INQUIETUDES

Et s'il y a une mécanique plus complexe, progressive ou que sais-je, on tombe ici :

Donc au final, peut-être ce n'est pas la meilleure solution mais c'en est une.
Sauf qu'en dehors de la complexité du processus (que j'ose qualifier de vicieux), le compte est loin d'y être ....

La demande est une augmentation de 300 Euros d'augmentation par mois ; à charge de vérifier le processus du shmilbricq, il ne vous est accordé que le tiers (dont 30 ou 40 Euros de Smic sur les 100 octroyés, ou quelque chose du genre, car cela varie selon celui qui s'explique)

Et imaginons qu'un jour un gouvernement décide de supprimer la prime pour l'emploi ??

De fait entre :
- l'annulation de la façon d'appliquer l'annulation de la surcharge de CSG des retraites
- le bouzin relatif à l'augmentation de pouvoir d'achat des bas salaires en théorie au travers de l'ajustement du Smic
- et la défiscalisation des heures supplémentaires (mais il faut alors que vous soyez élu par votre chef de service ou votre dirigeant)
il n'y a que sur cette dernière proposition que les choses sont à peu près claires

Le reste, c'est un pata-caisse ....
 
Bonjour,

Il semble que les seuils de revenu fiscal de référence retenus soient 22.354€ annuels (= 1862€/mois) pour une part et seulement 34.200€ (=2.850€/mois) pour deux parts fiscales.

Cdt
 
Sur la démission.. on a vu déjà des circonstances nationales brusquer le cours de l'histoire et il n' y a pas si longtemps un président élu démocratiquement en Italie( en 2011) a été "démis" par les marchés...sans que personne dans les pays démocratiques ne trouve à y redire..méfions nous des certitudes;
Comme je le disais plus haut... chacun ses certitudes...

Si tu fais allusion à S. Berlusconi et sa démission en 2011, il n'était pas Président de la République, mais Président du Conseil, c'est-à-dire l'équivalent de notre PM qui, comme en France, n'est pas élu mais nommé par le Président de la République. De la même manière, il faut une majorité au Parlement.

Donc éventuellement, ce qui pourrait se passer, c'est que Macron procède à la dissolution de l'Assemblée Nationale avec de nouvelles élections, et selon la majorité qui s'en dégage, demander la démission d'E. Philippe et en avant pour la cohabitation (et avec qui? Marine Le Pen?)

Après, la constitution prévoit que le Président de la République peut démissionner, sur la base d'une décision purement personnelle du chef de l'Etat. Mais si cela conduit à une période très instable en temps ordinaire, que faut-il en penser dans le contexte actuel qu'il soit national, européen ou international?
Donc Macron ne prendra jamais une telle décision car, vu le contexte, cela représenterait un énorme risque pour nos institutions...
 
Dernière modification:
Bonjour,

Il semble que les seuils de revenu fiscal de référence retenus soient 22.354€ annuels (= 1862€/mois) pour une part et seulement 34.200€ (=2.850€/mois) pour deux parts fiscales.

Cdt
Bonjour, on prendrait donc en compte, non pas seulement les retraites, mais l'ensemble des revenus ?
 
. Mais si cela conduit à une période très instable en temps ordinaire, que faut-il en penser dans le contexte actuel qu'il soit national, européen ou international?
Donc Macron ne prendra jamais une telle décision..
Pour moi , ce n'est pas la démission qui fait la crise, mais ce serait une crise qui mènerait à la démission, aggravant par là-même ladite crise.
De la même manière Mélenchon ou Marine arriverait au pouvoir du fait d'une crise, ce qui aggraverait la crise;
Mais le point de départ c'est une crise;
Personne n'a obligé Chirac à la dissolution, personne n'a obligé De Gaulle à mettre son mandat en jeu; si on regarde les institutions comme chacun le fait dans les posts ci dessus, De Gaulle aurait continué et Chirac n'aurait pas dissous;
 
Le peuple attend un sauveur ! Qui cela pourra-t-il bien être...une personne ? un partie politique ? J'ai quand même hâte de le savoir !
 
