Shine

Conseils pour une optimisation de patrimoine

Si, il nous dit qu'il est fonctionnaire titulaire, et célibataire sans enfant.

Extrait de son message :
"J'ai dans la quarantaine, je suis titulaire de la fonction publique, célibataire, sans enfant et propriétaire de mon logement.
Il s'agit donc d'un fonctionnaire statutaire, qui aura acquis son logement (sans précision si l'éventuel emprunt se trouve - ou non - complètement remboursé ...)

Maintenant, il peut être policier, instituteur ou médecin, nul ne le sait ....
Il peut aussi travailler dans les locaux d'un ministère .....
 
Bonjour et merci à vous tous pour vos contributions. C'est gentil de vous intéresser à ma situation. J'apporte quelques précisions.
Concernant la répartition actuelle de mon épargne:
  • à peu près 10 k€ pour les liquidités;
  • à peu près 60 k€ pour le PEL à 2,5% bruts;
  • à peu près 230 k€ pour les ASV ;
  • à peu près 50 k€ en actions sur PEA/compte-titres.
Il est vrai que je n'ai pas abordé le volet de la fiscalité: mon TMI est de 30% et les produits de défiscalisation que je connais (PERP, FIP, immobilier locatif) ne m'inspirent pas.
Comme je l'ai mentionné, je suis célibataire, propriétaire de ma RP (ma maison d'enfance héritée de mes parents) et titulaire de la fonction publique donc pas de possibilité de m'investir dans un PEE.
Si j'ai une capacité d'épargne de 1,5 k€ par mois, c'est en grande partie parce que je me contente d'une vie assez austère: peu de vacances ou de loisirs, pas d'achats superflus.
Si je ne souhaite pas me lancer dans l'immobilier, c'est tout simplement parce que l'expérience d'un ami proche m'a refroidi: ayant basé sa stratégie patrimoniale sur l'immobilier, il se trouve confronté à l'impôt foncier, aux travaux, aux logements non occupés et au risque de tomber sur un mauvais payeur comme locataire. Pour les SCI/SCPI, ma position est plus nuancée: j'ai tenté l'expérience sur une faible somme via des UC dans une de mes ASV il y a 3 ans. Très dynamique au départ (2016), le rendement s'est effrité et ne me semble plus performant aujourd'hui.
Des parts de SCPI en direct m'inquiètent un peu: elles sont peu liquides et chargées en frais d'acquisition.
Je sais que les actions sont, sur le long terme, le placement le plus rémunérateur mais j'ai du mal à accepter la notion de moins-value. C'est sans doute mon éducation ou mon anxiété qui me poussent à préférer renoncer à un gain plus important pour éviter de perdre de l'argent, même temporairement.
Je suis conscient que ma stratégie d'investissement en actions est incohérente avec mon état d'esprit. Je me suis positionné sur le marché actions (sur le conseil d'un ami) en choisissant majoritairement une valeur très "risquée" car très volatile. Il est vrai que la performance est au rendez-vous mais extrêmement sensible à la géopolitique. Pour preuve: en l'espace d'un mois, mon capital "actions" a varié de plus de 10 k€ soit de plus de 20%.
Je suis à la date d'aujourd'hui en PV globale mais je peux me retrouver en MV du jour au lendemain.
Je vis, au quotidien, le risque de tomber sous l'emprise de la peur ou de l'avidité (comme le rappelle poam 5356) avec une action qui prend 15% un jour (on regrette de ne pas avoir placé tout son capital sur cette valeur) mais qui en reperd presque autant quelques jours après (on se dit que la bourse ce n'est pas fait pour nous).
Actuellement, j'envisagerais de scinder mes futures économies en deux parties:
- 50% pour renforcer mes liquidités si jamais le marché actions venait à s'effondrer pour investir à bon prix;
- 50% pour me placer sur des valeurs sures comme Total, Air Liquide, Sanofi. En cas de crack boursier, ce seront probablement les premières à remonter la pente. Et puis elles distribuent de bons dividendes.
Je laisse, au moins provisoirement, tomber les fonds en euros, même si Netissima/Fonds Euro Exclusif (Generali) et Suravenir Opportunités font nettement mieux que l'inflation pour l'instant.
Qu'en pensez-vous? Merci encore pour vos réflexions qui élargissent ma vision des choses.
Bon dimanche!
 
