Inscription d'un homme, né le 20 novembre 1946, à un PER Assurance individuel

Oui effectivement c'est une option (pas pour l'absence de décote car je ne vois pas où serait la décote) qui est possible et n'est pas à exclure. Vous avez raison. Mais ce n'est pas forcément la solution adaptée,pour 2 faisons
1. Conserver la maîtrise de son capital jusqu'à son décès. Possibilité de modifier la clause bénéficiaire jusqu'au bout, de faire des rachats, de ne finalement plus en faire bénéficier le conjoint si on estime qu'il n'en a plus besoin...
2. Les deux époux n'ont pas forcément le même plafond de déductibilité. Lun peut être TNS et avoir un gros plafond Madelin et son conjoint ne pas travailler et avoir le plafond Fillon minimum. Si c'est l'époux TNS qui investit il aura plus de possibilités.
Dans la solution que vous proposez il faut faire le choix maintenant au moment d'investir et il est irréversible. Dans la solution que j'avance, c'est simplement une option que vous vous réservez, parmi d'autres, pour le futur.
 
Sauf que la pratique montre que les assureurs imposent la liquidation au plus tard à 75 ans...
Un article que je qualifierai "à charge"...
Les assureurs imposent 75 ans pour sortir en rente. Ils n'imposent pas - ou alors à fuir de toute urgence - de date limite pour sortir en capital.
 
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