Ou trouver 27000E?

Je trouve certaines réponses sévères.
Certains maitrisent le monde de la banque et ses règles, d'autres non.
Chacun a sa situation de vie, financière, .... néanmoins, nous sommes sur ce forum pour échanger.
 
Je trouve certaines réponses sévères...
… certains jugements hâtifs et certains propos pas pédagogiques du tout.
Nous n’avons pas tous l’immense privilège de côtoyer le milieu bancaire depuis des décennies.
En ce qui me concerne, j’ai toujours préféré l’explication (même si elle ne va pas dans le sens du projet de l’intervenant) au jugement de valeur qui clos la discussion.
C’est un choix personnel ; je n’oblige personne à le partager. ;)
 
C'est cool ce forum, il y a les vilains et la gentille Vanille. :ange:

Et "Sac à puces" va encore me faire une remarque sur mes interventions inutiles et me renvoyer à mon blog et mes actions en justice ................. :cry:
 
C'est juste un luxe que de prétendre ne pas juger, les vérités sont là, et les plus malins ne sont pas forcément ceux que l'on croit. Il y a une fâcheuse tendance dans l'inconscient collectif à penser que les revenus ou la CSP font l'intelligence. On serait surpris, je pense, de s'apercevoir qu'il est parfois de bon ton de se poser en victime, tellement cela permet d'atteindre bien des objectifs à moindre coût. La différence ne se fait pas sur les revenus, mais sur la notion de dignité en République, où la solidarité a un sens profond et équitable et ne doit pas être usurpée dans son dessein fondateur. Et je peux me permettre de tenir ces propos car j'ai rencontré bien gens en situation précaire (et il pourrait très bien m'arrriver de l'être un jour) partageant cette vision des choses. Bien des gens n'ont pas conscience de la chance qu'ils ont en pouvant bénéficier d'un système de couverture, et l'enterre peu à peu en abusant de ce système au détriment d'autres.

Le simple fait de se poser certaines questions dans ces situations m'exaspère tant l'ordre des priorités données me parait totalement indigne et manquer gravement de citoyenneté.

Le système tourne déjà suffisamment mal pour que l'on cherche à lui nuire davantage encore, on devrait tous intégrer le fait que moins individualisme au profit de la réelle collectivité ne sera que pour servir un peu plus notre salut ou celui de nos enfants. "avoir le droit à" ou "le droit de" c'est bien de le savoir, en user sans réflexion et juste comme objectif de vie c'est autre chose.......l'arbitrage, c'est le reflet du regard dans la glace qui, si on comprend les bases de la vie en République Démocrative doit provoquer une certaine gène....et l'exercice est difficile si l'on prend en exemple ceux qui se prétendent être les représentants de la République, l'addition des âmes fait l'union, la soumission sans partage de valeur engendre le chaos organisé.
 
Dernière modification:
Bon, je préfère aller me coucher. Les grand discours du samedi soir me dépassent un peu.
Une clope et au lit. Je vais aller voir la téloche.

Bonne soirée
 
Je voulais dire que pour une personne, la notion de "précarité" peut être très différente du sens ou du vecu d'un autre.
Il y en a sûrement par ici des gens pour qui 400€/mois signifieraient la mort assurée, dans des atroces souffrances.
Et d'autres qui regarderaient cette somme comme une petite fortune.
Ce n'est que la masse de la majorité qui l'emporte. Mais la majorité, dans un perçu subjectif, n'est pas un argument.
Je vous donne un exemple de connerie imposée par la masse. Pour moi, un CDD n'a rien de précaire. Pour mon abruti de conseiller, oui. Et il m'a discriminé à outrance. Il m'a fait galérér pour avoir un toit à moi, alors que je suis intégré socio-professionnellement loin, bien loin devant la moyenne de la masse en CDI.

Retenez, s'il vous plait, l'exemple avec le zillion de mouches qui ne peuvent se tromper.
 
Pour moi, un CDD n'a rien de précaire...
Voilà une considération juridiquement fondée puisque le CDD ne peut être rompu avant son terme que pour deux motifs prévus par la loi (faute grave et force majeure) ; on ajoutera rupture amiable et conclusion d’un CDI mais là n’est pas l’objet du débat.
On a donc la certitude d’avoir du travail jusqu’à une date donnée (ce qui n’est pas le cas avec un CDI…).

Ce qui en fait rager beaucoup, c’est qu’ils nous croient précaires… alors qu’ils n’ont pas toujours conscience du fait que ce sont eux qui sont assis sur un siège éjectable. ;)
 
Bonjour,

+1 Hargneux.

J'ai sous les yeux le dossier de surendettement d'une femme de 35 ans. Dans l'échéancier proposé, il est clairement écrit dans le cartouche d'entête "Minimum légal à laisser au débiteur : 738.08€". Cette femme vit avec un enfant donc il est possible que ce minimum légal soit différent si vous êtes célibataire. Ce minimum comprend toutes les ressources.
Donc vous pouvez peut-être assumer ce crédit, mais qui va prendre le risque alors qu'il n'y a aucun recours ? Vous faites les frais d'une politique (justifiée dans 99% des cas, bienvenue dans les 1% !) de protection du consommateur.
 
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