Il s'agit donc d'un fonctionnaire statutaire, qui aura acquis son logement (sans précision si l'éventuel emprunt se trouve - ou non - complètement remboursé ...)

Maintenant, il peut être policier, instituteur ou médecin, nul ne le sait ....
Il peut aussi travailler dans les locaux d'un ministère .....


Etant donné sa capacité d'épargne mensuelle, j'en doute fort :ROFLMAO:
 
Étant donné sa capacité d'épargne mensuelle, j'en doute fort :ROFLMAO:
Parmi les statutaires, il y a le placement sur l'échelle indiciaire, mais pour certains postes, il y a aussi des primes qui parfois sont loin d'être négligeables ....

Mais si l'on met au bout d'une épargne régulière de 1.5KE et un train de vie relativement austère sans avoir de charge locative (ou de remboursement de prêt), cela s'explique assez bien ....

Il peut aussi s'agir d'un agent de l'administration, servant dans une localité rurale .....
 
Je laisse, au moins provisoirement, tomber les fonds en euros, même si Netissima/Fonds Euro Exclusif (Generali) et Suravenir Opportunités font nettement mieux que l'inflation pour l'instant.
Qu'en pensez-vous? Merci encore pour vos réflexions qui élargissent ma vision des choses.

2,31% en 2018 sur le fonds euros Exclusif mais en brut de fiscalité. Fiscalité déduite, vous perdez de l'argent. Bon, l'écart est dans l'épaisseur du trait, et cette année devrait être positive.
Vous pourriez, au moins, diminuer la part des autres fonds euros (Netissima et euro Rendement) pour réorienter cette épargne vers le fonds Opportunités. ce qui vous obligera à augmenter un peu la part UC.
Fotuneo et Boursorama proposent peut-être des SCI dans leu AV? C'est une manière d'investir sur de l'immobilier avec moins de frais qu'en SCPI.

Pour le reste... Vous avez "du mal à accepter la notion de moins-value."... Mais vous avez investi dans une valeur "très "risquée" car très volatile.".
N'y aurait-il pas là une contradiction flagrante?
Vous mentionnez des noms de bonnes actions. Il est certain qu'après un krach, les plus belles valeurs de la cote seront à acheter.
Mais, est-ce qu'il y en aura un? C'est la hantise permanente qui hante chacun de nous... Elle est, de plus, savamment entretenue par les prophètes de l'apocalypse.
Avec des banques centrales à la manoeuvre, et pour des décennies, je ne crois pas à l'apocalypse.
Je ne vais pas essayer de vous convaincre.
Il existe aussi des fonds mutualisés, Opcvm et/ou Etf, qui évitent d'être dépendant, avec ce que cela comporte de risque, d'un seul titre.
Au final, que est votre souhait pour votre patrimoine? A votre âge, tout est possible!
 
Certes, poam5356, le fonds Suravenir Opportunités est de loin le fonds le plus performant de tous mes contrats mais Fortuneo (ou bien Suravenir directement) n'autorise pas l'arbitrage vers ce fonds depuis le fonds Rendement ou même depuis les UC. La seule possibilité consisterait à faire un rachat puis à reverser une partie de celui-ci sur Opportunités. Mon contrat n'ayant pas encore 8 ans, j'attends pour réaliser cette opération la date fatidique. L'idée d'augmenter progressivement la fraction des U.C. de mes contrats m'intéresse car elle présente assez peu de risque a priori.

