Il y a 2 façons de voir les choses:
- dire comme vous le faites que l'arrêt risquait de fragiliser sa situation financière, ce qui semble être aussi l'analyse d' H. CAUSSE qui met en avant la défense des coopératives, et là soit la banque n'avait pas prévu, contre toute évidence, que l'arrêt puisse lui être défavorable, soit il y aune omission dans la notice AMF;
-soit il n'y a pas de risque, et donc nul besoin d'en appeler à un renversement de jurisprudence par l'Assemblée plénière, ou à une loi comme le fait H. CAUSSE.
C'est pour cette raison que j'avais posé la question à JérômeLC.
- dire comme vous le faites que l'arrêt risquait de fragiliser sa situation financière, ce qui semble être aussi l'analyse d' H. CAUSSE qui met en avant la défense des coopératives, et là soit la banque n'avait pas prévu, contre toute évidence, que l'arrêt puisse lui être défavorable, soit il y aune omission dans la notice AMF;
-soit il n'y a pas de risque, et donc nul besoin d'en appeler à un renversement de jurisprudence par l'Assemblée plénière, ou à une loi comme le fait H. CAUSSE.
C'est pour cette raison que j'avais posé la question à JérômeLC.