TEG erroné et sanctions

Bonjour,

pour l'application des règles de grammaire aussi .
;)

Je pense qu'il était possible d'écrire "qu'en pensent donc....
C'est juste une taquinerie.
Bonjour vivien,
Merci pour la correction orthographique, nécessaire, de cette faute grammaticale évidente dont je reconnais bien volontiers être l’auteur, même si des circonstances particulières, que je n’exposerai pas ici, m’y ont conduit !
Je pourrais dire que j’avais glissé subrepticement ce manque d’accord pour obtenir enfin une réaction ! :
Non, sincèrement il n’en est rien, et je suis responsable de ce défaut d’accord grammatical.
Voyez comme il m’est facile d’admettre mon erreur ! : Je crois pouvoir dire que ce n’est pas le cas pour tout le monde, en particulier sur ce site ; Là, ce n’est que mon avis et cela n’engage que moi.

Mais, si j’avais fait appel à la correction éventuelle de mes rédactions, c’était surtout pour le Raisonnement et le Calcul Arithmétique des Intérêts Conventionnels : N’avez-vous donc pas d’avis à ce sujet ? Cela m’étonnerait !...
Cdt.


Post scriptum :
J’avais bien noté que vous vous placiez dans le plan de la taquinerie : Aucun problème !
Juste, pour rester dans ce registre : Fautes de ponctuation pour faute de grammaire :
Les points de suspension ne sont que 3 ! : En français : texte…[espace]texte.
Le point final d’une phrase n’est pas séparé de celle-ci par un espace : En français : texte.[espace]texte.
Quand on a vu ce que l’écriture décimale (30,416 66) de la fraction 365/12 a pu entraîner comme contradictions, on se dit qu’il vaut effectivement mieux prêter attention à sa propre écriture.
Recenser toutes les erreurs, d’un genre ou l’autre, sur ce site, constituerait un challenge difficile à relever !
 
Juste, pour rester dans ce registre : Fautes de ponctuation pour faute de grammaire
J'aurais tendance à penser que les fautes de ponctuation (reconnues et présentes) sont moins graves et moins gênantes que les fautes de grammaire et/ou d'orthographe. ;)
Elles peuvent s'expliquer par une frappe sur le clavier trop rapide : soit de la barre d'espacement soit pour la répétition du ".", elles restent néanmoins à corriger.
Comme écrirait le Canard Enchaîné "Pan sur le Bec", le mien.
 
Bonjour,

Non ce n'est pas clair!

A la question (p222):

quelle est la véritable politique du CA en terme de prêts immobiliers: que l'ADI soit obligatoire ou quelle soit facultative ?

Vous avez répondu spontanément(p223):

Comme quasiment toutes les banques de par ce que j'en sais, dans le cas général le CA rend une assurance obligatoire à 100% répartie ou non sur deux têtes (si deux emprunteurs)

Aurais-je la berlue ???:unsure:

La berlue je ne sais pas ?

Et je ne sais pas non plus d’où vient votre difficulté à comprendre la réponse fournie !!!

D’ailleurs, plutôt que d'extraire une partie de la réponse, n’aurait-il pas été plus correct de la reproduire in extenso à savoir :

Comme quasiment toutes les banques de par ce que j'en sais, dans le cas général le CA rend une assurance obligatoire à 100% répartie ou non sur deux têtes (si deux emprunteurs)

Il conseille une assurance à 100% sur les deux têtes mais ce n'est qu'un conseil et les seconds 100% sont donc facultatifs.

Mais cas général ne veut pas dire dans absolument tous les dossiers; c'est l'offre/contrat qui fait foi, laquelle offre/contrat vaut instructions au notaire si acte authentique de prise de garantie à suivre et donc indexation.

cdt

Pour le reste, il ne me parait pas utile de répéter x fois ce que tout le monde a compris.:sourcil:

En tout cas si vous avez compris "le reste" ainsi que déjà dit, je me demande bien quel degré de complexité vous empêche de comprendre également ma réponse ci-dessus - sur que j'en sais - de la politique du CA quant aux assurances décès-invalidité.

