Humania en procedure collective

Dont acte.....
juste une question, car sur ce point je n'y connais rien, avez vous le droit de publier des documents faisant partie d'un dossier d'instruction ou d'une procédure en cours, où apparaissent des noms et signatures ?
si non, il conviendra de supprimer les parties pouvant être sanctionnables.
Cdt
Tous les documents présentés sont publics.
 
Bonjour,
J'ai pu lire l'intégralité du document (merci @Aristide ;)).
C'est une belle plaidoirie et/ou un bel exercice de com.
Et comme d'habitude cela fait toujours son petit effet, en première lecture.
Mais n'oublions pas: "qui n'entend qu'une cloche n'entend qu'un son".
- L'auteur parle beaucoup des milliers de primes touchées par GA.
Mais rien sur les sommes encaissées par HC ?:unsure:
- L'auteur insiste beaucoup également sur le montant du sinistre qui selon l'avocat de GA serait de 32 M€. Ce chiffre serait totalement erroné d'après l'auteur. Et, à partir de là, une sorte de théorie du mensonge est échaffaudée, théorie selon laquelle GA n'aurait cherché que la "mort de HC".
Mais au fait, j'ai tout lu et je n'ai pas trouvé le vrai montant du sinistre selon HC. Pourtant HC étant le chef d'orchestre de cette activité lucrative, il doit bien connaître ce chiffre. Dommage, je reste sur ma faim.
En toute hypothèse, j'ai dit depuis le début de cette discussion, que là où il y avait un assureur, il restait un espoir pour les vrais victimes que sont les emprunteurs abusés.
HC ne m'a pas attendu pour le comprendre.
Alors, à la tête de l'activité, il y a HC et autour d'HC divers intervenants (assureurs, avocats, intermédiaires..): il appartiendra à la justice de faire le partage des responsabilités en espérant que les véritables victimes soient indemnisées du préjudice subi.
 
oui mais une lettre ou un mail de la compagnie adressée à leur client n'est tout de même pas un document public non ?
Après je pose la question car cela m'avais surpris lors de la lecture, par ailleurs, intéressante de ce dossier.
 
Bonjour,

Vous vous trompez. Sur toute la ligne. Rendez-vous quand le jugement sera rendu.
Voilà ce que vous répondez à Friedrich.

Si nous retenons cette affirmation,

Alors comment expliquer votre autre affirmation :
Nous nous réservons toutefois le droit d'engager la responsabilité de toute personne qui désormais procédera par diffamation
Il me semblait que seules les victimes de diffamation pouvaient engager une action ?

Merci de vos précisions.
 
Dernière modification:
Bonjour,
oui mais une lettre ou un mail de la compagnie adressée à leur client n'est tout de même pas un document public non ?
Après je pose la question car cela m'avais surpris lors de la lecture, par ailleurs, intéressante de ce dossier.
J'ai eu la même interrogation que vous en lisant cet argumentaire.
Je ne suis pas sûr que GA apprécierait la démarche.
Cette question ne relèverait-elle pas des responsables du forum ?:unsure:
En général un procès ne se fait pas sur la place publique...
 
Le problème de toute personne qui souffre de morgue et de prétention, et ce message en témoigne, c’est son incapacité à écouter et entendre des propos différents. Voire de menacer de diffamation autrui, au seul prétexte de ne pas penser comme elle. Même si, par ailleurs, la concernant, elle exige le respect du contradictoire. Cocasse, dans un lieu dénommé « forum » ; attitude qui n’élève pas son auteur, affaireGA2020, et surtout qui le rend antipathique, alors que la cause qu’il défend est peut-être juste.

Contreproductif donc, et qui va à l’opposé d’une démarche de saine explication, nécessaire en la situation.
Mais gardons-nous de ce seul angle d’analyse et, dans ce lieu d’échange, chérissons le doute comme doctrine. Nous ne sommes pas un tribunal, affaireGA2020 pas un ennemi, mais un protagoniste d’une affaire complexe, qu’il tente de nous exposer à sa manière. Il se trompe d'ailleurs d'audience, pour une raison qu'il lui appartient d'assumer.

Ce n’est cependant qu’un détail, l’essentiel du trait de caractère dépeint se traduit hélas par la propension à faire accepter comme vérité ce qui n’est qu’aléatoire, et surtout, sur ce sujet, vouloir faire changer des jurisprudences du seul fait de son imagination et de sa force de conviction. La justice ne fonctionne pas ainsi ; l'égo fait souvent obstacles à des réalités plus intemporelles.

