Allocation Fond Euro/ UC

Pas si idiote que ça ....

Alors primo, considérez vous votre résidence principale comme un placement ? Comme des liquidités financières ?

Et supposons un instant que vous veniez de l'acheter (crédit souscrit pour 15 années l'an passé !)
Vous lui donnez quelle valeur à cette résidence principale, même chose pour les biens locatifs d'ailleurs ....

Alors pour ceux qui ont raté la question, je demandais si dans le % à allouer je devais prendre en compte la résidence principale.

Pour votre question, non, je ne considère pas ma résidence principale, qui est presque payée (350k euros) comme un placement ni comme des liquidités. Sauf si le jour de ma retraite dans fort, fort longtemps, on la revend bien pour acheter une petite maison pas chère au fin fond de l'Ardèche ;)
 
Il y a une vingtaine d'année, le paramètre les plus important pour le choix d'une action , était le dividende versé, aujourd'hui on regarde plus la plus value potentielle ..
Si je me contente de dire "n'importe quoi", on va me reprocher la forme de mon message... et pourtant, que dire de plus ?

Il y a 20 ans comme dans 20 ans, le dividende se retranche au cours de l'action. Il faut être un investisseur nul de chez nul pour estimer que le dividende est "le paramètre le plus important" d'une ENTREPRISE.
 
Il faut être un investisseur nul de chez nul pour estimer que le dividende est "le paramètre le plus important" d'une ENTREPRISE.

sans doute pas le plus important mais à prendre en compte d'une manière sérieuse tout de même .

si on veut faire le parallèle avec nos entreprises libérales , quel est le critère principal dont tiennent compte les banquiers ou quel est le critère primordial qui va déterminer le prix de cession de celle ci : le BNC .

on peut estimer que le dividende versé est, toutes proportions gardées , l'équivalent du BNC d'une entreprise libérale
 
on peut estimer que le dividende versé est, toutes proportions gardées , l'équivalent du BNC d'une entreprise libérale
Aye, ça me fait mal de lire ça !

Le dividende est une somme versée parce qu'elle encombre les comptes d'entreprise, ou parce que le pool de dirigeants (que ce soient quelques fondateurs, ou un fond de pension) décide qu'il leur faut une rentrée d'argent plus ou moins régulière.
Ce dividende peut être versé même dans une entreprise en pertes, même sous certaines circonstances en pertes depuis plusieurs années.

S'il y a une valeur "simple" sur laquelle appuyer un début d'analyse, c'est davantage le PER (et son pendant, le BNA)
Et encore, c'est une valeur d'entreprise mature. Pour une entreprise en croissance, ça n'a pas grand intérêt.

De tous les types d'investissement, je n'en connais aucun qui prenne le dividende comme valeur principale. C'est évidemment une donnée à prendre en compte quand on souhaite avoir des rentrées d'argent sans passer d'ordre, de manière relativement régulière, mais en aucun cas la valeur principale menant un investissement.


On pourrait imaginer que le propos de moietmoi était de dire qu'avant on investissait davantage dans les entreprises matures (référence au dividende, plutôt présent dans les bonnes vieilles grosses entreprises), et maintenant davantage dans les jeunes pousses à fort potentiel.
Mais d'une part c'est à mon avis assez faux, et d'autre part, il est bien plus profitable à l'économie que des gens financent de jeunes entreprises en croissance que des vieilleries ankylosées...
 
On pourrait imaginer que le propos de moietmoi était de dire qu'avant on investissait davantage dans les entreprises matures (référence au dividende, plutôt présent dans les bonnes vieilles grosses entreprises), et maintenant davantage dans les jeunes pousses à fort potentiel.

Tu es proches de ma pensée, il y a 20/30 ans les journaux, revues,style valeurs actuelles, la vie financière, figaro économie...), ne parlaient que de dividendes et de tenue dans le temps de l'action, mais pas de plus value sur le titre; l'expression tondre les coupons existait encore de l'ancien temps où les actions papier physique avait un coupon à détacher;

Depuis les années 2000 ce qui s'est appelé la nouvelle économie, a fait adopter par les investisseurs en France , les attitudes des capitaux américains avec une demande de rentabilité à court, très court terme, par une plus value sur le titre, ne prenant que peu en compte le "loyer" ,celui ci étant dérisoire sur du court terme par rapport à la plus value escomptée;
Ainsi dans ma manière de voir je dirais volontiers que aujourd'hui on présente en premier un graphique de la valeur alors qu'auparavant on présentait en premier un tableau des dividendes;

Mais tu as bien raison, pour un investisseur l'un ne va pas sans l'autre!!
 
Il y a une vingtaine d'années, le paramètre le plus important pour le choix d'une action, était le dividende versé, aujourd'hui on regarde plus la plus value potentielle.
Alors on va tenter de faire simple, et de regarder le compte de résultats d'une entreprise ....

Dans la hiérarchie de ce document, il y a celui qui mesure le niveau d'activité, à savoir le chiffre d'affaires et, pour une entreprise donnée, l'épargnant s'attend à ce que ce dernier se développe d'année en année et de trimestres en trimestres, que ce soit avec une voie de diversification ou non !

