Un placement dans la voiture électrique de moins en moins rentable

Des lotissements où la densité est de plus de 15 ou 20 logements à l'hectare. Voire une absence de possibilité d'étendre l'urbanisation, travail sur l'existant. Et donc fini le pavillon construit au milieu des champs avec 1500m2 de terrain. Dans les Plans Locaux d'Urbanisme, la densité est maintenant contrainte.
 
Ok merci ! Chez moi c'est deja comme ca, les parcelles font 500m2 car les terrains sont chers et les PLU forcent a la densification. Les gens achetent des maisons avec des parcelles de 1200m2 et détachent une parcelle de terrain.
 
Des lotissements où la densité est de plus de 15 ou 20 logements à l'hectare. Voire une absence de possibilité d'étendre l'urbanisation, travail sur l'existant. Et donc fini le pavillon construit au milieu des champs avec 1500m2 de terrain. Dans les Plans Locaux d'Urbanisme, la densité est maintenant contrainte.
oui, c'est de la folie! entasser les gens, sans aucun commerce, sans leur laisser le droit d'avoir au moins un peu d'espace;
 
Permettre dans les années 80 au premier clampin venu d'acheter de la terre à vaches en dehors de l'agglomération, de permettre au beau-frère du maire un fois dix sur le prix de ce terrain, d'articifialiser les terres et de faire dépérir l'agriculture, de faire bâtir sans passer par un architecte, d'assainir avec une fosse sceptique bon marché bien hors normes, de garder à vie le pavillon avec quatre chambres alors que les gosses maintenant mariés ne reviennent qu'une fois par an voir mamie devenue veuve, de chauffer avec un pétrole (ou un gaz) dont on sait depuis 1973 que l'approvisionnement posera question, de dépendre de la voiture pour aller chercher le pain et du bus intercommunal pour aller à l'école, d'avoir un pays saturé en supermarchés de périphérie (Carrefour leader européen), de se retrouver avec une ruine loin de tout en DPE classe G tout en gardant le rêve que ce pavillon au coeur de la Haute-Marne et à 17 minutes en voiture du premier commerce séduira un couple de cadres parisiens, ça c'était de la folie.

On ne retrouve pas ça chez nos voisins suisses, allemands, belges, qui ont maîtrisé leur urbanisation.

Et ce rêve pavillonnaire devient impossible pour la nouvelle génération.

L'emplacement, l'emplacement, l'emplacement.

Les centralités des villes petites et moyennes vont certainement reprendre de la valeur, en faisant des actifs plus durables que les maisons avec "un peu d'espace".
 
Oui, c'est sûr qu'entasser les gens dans des cages à poules au milieu de la pollution et des nuisances des banlieues pour laisser de la place aux agriculteurs qui polluent les sols et les rivières avec des cultures intensives, c'est bien mieux ! Moi ça me fait rêver !
 
Permettre dans les années 80 au premier clampin venu d'acheter de la terre à vaches en dehors de l'agglomération, de permettre au beau-frère du maire un fois dix sur le prix de ce terrain, d'articifialiser les terres et de faire dépérir l'agriculture, de faire bâtir sans passer par un architecte, d'assainir avec une fosse sceptique bon marché bien hors normes, de garder à vie le pavillon avec quatre chambres alors que les gosses maintenant mariés ne reviennent qu'une fois par an voir mamie devenue veuve, de chauffer avec un pétrole (ou un gaz) dont on sait depuis 1973 que l'approvisionnement posera question, de dépendre de la voiture pour aller chercher le pain et du bus intercommunal pour aller à l'école, d'avoir un pays saturé en supermarchés de périphérie (Carrefour leader européen), de se retrouver avec une ruine loin de tout en DPE classe G tout en gardant le rêve que ce pavillon au coeur de la Haute-Marne et à 17 minutes en voiture du premier commerce séduira un couple de cadres parisiens, ça c'était de la folie.
il y a dans cette énumération , à boire et à manger, des choses illégales et répréhensibles accolées à des choix de vie personnels,assaisonnées d'une touche de politique urbaine et générale; bref chacun peut être tout à fait d'accord et tout à fait pas d'accord.....
pour ma part je pense qu'un village ou qu'une ville permettant l'habitat et le travail, l'approvisionnement et les études, les loisirs et les transports,la santé et l'agriculture ne s'opposent ni à l'habitat collectif , ni aux maisons individuels avec des terrains de 2000 ou 3000 m²; mais nous sommes loin de l'investissement véhicules électriques
 
•La voiture électrique, un atout lors de coupures de courant

•Selon le modèle, posséder une voiture électrique peut être un atout considérable en temps de pénurie énergétique. Certains véhicules sont en effet dotés d’une fonction « V2L » (vehicle-to-load), qui permet d’y brancher n’importe quel appareil électrique, généralement limité à un total de 3,7 kW de puissance.
•Une batterie de 50 kWh suffit par exemple à alimenter un réfrigérateur de 150 W pendant 15 jours, ou un chauffage d’appoint de 2 000 W pendant 25 heures.
•En cas d’urgence, il est tout à fait envisageable que des voitures électriques équipées de V2L assistent des cabinets médicaux, cliniques, ou tout autre lieu d’importance non doté de générateur de secours
 
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