anonymous2654
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Bonjour,
J'avais signé une vente avec un acheteur qui a ensuite décidé de monter une SCI, ce qui l'a mis en retard. Au moment de la signature de la promesse de vente la SCI était en cours de constitution avec clause de substitution. Je n'ai appris par le biais d'un agent que 3 semaines avant la signature finale qu'il y avait ce sujet, j'ai du envoyer mise en demeure et on m'a confirmé que ça allait se faire dans le temps. Suite à un manque de professionnalisme plusieurs semaines après expiration du contrat et sans garantie j'ai décidé de passer à autre chose. Il se pose désormais la question du dépôt de garantie, comment doit-il être réparti en principe ? De mon point de vue j'ai subit un dommage réel, du point de vue de l'acquéreur, il estime avoir "tout" bien fait et souhaite toujours acheter le bien après avoir reçu une offre de prêt pour sa SCI uniquement 1 mois après l'expiration de la promesse de vente. Ce n'est plus possible puisque je suis passé à autre chose et le prix était en plus particulièrement avantageux pour l'acquéreur. L'acquéreur vient de me notifier que la clause suspensive n'était pas défaillie de son fait, alors qu'il m'avait dit plus tôt qu'elle était accomplie et son notaire avait aussi indiqué qu'elle était accomplie. De plus l'offre ne semble pas conforme car elle est au nom de la SCI et pas de l'acquéreur.
J'avais signé une vente avec un acheteur qui a ensuite décidé de monter une SCI, ce qui l'a mis en retard. Au moment de la signature de la promesse de vente la SCI était en cours de constitution avec clause de substitution. Je n'ai appris par le biais d'un agent que 3 semaines avant la signature finale qu'il y avait ce sujet, j'ai du envoyer mise en demeure et on m'a confirmé que ça allait se faire dans le temps. Suite à un manque de professionnalisme plusieurs semaines après expiration du contrat et sans garantie j'ai décidé de passer à autre chose. Il se pose désormais la question du dépôt de garantie, comment doit-il être réparti en principe ? De mon point de vue j'ai subit un dommage réel, du point de vue de l'acquéreur, il estime avoir "tout" bien fait et souhaite toujours acheter le bien après avoir reçu une offre de prêt pour sa SCI uniquement 1 mois après l'expiration de la promesse de vente. Ce n'est plus possible puisque je suis passé à autre chose et le prix était en plus particulièrement avantageux pour l'acquéreur. L'acquéreur vient de me notifier que la clause suspensive n'était pas défaillie de son fait, alors qu'il m'avait dit plus tôt qu'elle était accomplie et son notaire avait aussi indiqué qu'elle était accomplie. De plus l'offre ne semble pas conforme car elle est au nom de la SCI et pas de l'acquéreur.