Quantitative Easing (QE) zone euro

Je ne vois absolument pas où est la réponse sur la règlementation en matière de risque portant sur les banques.

Mais la question initiale ne portait absolument pas sur cette réglementation; c'est vous qui l'avez introduite......d'ailleurs sans répondre à ladite question initiale.

Par ailleurs puisque vous insistez, ce n'est pas hier que le RSE a été mis en place (ratio Cooke 1988) sans que cette réglementation entraîne une masse de capitaux dormants sur les comptes des banques à la BCE.

Et, pour revenir au sujet de départ, je voudrais bien que vous expliquiez en quoi le RSE et autres ratios de liquidité expliquent que les banques conservent ~/~ 800 milliards € à dormir sur leurs comptes BCE avec une rémunération négative de 0,20% (- 0,20%) ?

Toutes les banque dépassent actuellement le RSE minimal; si elles avaient suffisamment de demandes solvables suivant quelle logique choisiraient-elles de conserver ces fonds dormants leur générant un coût (rémunération négative de 0,20%) au lieu d'en tirer profit via l'octroi de crédits ? (bis répétita).

Vous pensez sérieusement qu'on peut progresser dans une institution dont on prône la disparition pure et simple ?
Vous pensez sérieusement qu'on peut obtenir le pouvoir politique en expliquant que c'est justement la politique le problème ?
Vous pensez sérieusement qu'on peut atteindre des hauts niveaux de responsabilité dans la fonction publique en poussant pour une diminution drastique du rôle de l'Etat ?

Par rapport au sujet évoqué je n'y comprends rien à ce que vous dites.

Je dis seulement :

1) - Que les dogmes quels qu'ils soient (en économie, en politique, en religion.....etc...) ne sont pas une bonne chose.

2) - Qu'en conséquence il y a autant de probabilités que dans un contexte le keynésianisme soit tout autant efficace que le libéralisme et, inversement, dans un autre contexte.

3) - Qu'il semblerait préférable que les prétendus experts qui détiennent la tout autant prétendue VERITE devraient plutôt mettre - concrètement - leurs compétences dans les instances/institutions/administrations concernées, plutôt que d'affirmer de prétendues solutions théoriques......sans que l'efficacité de leurs soi disant solutions miracles soit cependant prouvée.

Cdt
 
3) - Qu'il semblerait préférable que les prétendus experts qui détiennent la tout autant prétendue VERITE devraient plutôt mettre - concrètement - leurs compétences dans les instances/institutions/administrations concernées, plutôt que d'affirmer de prétendues solutions théoriques......sans que l'efficacité de leurs soi disant solutions miracles soit cependant prouvée.


jean TIROLE fait il partie des experts ?

parce qu'il semble me souvenir que lorsqu'il fut interrogé suite à son prix Nobel d'économie , il avait émis des avis ( sur la politique économisque nationale ) qui sont restés lettre morte ....:confused:
 
le but d'un gouvernement et des politiques en général n'est pas d'améliorer les choses. le but est le status quo. qu'ils puissent garder le plus longtemps possible leurs sièges (et les indemnités d'élus) au chaud. donc pas de prises de risques, pas de grandes réformes, juste des reformettes qui font plaisir (sur le principe car pas assez poussé) aux uns sans faire trop mal aux autres.
 
Mais la question initiale ne portait absolument pas sur cette réglementation; c'est vous qui l'avez introduite......d'ailleurs sans répondre à ladite question initiale.

Ai-je mal compris ou bien la question était de savoir si ça allait marcher ou pas, et pour quelles raisons ?

Donc ne pas évoquer Bâle 3 et Solvency (enfin quand même, les assureurs craignent pour leur rôle d'investisseurs de long terme) me paraît passer à côté d'une grosse partie du sujet.
Bien sûr, les ratios se complètent d'un durcissement de la politique de risques d'une part, et d'un problème plus global de confiance d'autre part.
Confiance dans l'économie certes, mais surtout confiance des acteurs économiques envers les gouvernements.

(bis répétita).

Oui effectivement à part faire des copiers collers des précédents messages, il y a pas bcp de nouveaux arguments...C'est d'ailleurs marrant que vous m'ayez ressorti exactement le même discours qu'à ZRR, qui ne pense pas comme vous lui aussi.

1) - Que les dogmes quels qu'ils soient (en économie, en politique, en religion.....etc...) ne sont pas une bonne chose.

Moui. Enfin l'économie, c'est du niveau 1+1=2. Donc je suis plutôt d'avis de conserver mon bon sens mathématique plutôt que d'abandonner ce "dogme".

