Ah, vous parliez des frais internes au fonds.
Peu importe leur montant, les perf sont données nettes de frais.
Prendre un mix des 2 mondes permet de capter la hausse d'un marché haussier avec l'ETF, et de capter celle d'un marché étale ou faiblement baissier avec l'OPCVM. A la condition, bien sûr, que l'OPCVM joue son rôle, c'est à dire que le gestionnaire de l'OPCVM sache piloter son fonds et tirer parti des mouvements des marchés.
Un exemple : Un ETF Monde, comme le Lyxor WLD a perdu 4% en 2018 qui était une année baissière.
L'OPCVM Comgest Monde a gagné 3,88% en 2018.
Il valait mieux avoir l'OPCVM en portefeuille en 2018.
Par contre, depuis le 1er janvier, marché très haussier, l'ETF reproduit immédiatement la hausse avec un +12,8 alors que l'OPCVM est en retrait à +10%.
Là, c'est l'inverse, il valait mieux avoir l'ETF.
Chaque période marquée par des événements boursiers est identique.
2008 et Lehman Brother : OPCVM -31%, ETF -39%
Reprise des marchés après 2008 : ETF +77% et OPCVM +65%
Crise des dettes souveraines en 2011 : OPCVM -6% et ETF -12%
Reprise après la crise de 2011 : ETF +33% et OPCVM +30%
Dans l'idéal, il faudrait arbitrer entre l'ETF et l'OPCVM afin de capter le meilleur de chacun à chaque cycle... Identifier les cycles, c'est une autre paire de manche.
Si l'on ne veut pas jongler avec les fonds, alors autant rester sur l'OPCVM qui aura fait mieux depuis 2006, date depuis laquelle, les 2 ont un historique : L'OPCVM a gagné 150% alors que l'ETF a gagné 110% sur la même période.
C'est la valeur ajoutée apportée par le gestionnaire de l'OPCVM sur la gestion passive.
Peu importe leur montant, les perf sont données nettes de frais.
Prendre un mix des 2 mondes permet de capter la hausse d'un marché haussier avec l'ETF, et de capter celle d'un marché étale ou faiblement baissier avec l'OPCVM. A la condition, bien sûr, que l'OPCVM joue son rôle, c'est à dire que le gestionnaire de l'OPCVM sache piloter son fonds et tirer parti des mouvements des marchés.
Un exemple : Un ETF Monde, comme le Lyxor WLD a perdu 4% en 2018 qui était une année baissière.
L'OPCVM Comgest Monde a gagné 3,88% en 2018.
Il valait mieux avoir l'OPCVM en portefeuille en 2018.
Par contre, depuis le 1er janvier, marché très haussier, l'ETF reproduit immédiatement la hausse avec un +12,8 alors que l'OPCVM est en retrait à +10%.
Là, c'est l'inverse, il valait mieux avoir l'ETF.
Chaque période marquée par des événements boursiers est identique.
2008 et Lehman Brother : OPCVM -31%, ETF -39%
Reprise des marchés après 2008 : ETF +77% et OPCVM +65%
Crise des dettes souveraines en 2011 : OPCVM -6% et ETF -12%
Reprise après la crise de 2011 : ETF +33% et OPCVM +30%
Dans l'idéal, il faudrait arbitrer entre l'ETF et l'OPCVM afin de capter le meilleur de chacun à chaque cycle... Identifier les cycles, c'est une autre paire de manche.
Si l'on ne veut pas jongler avec les fonds, alors autant rester sur l'OPCVM qui aura fait mieux depuis 2006, date depuis laquelle, les 2 ont un historique : L'OPCVM a gagné 150% alors que l'ETF a gagné 110% sur la même période.
C'est la valeur ajoutée apportée par le gestionnaire de l'OPCVM sur la gestion passive.