En effet, la construction de mes compte-titres et PEA est contradictoire avec mon aversion au risque. J'ai commencé l'an dernier par investir sur une action (CGG pour ne pas la citer) dont la valeur a joué aux montagnes russes depuis que je la connais. J'ai commencé par en acheter quelques k€ puis, voyant les PV, j'ai rajouté du capital en toute confiance jusqu'à me retrouver brutalement en MV en fin d'année. La nouvelle remontée de l'action (corrélée aux bons résultats financiers de l'entreprise) m'a encouragé à en racheter pour moyenner mon PRU à la baisse. Si bien que je me retrouve aujourd'hui avec un porte-feuilles lourdement chargé en CGG.
Je pourrais la revendre sur le champ avec un bénéfice et soulager ainsi ma peur de tout perdre au moindre repli du marché mais ce serait abandonner tout espoir de rendement supplémentaire: encore le dilemme peur/ espoir de gain.
Comme vous, je pense que les banques centrales vont tout faire pour empêcher ou du moins atténuer un futur crack boursier mais elles n'ont pu protéger les marchés en 2008 et 2011 par exemple. D'où le besoin de conserver des liquidités à injecter rapidement à la moindre défaillance des cours boursiers.
Mon objectif est avant tout d'éviter de perdre du capital net d'inflation. Je me vois contraint d'accepter une dose de risque pour cela d'où mon idée de m'exposer davantage en bourse mais en me diversifiant et surtout en choisissant maintenant des titres peu volatils (OCPVM, grandes capitalisations) tout en conservant une poche de liquidités au cas où...
Un risque que je n'ai pas évoqué et qui m'inquiète: la possibilité qu'ont les assureurs depuis la loi Sapin II de bloquer les arbitrages et les rachats des contrats en cas de crise systémique. D'où, à mon avis, le besoin de privilégier les livrets défiscalisés aux fonds en euros dans l'immédiat même si leur rendement est encore plus faible.
Sinon, compte-tenu de ma vie actuelle (peu de dépenses "loisirs", pas de loyer ni de crédit à rembourser), j'envisage surtout mon patrimoine comme une sécurité matérielle pour l'avenir (car,même dans la fonction publique, on ne sait jamais ce qui peut arriver et personne n'est de toute façon à l'abri des accidents de la vie). Une vision des choses partagée par beaucoup de monde je pense.
Merci encore pour cet échange constructif.
 
Mon contrat n'ayant pas encore 8 ans, j'attends pour réaliser cette opération la date fatidique. L'idée d'augmenter progressivement la fraction des U.C. de mes contrats m'intéresse car elle présente assez peu de risque a priori.
Bravo, vous aviez cette idée en tête. Je pense que c'est ce qui doit se faire de mieux en matière rentabilité/sécurité... Au moins aussi longtemps que marchera bien l'immobilier.

J'ai commencé l'an dernier par investir sur une action (CGG pour ne pas la citer) dont la valeur a joué aux montagnes russes depuis que je la connais.
Oulala, Mr n'a pas peur du mal de mer!!
Ceci dit, mieux vaut l'acheter maintenant à 2€, plutôt qu'en 2014, à 70€.

J'ai commencé par en acheter quelques k€ puis, voyant les PV, j'ai rajouté du capital en toute confiance jusqu'à me retrouver brutalement en MV en fin d'année. La nouvelle remontée de l'action (corrélée aux bons résultats financiers de l'entreprise) m'a encouragé à en racheter pour moyenner mon PRU à la baisse. Si bien que je me retrouve aujourd'hui avec un porte-feuilles lourdement chargé en CGG.
Je pourrais la revendre sur le champ avec un bénéfice et soulager ainsi ma peur de tout perdre au moindre repli du marché mais ce serait abandonner tout espoir de rendement supplémentaire: encore le dilemme peur/ espoir de gain.
Attention à vous! Une ligne trop forte devient instable à gérer, émotionnellement parlant. La peur de trop perdre finit par pousser à couper sa position si jamais ça tourne vinaigre. Et là, on la coupe toujours au pire moment.
Vous faites comme bon vous semble, mais si vous êtes en PV sur ce genre de titre, il serait prudent de matérialiser quelques gains, histoire d'abaisser le PRU et de ne plus être trop investi sur une même valeur.
Ceci n'est que mon avis, bien sûr.


