Modalités pour obtenir un prêt immobilier locatif

Bonjour Francis92, vous avez oublié de dire, que comme au bon temps des subprimes aux usa, "un banquier normal" monte son dossier sur de simples déclarations,:cadeau::cadeau::cadeau::cadeau: ce qui simplifie la vie immédiate des emprunteurs et les pousse au suicide quelques années après...
 
Désolé Francis92 mais là c'est du grand n'importe quoi.............
"un banquier normal ne calcule pas l'endettement sur ce type d'opération"
" le reste à vivre à 1 RSA par personne"
"le loyer rembourse le prêt"

le loyer rembourse le prêt s'il est payé et si le bien se loue toute la durée du prêt
par contre une chaudière à changer ou une toiture à réparer, là on n'est pas sur le même niveau....

1 RSA par personne...........et bien c'est facile de pouvoir palier au aléa ci dessus avec l'équivalent d'un RSA

et enfin le banquier normal qui ne calcule pas l'endettement.................c'est comme la marmotte qui emballe le chocolat dans le papier d'alu .....

sinon sur vos principe toute personne au SMIC va acheter demain un immeuble locatif à 600.000 €
Je disais qu 'un banquier normal ne calculait pas l'endettement sur une opération immobilière avec location. Puisque le loyer remboursé le prêt. Quant à la norme du RSA pour le "reste à vivre"je maintiens...
 
Je ne pense pas que vous ayez eu le temps de prendre connaissance des différentes manières de calculer un taux d'endettement; y compris pour un financement à titre locatif.

Car contrairement à ce que vous affirmiez antérieurement, même en locatif, les banques calculent bien un taux d'endettement.................l'idée que "les loyers paient les mensualités" étant, hélas, très souvent fausse (Impayés de loyers - vacances locatives - mensualité supérieure au loyer...etc....)

Mais il y un grand nombre de manière de le faire chaque banque ayant la sienne.

Dès lors je suis heureusement surpris de votre revirement "D'accord en tous points" ?

Cdt
 
Je ne pense pas que vous ayez eu le temps de prendre connaissance des différentes manières de calculer un taux d'endettement; y compris pour un financement à titre locatif.

Car contrairement à ce que vous affirmiez antérieurement, même en locatif, les banques calculent bien un taux d'endettement.................l'idée que "les loyers paient les mensualités" étant, hélas, très souvent fausse (Impayés de loyers - vacances locatives - mensualité supérieure au loyer...etc....)

Mais il y un grand nombre de manière de le faire chaque banque ayant la sienne.

Dès lors je suis heureusement surpris de votre revirement "D'accord en tous points" ?

Cdt
Non...une opération fiscale patrimoniale est indépendante.... et en raison du gain fiscal, le client prend une assurance loyer...de plus ces opérations sont très fréquemment effectués pour des biens qui se louent facilement type maisons de retraites ou logements étudiants
 
Le plus souvent une GLI ne garantit que 2 ans de loyers, d'où précaution des banques.

D'autre part les banques raisonnent en taux endettement/capacité de remboursement.........hors fiscalité.

Si les uns et les autres vous disons que, même en locatif, un banque calcule un taux d'endettement avec sa méthode propre ne pensez vous pas que c'est en connaissance de cause ?

NB) - La question initiale porte sur l'achat d'une maison ancienne à titre locatif (pas maison retraite, logement étudiant ou autres...)

Cdt
 
Dernière modification:
Non...une opération fiscale patrimoniale est indépendante.... et en raison du gain fiscal, le client prend une assurance loyer...de plus ces opérations sont très fréquemment effectués pour des biens qui se louent facilement type maisons de retraites ou logements étudiants
Salut,

ce n'est pas possible d'écrire tant de bêtises : la banque ne prend pas de garantie de remboursement sur le gain fiscal qui appartient à l'investisseur - bailleur, l'assurance locative est à durée limitée avec souvent une période de franchise de 3 à 6 mois et enfin, les loyers ne sont pas non plus la propriété de la banque ...
Si c'était si facile, on se demande pourquoi les pouvoirs publics se préoccupent tant de savoir comment développer le parc locatif privé sans trop taper dans les finances publiques !

Dans une opération locative, le risque de la banque repose sur l'investisseur - bailleur, et le risque du bailleur repose sur le locataire. Donc la banque doit s'assurer que même si le bailleur n'a pas de locataire durant un certain temps, il peut tout de même rembourser les échéances du crédit consenti pour financer cette opération. Et la méthode pour apprécier ce risque est propre à chaque banque, il n'y a aucune règle générale.
Quant aux logements pour étudiants, quand il y a pléthore d'offres locatives, les loyers chutent et les bailleurs pleurent ... donc les banques sont prudentes.
 
bonsoir,
pour preuve: la caisse d'épargne et le crédit agricole demandent maintenant une épargne de précaution représentant entre 6 mois à 1 an de mensualité du prêt locatif.
dans ma région elles demandent en plus maintenant un apport des frais d'acte notarié
bref on paie le laxisme des années 2000 ou ces banques accordaient les prêts locatifs sur le principe "les loyers couvrent les mensualités donc c'est feu vert"

des exemples de "gamelles financières" sur des investissements locatifs très rentables à l'époque (10% de rendement) j'en ai un paquet dans mes fiches de consultation clients.
pour ma part je n'en ai eu qu'une sur 15 ans d'exercice de ma profession et encore c'était suite au divorce du couple propriétaire.....

bien cordialement
 
Salut,

ce n'est pas possible d'écrire tant de bêtises : la banque ne prend pas de garantie de remboursement sur le gain fiscal qui appartient à l'investisseur - bailleur, l'assurance locative est à durée limitée avec souvent une période de franchise de 3 à 6 mois et enfin, les loyers ne sont pas non plus la propriété de la banque ...
Si c'était si facile, on se demande pourquoi les pouvoirs publics se préoccupent tant de savoir comment développer le parc locatif privé sans trop taper dans les finances publiques !

Dans une opération locative, le risque de la banque repose sur l'investisseur - bailleur, et le risque du bailleur repose sur le locataire. Donc la banque doit s'assurer que même si le bailleur n'a pas de locataire durant un certain temps, il peut tout de même rembourser les échéances du crédit consenti pour financer cette opération. Et la méthode pour apprécier ce risque est propre à chaque banque, il n'y a aucune règle générale.
Quant aux logements pour étudiants, quand il y a pléthore d'offres locatives, les loyers chutent et les bailleurs pleurent ... donc les banques sont prudentes.
"Garantie de remboursement sur le gain fiscal"...on se demande qui ecrit des betises !!!

Je n'ai jamais parlé de garantie....et demandez par ailleurs aux étudiants si les loyers chutent...
 
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