.
Donc, effectivement, le montant des crédit accordés ne pourra pas - au maximum - dépasser celui des devis produits et, surtout, in fine, les factures des dépenses réelles finançables devront être fournies pour justification.
Cdt