Comme vous, je pense que les banques centrales vont tout faire pour empêcher ou du moins atténuer un futur crack boursier mais elles n'ont pu protéger les marchés en 2008 et 2011 par exemple.
Sauf que maintenant, elles sont bien plus présentes qu'à l'époque.


Un risque que je n'ai pas évoqué et qui m'inquiète: la possibilité qu'ont les assureurs depuis la loi Sapin II de bloquer les arbitrages et les rachats des contrats en cas de crise systémique.
Moi je vois cette possibilité comme une protection, au contraire. En évitant un mouvement de masse qui provoquerait un effondrement du système, l'épargnant est bloqué, mais, au moins, ses actifs ne se trouvent pas dévalués. La mesure serait préjudiciable pour qui aurait besoin des fonds bloqués... Ce qui ne serait pas votre cas, compte tenu des sommes liquides dont vous disposez.

D'où, à mon avis, le besoin de privilégier les livrets défiscalisés aux fonds en euros dans l'immédiat même si leur rendement est encore plus faible.
Ils ne rapportent rien et sont fiscalisés, en plus.
A ce sujet, vous n'avez pas pensé défisc? GFF, GFV, FCPI et autres Girardin? Buffeto va vous en toucher un mot, quand il aura fini sa sieste!!
 
Bonjour et merci à vous tous pour vos contributions. C'est gentil de vous intéresser à ma situation. J'apporte quelques précisions.
Concernant la répartition actuelle de mon épargne:
  • à peu près 10 k€ pour les liquidités;
  • à peu près 60 k€ pour le PEL à 2,5% bruts;
  • à peu près 230 k€ pour les ASV ;
  • à peu près 50 k€ en actions sur PEA/compte-titres.
  • Voilà un résumé de votre situation comparativement aux regroupements que j'ai constaté par ailleurs qui me convient davantage ….
Il est vrai que je n'ai pas abordé le volet de la fiscalité: mon TMI est de 30% et les produits de défiscalisation que je connais (PERP, FIP, immobilier locatif) ne m'inspirent pas.
Là, tout dépend où vous vous situez dans cette tranche dont l'étendue est assez large ...

Soit vous débordez que légèrement sur cette tranche, soit vos revenus "consomment" plus de 50 ou 80% de son étendue ; et ce n'est alors pas tout à fait la même chose ….

Comme je l'ai mentionné, je suis célibataire, propriétaire de ma RP (ma maison d'enfance héritée de mes parents) et titulaire de la fonction publique donc pas de possibilité de m'investir dans un PEE.
Si j'ai une capacité d'épargne de 1,5 k€ par mois, c'est en grande partie parce que je me contente d'une vie assez austère : peu de vacances ou de loisirs, pas d'achats superflus.
C'était déjà noté au cours d'un post précédent ….

Si je ne souhaite pas me lancer dans l'immobilier, c'est tout simplement parce que l'expérience d'un ami proche m'a refroidi : ayant basé sa stratégie patrimoniale sur l'immobilier (en direct), il se trouve confronté à l'impôt foncier, aux travaux, aux logements non occupés et au risque de tomber sur un mauvais payeur comme locataire.
C'est tout à fait la vie du bailleur en direct ….

Pour les travaux et les impôts fonciers, personne ne peut vraiment passer au travers ; par contre pour les mauvais payeurs, il existe des solutions (qui peuvent légèrement entamer le rendement), mais qui dissuadent souvent les mauvais payeurs habituels ou continuels …..