Ce me semble pourtant simple.

+ Dans toutes les banques, en général, une assurance à 100%, répartie ou non sur les emprunteurs en fonction de leurs propres choix (= prorata revenus par exemple), est réputée obligatoire.

+ Ce qui veut dire que les seconds 100% sont facultatifs

+ À ma connaissance la politique du CA ne diffère pas de celle de ses concurrents étant précisé que, sauf erreur, le CA c’est 39 entités juridiques différentes et donc autant de stratégies/politiques et grilles tarifaires potentiellement différentes.

La remarque vaut pour tous les réseaux à structure pyramidale géographiquement décentralisés.

+ Politique générale sous-entend des exceptions possibles ; et même si elles sont sans doute relativement rares, après étude au cas par cas des dossiers considérés, il en existe.

+ Après la première phase de simulations (= Proposition de financement) c’est au moment du montage du dossier de prêt que, en même temps que toutes les autres caractéristiques du financement, les options ADI sont ré abordées, négociées et déterminées.

+ Tant pour une sécurité maximale des emprunteurs que pour satisfaire au devoir de conseil, mais aussi pour conforter au mieux son produit net bancaire, la banque (entreprise commerciale) suggère toujours d’opter pour une assurance à 100% sur deux têtes.

Mais - sauf dérogation expresse (procédures spécifiques niveau siège) - seuls 100% sont obligatoires en ce sens qu’ils conditionnent l’octroi du crédit.

Les seconds 100% étant facultatifs, bien que conseillée, si l'option facultative pour la seconde tête est refusée il n'y aura pas de conséquence sur la suite donnée au dossier.

Le choix des emprunteurs à ce niveau « dossier demande de prêts » en termes de quotités assurées est ensuite transcrit dans l’offre/contrat soumis à leurs réflexions/acceptations ainsi que les taux négociés ; les primes rendues obligatoires et celles facultatives y étant bien entendu également précisées.

J’espère que, cette fois ci, c'est suffisamment clair car, je vous le dis « clairement » (c’est le coup de le dire), je ne vais plus y revenir désormais.:)

Cdt
 
Dernière modification:
Bonjour,
Merci de vos précisions.
Je ne fais qu'essayer de comprendre ce qui "est réputé obligatoire " (avec tous les bémols que vous voulez sur la structure juridique du CA, sur la politique générale et les exceptions et sur les documents constitutifs du contrat de prêt) Ce point me parait important, sinon essentiel, dans le dossier de @caroapero.
L'assurance souscrite dans ce dossier est en effet 50-50% répartie sur deux têtes (selon @caroapero qui pourra me corriger si nécessaire).
Je ne pense pas trahir votre pensée en disant que ce type d'assurance correspond à "une assurance à 100% répartie sur les emprunteurs " tel que vous l'écrivez.
Si j'interprète mal vos propos, merci de me le dire ce qui permettrait de lever le quiproquo éventuel et de clarifier le débat.
 
Dernière modification:
L'assurance souscrite dans ce dossier est en effet 50-50% répartie sur deux têtes (selon @caroapero qui pourra me corriger si nécessaire).
Je ne pense pas trahir votre pensée en disant que ce type d'assurance correspond à "une assurance à 100% répartie sur les emprunteurs " tel que vous l'écrivez.
Si j'interprète mal vos propos, merci de me le dire ce qui permettrait de lever le quiproquo éventuel et de clarifier le débat.

Oui, des quotités assurées choisies par les emprunteurs à "50-50% répartie sur deux têtes" c'est la même chose qu'une seule tête assurée à 100%.

Fin d'échanges sur ce sujet.

