L'étude UBS menée par Mark Haefele, Global Chief Investment Officer d’UBS Wealth Management souligne, au sujet du marché immobilier parisien que "le marché des propriétaires résidents se découple de plus en plus des fondamentaux en termes de revenus et de rendements locatifs. En outre, depuis 2006, les prix parisiens sont découplés du reste du pays. En conséquence, le marché de la capitale française est entré dans la zone à risque de bulle".
Cette étude ajoute que les prix de l’immobilier résidentiel vont être mises à rude épreuve par la difficulté d’accéder à la propriété.
Ainsi, "Un employé qualifié du secteur tertiaire devrait consacrer en moyenne près de quinze ans de ses revenus pour pouvoir acquérir un appartement de 60 m2 à proximité du centre-ville. A ce niveau de prix, Paris est la ville européenne la moins abordable".
A titre personnel, il me semble que ce qui motive les acquéreurs (vu le niveau actuel des prix à Paris), c'est véritablement la valeur refuge de l'immobilier à Paris car lorsqu'on regarde la rentabilité locative et les espoirs de plus-value, ceux-ci sont vraiment très limités et exigent un ticket d'entrée vraiment très (trop) important.
Cette étude ajoute que les prix de l’immobilier résidentiel vont être mises à rude épreuve par la difficulté d’accéder à la propriété.
Ainsi, "Un employé qualifié du secteur tertiaire devrait consacrer en moyenne près de quinze ans de ses revenus pour pouvoir acquérir un appartement de 60 m2 à proximité du centre-ville. A ce niveau de prix, Paris est la ville européenne la moins abordable".
A titre personnel, il me semble que ce qui motive les acquéreurs (vu le niveau actuel des prix à Paris), c'est véritablement la valeur refuge de l'immobilier à Paris car lorsqu'on regarde la rentabilité locative et les espoirs de plus-value, ceux-ci sont vraiment très limités et exigent un ticket d'entrée vraiment très (trop) important.