Bonjour,
Je viens solliciter votre aide au sujet de l'équité des finances dans le couple.
Pour information, nous sommes mariés, en séparation de bien.
Nous avons choisi de partager les dépenses communes au prorata de nos revenus (salaires, primes rentes et prestations sociales), le tout net d'impôt et lissé sur toute la durée de notre vie de couple (et non au mois).
Voici la formule que nous utilisons :
A étant ses revenus
B étant mes revenus
DEP étant le total des dépenses communes
Nous avons donc :
A*DEP/(A+B) = Sa contribution
B*DEP/(A+B) = Ma contribution
Exemple :
MARI gagne 1000
ÉPOUSE gagne 1500
DÉPENSES de 1000
MARI contribue 400 et économise 600
ÉPOUSE contribue 600 et économise 900
En cas de perte de revenu, l'un peut prendre en charge la totalité des dépenses (si son salaire le permet).
En contrepartie, l'autre ne pourra pas économiser (ni cotiser à la retraite, selon la situation).
Jusque là, tout me semble correct et, sans pour autant y songer, me semble permettre d'éviter que l'un ne se fasse entretenir par l'autre.
Là où ça se complique, c'est lorsque viennent deux éléments, pour lesquels je n'arrive pas à y voir de solution équitable.
Peut-être pourriez-vous éclairer ma lanterne ?
- D'une part, il s'agit de la situation où l'un d'entre nous possède déjà des économies personnelles acquises au préalable :
Dans ce cas, les économies personnelles ne rentrent pas dans la case "revenus" citée plus haut.
Cela signifie qu'il est possible de créer des dépenses communes supplémentaires (par exemple des meubles), sans pour autant ajouter des revenus.
Il me semble que l'autre se retrouve lésé car il doit contribuer plus, il s'agit en quelque sorte d'argent "virtuel", n'est-ce pas ?
Comment éviter ça ?
- D'autre part, il s'agit de l'arrivée d'enfants au sein de la famille :
Si l'un de nous se consacre au travail de parent au foyer (qui ne génère pas de revenus, ni de retraite dans notre situation), l'autre peut prendre en charge la totalité des dépenses.
Mais comment faire pour que le parent au foyer soit moins lésé en terme d'économies (pour se faire plaisir avec des dépenses personnelles, par exemple) ?
Dans l'absolu, la crèche semble être le plus simple pour la répartition des dépenses, mais nous souhaiterions avoir des enfants pour les élever à temps plein.
Nous avons envisagé des temps partiels, mais nos métiers ne nous le permettent pas.
Je vous remercie de m'avoir lu !
Je viens solliciter votre aide au sujet de l'équité des finances dans le couple.
Pour information, nous sommes mariés, en séparation de bien.
Nous avons choisi de partager les dépenses communes au prorata de nos revenus (salaires, primes rentes et prestations sociales), le tout net d'impôt et lissé sur toute la durée de notre vie de couple (et non au mois).
Voici la formule que nous utilisons :
A étant ses revenus
B étant mes revenus
DEP étant le total des dépenses communes
Nous avons donc :
A*DEP/(A+B) = Sa contribution
B*DEP/(A+B) = Ma contribution
Exemple :
MARI gagne 1000
ÉPOUSE gagne 1500
DÉPENSES de 1000
MARI contribue 400 et économise 600
ÉPOUSE contribue 600 et économise 900
En cas de perte de revenu, l'un peut prendre en charge la totalité des dépenses (si son salaire le permet).
En contrepartie, l'autre ne pourra pas économiser (ni cotiser à la retraite, selon la situation).
Jusque là, tout me semble correct et, sans pour autant y songer, me semble permettre d'éviter que l'un ne se fasse entretenir par l'autre.
Là où ça se complique, c'est lorsque viennent deux éléments, pour lesquels je n'arrive pas à y voir de solution équitable.
Peut-être pourriez-vous éclairer ma lanterne ?
- D'une part, il s'agit de la situation où l'un d'entre nous possède déjà des économies personnelles acquises au préalable :
Dans ce cas, les économies personnelles ne rentrent pas dans la case "revenus" citée plus haut.
Cela signifie qu'il est possible de créer des dépenses communes supplémentaires (par exemple des meubles), sans pour autant ajouter des revenus.
Il me semble que l'autre se retrouve lésé car il doit contribuer plus, il s'agit en quelque sorte d'argent "virtuel", n'est-ce pas ?
Comment éviter ça ?
- D'autre part, il s'agit de l'arrivée d'enfants au sein de la famille :
Si l'un de nous se consacre au travail de parent au foyer (qui ne génère pas de revenus, ni de retraite dans notre situation), l'autre peut prendre en charge la totalité des dépenses.
Mais comment faire pour que le parent au foyer soit moins lésé en terme d'économies (pour se faire plaisir avec des dépenses personnelles, par exemple) ?
Dans l'absolu, la crèche semble être le plus simple pour la répartition des dépenses, mais nous souhaiterions avoir des enfants pour les élever à temps plein.
Nous avons envisagé des temps partiels, mais nos métiers ne nous le permettent pas.
Je vous remercie de m'avoir lu !
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