Cdt
 
hé ben,
suis passé sur cette discussion est reparti après 5mn de lecture
c'est lourd à digérer, surtout après un bon repas :cool:
 
Bonjour à tous,
Bonjour,
Sans aucun doute en ce qui concerne le TEG (proportionnel) des crédits immobiliers des particuliers et des prêts professionnels.
Plus discutable, à mon avis, concernant le TAEG puisqu'il est calculé directement en taux annuel (actuariel) et qu'il ne résulte donc pas d'un taux périodique.
Au contraire s'il faut indiquer un taux périodique il ne peut qu'être extrait du TAEG annuel à partir de l'équation :
+ (1+ TAEG) = ((1+ Tx mensuel)^(12))
+ Tx mensuel = (((1+TAEG)^(1/12))-1)
=> si la périodicité retenue est mensuelle.
Mais avec les décrets 2002-927 et 928 et 2011-135 leur fameuse annexe indique - dans son titre :
"Exemples de calcul du taux effectif global (ou TEG "***") d'opérations de prêts sur la base d'une année standard (Un an = 365 jours ou 365,25 jours ou 52 semaines ou douze mois normalisés)" (JO 11 juin 2002 - page10538)
"***" NB) - Maintien appellation TEG mais calcul d'un TAEG.
Ceci laisse supposer que les banques pouvaient librement choisir entre ces quatre périodicités dans leur processus d'actualisation des échéances conduisant au calcul dudit TAEG actuariel annuel ???
=> Curieux et difficilement compréhensible car - toutes choses étant égales par ailleurs - l'on obtient alors quatre TAEG différents suivant le choix de la banque ???
Mais tous les exemples de ladite annexe sont faits en nombre de jours exact au numérateur sur la base d'une année de 365 jours au dénominateur.
Ainsi pour prendre un exemple simple d'un prêt "P" (= net versé le 1er janvier) remboursable avec une échéance constante "e" sur 24 mois, l'équation de calcul du TAEG annuel serait:
P = [e*((1+TAEG)^(31/365))] + [e*((1+TAEG)^(59/365))] + [e*((1+TAEG)^(8990/365))] + [e*((1+TAEG)^(120/365))] +... [e*((1+TAEG)^(334/365))] + [e*((1+TAEG)^(365/365))] + [e*((1+TAEG)^(396/365))] +... [e*((1+TAEG)^(730/365))]
Correction : Si 5931= 28 (OK pour un mois de Février Commun !), 59 + 31 = 90 (et non 89 à la fin Mars) !
En fait, sans doute par souci de facilité, le Législateur a supposé que tout se passait en Années Communes !
Et il ne s’agissait pas pour lui d’être exhaustif : Il pensait être bien compris dans son raisonnement.
Avec une échéance constante "e" sur 48 mois, la Première Année étant Bissextile, le Calcul du TAEG devient :
P = [e*((1+TAEG)^(31/365,25))] + [e*((1+TAEG)^(60/365,25))] + [e*((1+TAEG)^(91/365,25))] +
[e*((1+TAEG)^(121/365,25))] +... [e*((1+TAEG)^(335/365,25))] + [e*((1+TAEG)^(366/365,25))] +
[e*((1+TAEG)^(397/365,25))] +... [e*((1+TAEG)^(700/365,25))] + [e*((1+TAEG)^(731/365,25))] +
[e*((1+TAEG)^(762/365,25))] +... [e*((1+TAEG)^(1065/365,25))] + [e*((1+TAEG)^(1096/365,25))] +
[e*((1+TAEG)^(1127/365,25))] +... [e*((1+TAEG)^(1430/365,25))] + [e*((1+TAEG)^(1461/365,25))]
On voit, ici, l’incidence du 29 Février : Les Nombres Exacts de Jours aux Numérateurs sont augmentés de 1 !
Le Banquier n’a pas le choix : Il doit prendre 365 dans le premier exemple et 365,25 dans le second !
Cdt.
 