Ensuite, et selon le type d'activité déployée, il y aura l'examen des charges d'exploitation (et celles qualifiées de charges de structure), qui vont finalement aboutir à un résultat (attendu bénéficiaire, mais il y a aussi des exceptions !) ; c'est certainement le critère le plus pertinent, car il mesure la faculté du/des dirigeants à dégager un résultat qui soit de nature à satisfaire les actionnaires.

C'est ce critère-là qui sera à rapprocher du BNC des professions libérales ou du BNPA (Bénéfice Net par Action) des entreprises industrielles et commerciales ....

Ensuite, la façon dont les dirigeants envisagent de développer leur activité (projets de R&D, ou diversification des activités), c'est une question de gestion interne qui va pouvoir déboucher soit sur une distribution plus ou moins importante du résultat annuel (ou d'une partie des réserves de l'entreprise), soit sur une opération d'auto-financement, ce qui permettra à l'entreprise de poursuivre son développement en minimisant un concours financier dit externe ....

Si cette question de modalité de distribution du résultat peut se révéler importante pour les dirigeants, elle l'est beaucoup moins pour l'épargnant porteur d'actions ....
 
Dernière modification:
Perso quand je vois une valeur qui distribue un dividende de 5% de sa valeur et qu'en plus le cours est haussier , je m'en contente .;)
N'est-ce pas ce que l'on appelle, le beurre et l'argent du beurre ?

Mais que fait donc la fermière, lorsqu'elle porte son lait à la fabrique de fromages d'en face ?
 
Alors on va tenter de faire simple, et de regarder le compte de résultats d'une entreprise ....

Dans la hiérarchie de ce document, il y a celui qui mesure le niveau d'activité, à savoir le chiffre d'affaires et, pour une entreprise donnée, l'épargnant s'attend à ce que ce dernier se développe d'année en année et de trimestres en trimestres, que ce soit avec une voie de diversification ou non !

Ensuite, et selon le type d'activité déployée, il y aura l'examen des charges d'exploitation (et celles qualifiées de charges de structure), qui vont finalement aboutir à un résultat (attendu bénéficiaire, mais il y a aussi des exceptions !) ; c'est certainement le critère le plus pertinent, car il mesure la faculté du/des dirigeants à dégager un résultat qui soit de nature à satisfaire les actionnaires.

C'est ce critère-là qui sera à rapprocher du BNC des professions libérales ou du BNPA (Bénéfice Net par Action) des entreprises industrielles et commerciales ....

Ensuite, la façon dont les dirigeants envisagent de développer leur activité (projets de R&D, ou diversification des activités), c'est une question de gestion interne qui va pouvoir déboucher soit sur une distribution plus ou moins importante du résultat annuel (ou d'une partie des réserves de l'entreprise), soit sur une opération d'auto-financement, ce qui permettra à l'entreprise de poursuivre son développement en minimisant un concours financier dit externe ....

Si cette question de modalité de distribution du résultat peut se révéler importante pour les dirigeants, elle l'est beaucoup moins pour l'épargnant porteur d'actions ....

Prenons par exemple Uber: CA en forte croissance actuellement 3,3 milliards de dollars..et les experts comme Monségur finance disent que cela va continuer et qu'il faudrait y investir si c'est possible.mais 2,1 milliards de perte: dernière valorisation connue :50 milliard de dollars; les investisseurs ayant participé à l'un des tours de table lors de la valorisation un an auparavant à 40 milliards et qui en sont sortis ont tiré une plus value énorme( non publique, mais dit on entre 10 et 20 fois la mise)

je ne vois pas de stratégie de distribution de résultats mais si il y a une ouverture par un fonds de participation d'y prendre part, j' y vais... (en vtc)
et je ne crois pas reconnaitre tes critères ici
 
Prenons par exemple Uber: CA en forte croissance actuellement 3,3 milliards de dollars..et les experts comme Monségur finance disent que cela va continuer et qu'il faudrait y investir si c'est possible.mais 2,1 milliards de perte: dernière valorisation connue :50 milliard de dollars; les investisseurs ayant participé à l'un des tours de table lors de la valorisation un an auparavant à 40 milliards et qui en sont sortis ont tiré une plus value énorme( non publique, mais dit on entre 10 et 20 fois la mise)

je ne vois pas de stratégie de distribution de résultats mais si il y a une ouverture par un fonds de participation d'y prendre part, j' y vais... (en vtc) et je ne crois pas reconnaître tes critères ici
Alors parlons-en ....

Une entreprise à taille internationale qui exploite un brevet sous forme de franchise....

La franchise attire, mais les résultats ne sont pas au rendez-vous ; par ailleurs, elle se trouve conduite à réduire ses tarifs donc son chiffre d'affaires....

Sous l'angle des résultats, et n'étant pas cotée, elle ne se trouve pas astreinte à publier ses résultats (sur lesquels elle opère un secret assez persistant ...)

Comme transparence, il y a mieux, et cela me remémore une étape du début du siècle avec la nouvelle économie ; à un différence près, il y aurait un certain cash, au lieu d'un endettement certain ; encore faudrait-il que tout cela se vérifie ...

Mais rien en vous empêche d'aller y mettre quelques sous, même si ce n'est que pour suivre quelques uns qui auront fait un pari audacieux ; allez bonne route, en VTC ou en VTT !

http://bfmbusiness.bfmtv.com/entrep...ssales-mais-cela-ne-va-pas-durer-1029651.html
 
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