Si tu fais allusion à S. Berlusconi et sa démission en 2011, il n'était pas Président de la République, mais Président du Conseil, c'est-à-dire l'équivalent de notre PM qui, comme en France, n'est pas élu mais nommé par le Président de la République. De la même manière, il faut une majorité au Parlement.

Donc éventuellement, ce qui pourrait se passer, c'est que Macron procède à la dissolution de l'Assemblée Nationale avec de nouvelles élections, et selon la majorité qui s'en dégage, demander la démission d'E. Philippe et en avant pour la cohabitation (et avec qui? Marine Le Pen?)

Après, la constitution prévoit que le Président de la République peut démissionner, sur la base d'une décision purement personnelle du chef de l'Etat. Mais si cela conduit à une période très instable en temps ordinaire, que faut-il en penser dans le contexte actuel qu'il soit national, européen ou international?
Donc Macron ne prendra jamais une telle décision car, vu le contexte, cela représenterait un énorme risque pour nos institutions...
Quand on se bat pour avoir le pouvoir au plus haut niveau, on n'abandonne pas devant la première difficulté venue, fût-elle inédite.
En cas de démission, se serait le président du sénat qui assurerait l'intérim pour organiser de nouvelles élections (?).
 
Pour moi , ce n'est pas la démission qui fait la crise, mais ce serait une crise qui mènerait à la démission, aggravant par là-même ladite crise.
De la même manière Mélenchon ou Marine arriverait au pouvoir du fait d'une crise, ce qui aggraverait la crise;
Mais le point de départ c'est une crise;
Personne n'a obligé Chirac à la dissolution, personne n'a obligé De Gaulle à mettre son mandat en jeu; si on regarde les institutions comme chacun le fait dans les posts ci dessus, De Gaulle aurait continué et Chirac n'aurait pas dissous;
On est bien d'accord, ce n'est pas la démission qui fait la crise. Il y a déjà tant de problèmes, est-il besoin d'en rajouter au risque de voir nos institutions vaciller plus que sérieusement?
Le contexte avec Chirac ou De Gaulle était très différent, même en 68 où la menace terroriste du niveau d'aujourd'hui n'existait pas, la crise économique était aux oubliettes car on était en plein dans les 30 glorieuses.

Quand on se bat pour avoir le pouvoir au plus haut niveau, on n'abandonne pas devant la première difficulté venue, fût-elle inédite.
En cas de démission, se serait le président du sénat qui assurerait l'intérim pour organiser de nouvelles élections (?).
Mais oui, et je ne crois pas que Macron abandonne si aisément, pour quelques raisons que ce soit (ego démesuré, sens de LA responsabilité ultime...)
En principe, si telle chose se produisait, ce serait en effet Gérard Larcher qui prendrait l'intérim, mais ça peut aussi être le PM.
 
Inégalité devant l'impôt entre salariés et retraités: savez-vous qu'un couple de retraités avec 60 000€ de pension annuelle paie plus d'IR qu'un couple de salariés avec 60 000€ de salaires ?
Oui, je le savais papy, j'y étais ....

Autre piste de réflexion: le barème de l'IR : trouvez-vous normal qu'un foyer fiscal dont les revenus imposables sont de 55 000€ annuel se trouve dans la même tranche marginale d'imposition qu'un autre avec 145 000€ ?
Ce sont donc également des couples et (normal ou pas) cela s'explique ....

L'ISF est pour moi un impôt stupide mais sa réforme n'aurait-elle pas dû s'accompagner d'une augmentation corrélative de l'IR (adjonction de taux intermédiaires et supplémentaires vers le haut).
Vous la fixez à combien la tranche du haut ? 110% ?

Pourquoi ne pas revoir également le barème des droits de succession, notamment pour les gros patrimoines ?
Vous croyez qu'ils vous auront attendu, et que les prochains vont continuer à le faire ?

Pour certains patrimoines (outils industriels et/ou commerciaux), il y a des solutions qui consistent juste à mettre ces entités sous holding, et ensuite de se montrer vigilent, notamment sur l'endroit du siège ....
 
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