Bonjour à tous,

Correction : Si 5931= 28 (OK pour un mois de Février Commun !), 59 + 31 = 90 (et non 89 au 1er Avril) !
En fait, sans doute par souci de facilité, le Législateur a supposé que tout se passait en Années Communes !
Et il ne s’agissait pas pour lui d’être exhaustif : Il pensait être bien compris dans son raisonnement.
Avec une échéance constante "e" sur 48 mois, la Première Année étant Bissextile, le Calcul du TAEG devient :
P = [e*((1+TAEG)^(31/365,25))] + [e*((1+TAEG)^(60/365,25))] + [e*((1+TAEG)^(91/365,25))] +
[e*((1+TAEG)^(121/365,25))] +... [e*((1+TAEG)^(335/365,25))] + [e*((1+TAEG)^(366/365,25))] +
[e*((1+TAEG)^(397/365,25))] +... [e*((1+TAEG)^(700/365,25))] + [e*((1+TAEG)^(731/365,25))] +
[e*((1+TAEG)^(762/365,25))] +... [e*((1+TAEG)^(1065/365,25))] + [e*((1+TAEG)^(1096/365,25))] +
[e*((1+TAEG)^(1127/365,25))] +... [e*((1+TAEG)^(1430/365,25))] + [e*((1+TAEG)^(1461/365,25))]
On voit, ici, l’incidence du 29 Février : Les Nombres Exacts de Jours aux Numérateurs sont augmentés de 1 !
Le Banquier n’a pas le choix : Il doit prendre 365 dans le premier exemple et 365,25 dans le second !
Cdt.
 
Ainsi pour prendre un exemple simple d'un prêt "P" (= net versé le 1er janvier) remboursable avec une échéance constante "e" sur 24 mois, l'équation de calcul du TAEG annuel serait:
P = [e*((1+TAEG)^(31/365))] + [e*((1+TAEG)^(59/365))] + [e*((1+TAEG)^(89/365))] + [e*((1+TAEG)^(120/365))] +...…………..[e*((1+TAEG)^(334/365))] + [e*((1+TAEG)^(365/365))] + [e*((1+TAEG)^(396/365))] +...…...[e*((1+TAEG)^(730/365))]
Bonjour à tous,
Mea culpa de ma part :
Suite à mon Post précédent, je m'apprêtais à donner un exemple très simple de Calcul d'Intérêts permettant de bien distinguer Taux (Annuel) d'Intérêt Conventionnel et Taux (Annualisé) Effectif Global.
En voulant utiliser la formule du TAEG, fournie ci-dessus par Aristide, je me suis aperçu qu'elle comportait une autre erreur : Les symboles "*" de Multiplication doivent tous être remplacés par les symboles "/" de Division ! :
P = [e/((1+TAEG)^(31/365))] + [e/((1+TAEG)^(59/365))] + [e/((1+TAEG)^(8990/365))] + [e/((1+TAEG)^(120/365))] +...…………..[e/((1+TAEG)^(334/365))] + [e/((1+TAEG)^(365/365))] + [e/((1+TAEG)^(396/365))] +...…...[e/((1+TAEG)^(730/365))]
Ainsi dans mon propre exemple avec une échéance constante "e" sur 48 mois, la Première Année étant Bissextile, le Calcul du TAEG devient :
P =
[e/((1+TAEG)^(31/365,25))] + [e/((1+TAEG)^(60/365,25))] + [e/((1+TAEG)^(91/365,25))] + [e/((1+TAEG)^(121/365,25))] +... [e/((1+TAEG)^(335/365,25))] + [e/((1+TAEG)^(366/365,25))] + [e/((1+TAEG)^(397/365,25))] +... [e/((1+TAEG)^(700/365,25))] + [e/((1+TAEG)^(731/365,25))] + [e/((1+TAEG)^(762/365,25))] +... [e/((1+TAEG)^(1065/365,25))] + [e/((1+TAEG)^(1096/365,25))] + [e/((1+TAEG)^(1127/365,25))] +... [e/((1+TAEG)^(1430/365,25))] + [e/((1+TAEG)^(1461/365,25))]
Cdt.
 
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