Pour les SCI/SCPI, ma position est plus nuancée : j'ai tenté l'expérience sur une faible somme via des UC dans une de mes ASV il y a 3 ans. Très dynamique au départ (2016), le rendement s'est effrité et ne me semble plus performant aujourd'hui.
Alors primo, pratiquement tous les rendements (monétaires, obligataires voire même immobiliers) se positionnent sur une même tendance et trajectoire ….

Ensuite et puisque souscrites au travers d'un contrat AV, vous avez toute faculté de les arbitrer (plus ou moins rapidement) vers un autre support (voire un fonds Euros), avec ensuite faculté de procéder à un rachat, avec ambition de replacer les fonds sur un autre support ….

Je sais que les actions sont, sur le long terme, le placement le plus rémunérateur mais j'ai du mal à accepter la notion de moins-value. C'est sans doute mon éducation ou mon anxiété qui me poussent à préférer renoncer à un gain plus important pour éviter de perdre de l'argent, même temporairement.
Dans la vie boursière, la moins-value fait partie du paysage classique et donc normal, et il faut l'accepter ; une fois cela accepté, il faut cerner quel est le degré d'acceptation qi reste supportable, et cela est lien étroit avec la volatilité du titre support ….

Je suis conscient que ma stratégie d'investissement en actions est peu cohérente avec mon état d'esprit.
Je me suis positionné sur le marché actions (sur le conseil d'un ami) en choisissant majoritairement une valeur très "risquée" car très volatile.
Vous n'avez certes pas commencé par le plus facile, et d'ordinaire, on commence par des supports parmi les moins volatiles afin d'apprendre à s'y comporter sans trop de dommages ...

Il est vrai que la performance est au rendez-vous mais extrêmement sensible à la géopolitique.
Pour preuve: en l'espace d'un mois, mon capital "actions" a varié de plus de 10 k€ soit de plus de 20%.
Je suis à la date d'aujourd'hui en PV globale mais je peux me retrouver en MV du jour au lendemain.
Sur quelles bases et avec quels outils appréciez-vous ces variations ??

Je vis, au quotidien, le risque de tomber sous l'emprise de la peur ou de l'avidité (comme le rappelle poam 5356) avec une action qui prend 15% un jour (on regrette de ne pas avoir placé tout son capital sur cette valeur) mais qui en reperd presque autant quelques jours après (on se dit que la bourse ce n'est pas fait pour nous).
Tiens, il dit cela Poam (la peur & l'avidité ??)

Pas faite pour les particuliers la bourse ?
Alors bien entendu pour les débutants et les néophytes qui ont tendance à suivre les conseils d'une connaissances, sans vérifier, c'est un comportement risqué ...

Mais une fois que l'on prend conscience qu'il y a des risques, et donc qu'il convient progressivement d'en assurer une maîtrise de plus en plus forte, on évolue alors avec une autre orientation ….

Actuellement, j'envisagerais de scinder mes futures économies en deux parties:
- 50% pour renforcer mes liquidités si jamais le marché actions venait à s'effondrer pour investir à bon prix;
- 50% pour me placer sur des valeurs sures comme Total, Air Liquide, Sanofi. En cas de crack boursier, ce seront probablement les premières à remonter la pente.
Et puis elles distribuent de bons dividendes.
C'est à vous de vous forger une logique de répartition de vos avoirs, et de programmer les étapes d'un timing d'intervention ….
Et dans ce domaine, chacun a sa façon de faire ….

Je laisse, au moins provisoirement, tomber les fonds en euros, même si Netissima/Fonds Euro Exclusif (Generali) et Suravenir Opportunités font nettement mieux que l'inflation pour l'instant.
Qu'en pensez-vous? Merci encore pour vos réflexions qui élargissent ma vision des choses.
Bon dimanche !
Bon dimanche et il vous reste à réagir aux commentaires ci-dessus ….
 
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