Vivien vous avez raison, cette affaire repose sur deux éléments clefs :
  • Les assertions et présentations d’avant le 23 décembre 2013 sont essentielles ; HC a-t-il habillé la situation ? Chaque partie a les documents, la justice sans doute également. Tout est diffusé, sauf ce document. Pourquoi ?
  • Le professionnalisme de GA qui a enquêté sur la sinistralité de ce dossier ; ont-ils diligentés, ce qui est la base de leur métier, l’étude préalable du risque ? Ainsi que son évolution. On entend des manquements. Là encore, GA devra répondre. Car autant, en phase initiale, une présentation fallacieuse pointe une unique responsabilité, autant, en phase d’exploitation, celle-ci devient partagée. Et non, affaireGA2020, pas unilatérale, c’est un tandem où ce n’est pas à une seule partie d’enquêter sur l’évolution de la vie du contrat.
C’est donc à la justice de trancher. La présomption d’innocence existe, que chaque partie s’en prévale est légitime, mais n’apporte en aucun cas une réponse étayée. Vous avez également raison agra07, « qui n’entend qu’une cloche n’entend qu’un son », les coups de menton sont dérisoires à cet égard.
 
Bonjour,
J'ai pu lire l'intégralité du document (merci @Aristide ;)).
C'est une belle plaidoirie et/ou un bel exercice de com.
Et comme d'habitude cela fait toujours son petit effet, en première lecture.
Mais n'oublions pas: "qui n'entend qu'une cloche n'entend qu'un son".
- L'auteur parle beaucoup des milliers de primes touchées par GA.
Mais rien sur les sommes encaissées par HC ?:unsure:
- L'auteur insiste beaucoup également sur le montant du sinistre qui selon l'avocat de GA serait de 32 M€. Ce chiffre serait totalement erroné d'après l'auteur. Et, à partir de là, une sorte de théorie du mensonge est échaffaudée, théorie selon laquelle GA n'aurait cherché que la "mort de HC".
Mais au fait, j'ai tout lu et je n'ai pas trouvé le vrai montant du sinistre selon HC. Pourtant HC étant le chef d'orchestre de cette activité lucrative, il doit bien connaître ce chiffre. Dommage, je reste sur ma faim.
En toute hypothèse, j'ai dit depuis le début de cette discussion, que là où il y avait un assureur, il restait un espoir pour les vrais victimes que sont les emprunteurs abusés.
HC ne m'a pas attendu pour le comprendre.
Alors, à la tête de l'activité, il y a HC et autour d'HC divers intervenants (assureurs, avocats, intermédiaires..): il appartiendra à la justice de faire le partage des responsabilités en espérant que les véritables victimes soient indemnisées du préjudice subi.
Bonjour,
J'ai pu lire l'intégralité du document (merci @Aristide ;)).
C'est une belle plaidoirie et/ou un bel exercice de com.
Et comme d'habitude cela fait toujours son petit effet, en première lecture.
Mais n'oublions pas: "qui n'entend qu'une cloche n'entend qu'un son".
- L'auteur parle beaucoup des milliers de primes touchées par GA.
Mais rien sur les sommes encaissées par HC ?:unsure:
- L'auteur insiste beaucoup également sur le montant du sinistre qui selon l'avocat de GA serait de 32 M€. Ce chiffre serait totalement erroné d'après l'auteur. Et, à partir de là, une sorte de théorie du mensonge est échaffaudée, théorie selon laquelle GA n'aurait cherché que la "mort de HC".
Mais au fait, j'ai tout lu et je n'ai pas trouvé le vrai montant du sinistre selon HC. Pourtant HC étant le chef d'orchestre de cette activité lucrative, il doit bien connaître ce chiffre. Dommage, je reste sur ma faim.
En toute hypothèse, j'ai dit depuis le début de cette discussion, que là où il y avait un assureur, il restait un espoir pour les vrais victimes que sont les emprunteurs abusés.
HC ne m'a pas attendu pour le comprendre.
Alors, à la tête de l'activité, il y a HC et autour d'HC divers intervenants (assureurs, avocats, intermédiaires..): il appartiendra à la justice de faire le partage des responsabilités en espérant que les véritables victimes soient indemnisées du préjudice subi.
Bonjour,
Les sommes encaissées par Humania sont précisées dans ses bilans. Humania n'a jamais encaissé d'autre CA que celui provenant de ses clients.
Le vrai montant du sinistre n'est connu que de l'assureur. A ce jour il n'y a comme seul chiffre que celui précisé dans ses bilans.
 
Bonjour,
J'ai eu la même interrogation que vous en lisant cet argumentaire.
Je ne suis pas sûr que GA apprécierait la démarche.
Cette question ne relèverait-elle pas des responsables du forum ?:unsure:
En général un procès ne se fait pas sur la place publique...
Que GA apprécie la démarche ? vraisemblablement pas. Mais ils sont libres de prouver l'inexactitude des chiffres ici présentés, qui proviennent de leurs propres bilans, et le caractère faux des documents sur lesquels leur signature apparait.
Enfin, au vu des dizaines de pages de ce forum, comme sur d'autres d'ailleurs, le procès à charge contre le fondateur de Humania se déroule quand même en place publique
 
Le problème de toute personne qui souffre de morgue et de prétention, et ce message en témoigne, c’est son incapacité à écouter et entendre des propos différents. Voire de menacer de diffamation autrui, au seul prétexte de ne pas penser comme elle. Même si, par ailleurs, la concernant, elle exige le respect du contradictoire. Cocasse, dans un lieu dénommé « forum » ; attitude qui n’élève pas son auteur, affaireGA2020, et surtout qui le rend antipathique, alors que la cause qu’il défend est peut-être juste.

