Pour ceux que cela intéresse, voici un extrait des conclusions de ma banque au sujet de l'année lombarde ...
cqfd, me voici déboutée ....
Bonne lecture....
Si la clause qu’ils incriminent stipule que "les intérêts courus entre deux échéances sont calculés sur la base de 360 jours", elle ajoute aussitôt "chaque mois étant compté pour 30 jours rapportés à 360 jours l'an", le calcul des intérêts sur 360 jours par an étant donc subordonné à l’application de mois forfaitairement comptés pour 30 jours, ce mode de calcul étant donc strictement égal à celui qui consisterait à calculer les intérêts chaque mois selon leur nombre particulier de jours ou bien selon la méthode dites des mois normalisés ainsi que le code de la consommation le prévoit car
(365/12) = 1/12ème d’année de 365 jours = 30,416662
=
(360/12) = 1/12ème d’année de 360 jours = 30 jours
Or il est non moins évident que (1/365) x 365 = (1/360) x 360
et que : (365/12) / 365 = (360/12) / 360 = 0,08333333333…
de sorte que 0.083333… x 365 = 30,41666 (1 mois normalisé) = 1/12ème d’année
et 0.083333… x 360 = 1 mois de 30 j. = 1/12ème d’année
si bien que : (1/360) x 30 = (1/365) x 30,41666
Bonjour,
Aviez-vous insistez sur l'importance et l'impact de l'application de l'année lombarde sur les échéances brisées?
Concernant les égalités, je ne se suis pas tout à fait d'accord car (1/360)x30 = 0.08333333333.....
et (1/365)x30.41666=0.0833333150.....
Serait-il possible de nous fournir l'extrait de votre décision avec vos informations biffées?
Bien cordialement.