Oui, assurément. Quand l'Etat entre en scène, ça se termine plutôt mal pour les spéculateurs, hedge funds et autres fonds activistes.
Nicolas Dufourcq, DG de Bpifrance, avait dit en début d'année :
"Bpifrance est entrée au capital de plusieurs ETI comme Bénéteau, à la demande de la famille, ou Plastic Omnium Environnement, mais elle a très peu investi dans les grandes entreprises l'an dernier, en l'absence de situations spéciales nécessitant son intervention (comme le rachat de la participation de l'État dans le groupe PSA en 2017). Cela pourrait changer cette année, en cas d'attaque d'un actionnaire activiste, comme c'est le cas en ce moment du fonds Elliott sur Pernod Ricard.
Il y a beaucoup d'entreprises françaises qui sont potentiellement fragiles face à des fonds activistes."
Nicolas Dufourcq, DG de Bpifrance, avait dit en début d'année :
"Bpifrance est entrée au capital de plusieurs ETI comme Bénéteau, à la demande de la famille, ou Plastic Omnium Environnement, mais elle a très peu investi dans les grandes entreprises l'an dernier, en l'absence de situations spéciales nécessitant son intervention (comme le rachat de la participation de l'État dans le groupe PSA en 2017). Cela pourrait changer cette année, en cas d'attaque d'un actionnaire activiste, comme c'est le cas en ce moment du fonds Elliott sur Pernod Ricard.
Il y a beaucoup d'entreprises françaises qui sont potentiellement fragiles face à des fonds activistes."