Contreproductif donc, et qui va à l’opposé d’une démarche de saine explication, nécessaire en la situation.
Mais gardons-nous de ce seul angle d’analyse et, dans ce lieu d’échange, chérissons le doute comme doctrine. Nous ne sommes pas un tribunal, affaireGA2020 pas un ennemi, mais un protagoniste d’une affaire complexe, qu’il tente de nous exposer à sa manière. Il se trompe d'ailleurs d'audience, pour une raison qu'il lui appartient d'assumer.

Ce n’est cependant qu’un détail, l’essentiel du trait de caractère dépeint se traduit hélas par la propension à faire accepter comme vérité ce qui n’est qu’aléatoire, et surtout, sur ce sujet, vouloir faire changer des jurisprudences du seul fait de son imagination et de sa force de conviction. La justice ne fonctionne pas ainsi ; l'égo fait souvent obstacles à des réalités plus intemporelles.

Vivien vous avez raison, cette affaire repose sur deux éléments clefs :
  • Les assertions et présentations d’avant le 23 décembre 2013 sont essentielles ; HC a-t-il habillé la situation ? Chaque partie a les documents, la justice sans doute également. Tout est diffusé, sauf ce document. Pourquoi ?
  • Le professionnalisme de GA qui a enquêté sur la sinistralité de ce dossier ; ont-ils diligentés, ce qui est la base de leur métier, l’étude préalable du risque ? Ainsi que son évolution. On entend des manquements. Là encore, GA devra répondre. Car autant, en phase initiale, une présentation fallacieuse pointe une unique responsabilité, autant, en phase d’exploitation, celle-ci devient partagée. Et non, affaireGA2020, pas unilatérale, c’est un tandem où ce n’est pas à une seule partie d’enquêter sur l’évolution de la vie du contrat.
C’est donc à la justice de trancher. La présomption d’innocence existe, que chaque partie s’en prévale est légitime, mais n’apporte en aucun cas une réponse étayée. Vous avez également raison agra07, « qui n’entend qu’une cloche n’entend qu’un son », les coups de menton sont dérisoires à cet égard.
Nous avons demandé au fondateur d'Humania d'intervenir en nom propre sur ce forum. Cela sera fait très bientôt.

Même si le ton a pu vous paraitre plein de "morgue" ou de "prétention", le document présenté vise simplement à préciser ou rappeler, à quelques semaines d'une décision au fond, tout un ensemble des faits jusqu'alors méconnus du plus grand nombre. Cela n'avait pas été fait jusqu'à présent par notre partie, et les pièces présentées présentent quand même quelques intérêts.

Vous avez raison d'écrire que c'est à la justice de trancher. Le fondateur de Humania nous autorise à préciser que son souhait est qu'au regard des éléments présentés un maximum de clients, entre autres personnes, se mobilisent efficacement dans le cadre d'une action en justice commune.

Enfin pour vous répondre : sur une étude préalable du risque nous vous invitons à relire ce qui est précisé dans le blog : aucune question n'a été posée à Humania par l'assureur dans le cadre d'une étude de ce projet.

Pour finir, s'agissant du projet contenu dans le mail du 23 décembre 2013 l'assureur accuse en quelque sorte Humania d'avoir menti sur le taux de sinistralité présenté. Il convient alors de rappeler que celui ci correspondait à un périmètre de fonctionnement que l'assureur rédacteur du contrat choisira de modifier ensuite, sans tenir compte des incidences que cela aura justement sur ce même taux de sinistralité, donc sans le modifier et sans le calculer à nouveau. Il revient donc à celui qui a rédigé le contrat en faisant ce choix d'en assumer les conséquences.

Enfin, le rappel à une action en diffamation est simplement destiné aux personnes qui, jugeant sans savoir, ont traité le fondateur d'Humania d'escroc, ou de personne étant parti avec la caisse. Il ne semble pas que vous apparaissiez dans cette catégorie.
 
une question:
Humania consultant était inscrit depuis 2014 au fichier ORIAS comme mandataire de Sphinx.
on pourrait supposer qu'il y avait un lien professionnel plus étroit qu'une simple relation courtier / client
n'est ce pas gênant pour l'appréciation des juges ?
Car pour être mandataire d'un courtier d'assurance il faut soi même répondre à des critères de formation en assurances.
Or vous semblez vouloir prouver que H.A n'était qu'un simple client néophyte dans la milieu des assurances.
 
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