2) - Qu'en conséquence il y a autant de probabilités que dans un contexte le keynésianisme soit tout autant efficace que le libéralisme et, inversement, dans un autre contexte.

Ben non. Jamais. Nulle part. Il faut relire les bouquins d'histoire et d'économie. Et tant qu'on y est, réétudier le New Deal, mais en prenant la période complète, pas juste la petite partie qui fait mine de valider la théorie foireuse.

3) - Qu'il semblerait préférable que les prétendus experts qui détiennent la tout autant prétendue VERITE devraient plutôt mettre - concrètement - leurs compétences dans les instances/institutions/administrations concernées, plutôt que d'affirmer de prétendues solutions théoriques......sans que l'efficacité de leurs soi disant solutions miracles soit cependant prouvée.

Ils essayent. Et on leur met un couvercle dessus.
De par mes études, j'ai rencontré bcp de gens qui voulaient changer les choses dans les institutions publiques, dans un sens qui ne correspond pas à l'idéologie qui y domine (à savoir le collectivisme). Ils ont, au choix, échoué, abandonné, continué dans le vide.

Les personnes qui ne vont pas dans le sens de l'Etat (ou l'UE, ou le FMI etc), s'ils veulent travailler en accord avec leur conviction sont obligés d'être en dehors, dans des think tanks ou équivalent.
Des instituts comme Molinari, Montaigne, etc pondent des tas de rapports qui contiennent des solutions concrètes aux problèmes actuels. Et ça change quoi ?

L'efficacité de ces solutions est prouvée dans les pays qui les ont essayées.
Dans notre pays, on a, je crois qu'on peut le dire au bout de 40 ans, prouvé l'échec des solutions actuellement pratiquées. Cela devrait être suffisant pour avoir envie de changer, non ?
 
jean TIROLE fait il partie des experts ?

Crois tu que, s'il n'en était pas ainsi, il aurait obtenu un prix Nobel ?

Mais, pour l'avoir constaté plusieurs fois antérieurement et quel que soit le gouvernement en place, tu sais bien que les décideurs politiques ne suivent pas forcément les préconisations émises dans les nombreux rapports qui leurs sont fournis.

Et quand bien même qu'il y aurait volonté politique de les suivre, cela ne sa fait pas en un claquement de doigts.

Ai-je mal compris ou bien la question était de savoir si ça allait marcher ou pas, et pour quelles raisons ?

Toujours des affirmations....mais pas de réponse à la question initiale

Et, pour revenir au sujet de départ, je voudrais bien que vous expliquiez en quoi le RSE et autres ratios de liquidité expliquent que les banques conservent ~/~ 800 milliards € à dormir sur leurs comptes BCE avec une rémunération négative de 0,20% (- 0,20%) ?

Toutes les banque dépassent actuellement le RSE minimal; si elles avaient suffisamment de demandes solvables suivant quelle logique choisiraient-elles de conserver ces fonds dormants leur générant un coût (rémunération négative de 0,20%) au lieu d'en tirer profit via l'octroi de crédits ? (bis répétita).

(bis répétita).

Oui effectivement à part faire des copiers collers des précédents messages, il y a pas bcp de nouveaux arguments...C'est d'ailleurs marrant que vous m'ayez ressorti exactement le même discours qu'à ZRR, qui ne pense pas comme vous lui aussi.

Ben...ZRR_Pigeon a le droit de penser ce qu'il veut.

Vous avez besoin de son appui pour défendre vos affirmations ?

Moui. Enfin l'économie, c'est du niveau 1+1=2. Donc je suis plutôt d'avis de conserver mon bon sens mathématique plutôt que d'abandonner ce "dogme".

Oui; ainsi que déjà dit c'est votre droit.
Mais personne n'a l'obligation de dire "amen" à vos sermons.

Ben non. Jamais. Nulle part. Il faut relire les bouquins d'histoire et d'économie. Et tant qu'on y est, réétudier le New Deal, mais en prenant la période complète, pas juste la petite partie qui fait mine de valider la théorie foireuse.
Ah oui; on prend ce qui arrange mais on jette le reste ?:)

Je n'ai pas envie de continuer de telles discussions orientées; donc fin d'échanges avec vous pour ce qui me concerne.

Cdt
 
Dernière modification:
Je dis :
mais en prenant la période complète, pas juste la petite partie (...)
Vous comprenez =>
Ah oui; on prend ce qui arrange mais on jette le reste ?

Je dis à propos de vos copier coller :
vous m'ayez ressorti exactement le même discours qu'à ZRR

Vous comprenez :
Vous avez besoin de son appui pour défendre vos affirmations ?

C'est pas la peine de continuer effectivement. Vous avez une lecture assez particulière.
 
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