Bonjour,
la double casquette de courtier en prêt et de conseiller en procédure de TEG m'interpelle.
en effet le courtier à un devoir d'information et de loyauté vis à vis de son client. il doit en outre respecter une déontologie qui lui interdit de mettre ses clients dans une situation financière délicate.
Et vu les obligations légales qui sont faites aux courtiers en terme d'information et de protection du consommateur, un bon professionnel se garde bien de ce mélange des genres.
à l'inverse, le commercial qui vend les services d' HC a tout intérêt à ce que son client signe et à priori d'après les échos multiples sur les réseaux sociaux, sans trop s'étendre sur les risques et les procédures.
le mélange des deux fait que si un courtier conseille à des clients des actions en justices sur des bases non présentées aux clients et non expliquées en détail on peut se poser la question de son éventuelle responsabilité.
sur la base juridique de la "perte de chance de ne pas souscrire".
parce qu'au final c'est bien lui qui a incité le client a engager l'action, c'est bien lui qui a perçu une commission de la part de H.C....
de la à dire que c'est lui qui à présenté l'argumentaire et les éléments ayant décidé le client à agir, le juge se posera bien la question.
quand à prétendre que le courtier ne fait engager les actions que contre les banques avec lesquelles il n'a pas de convention, là, excusez moi, mais je n'y croit pas..... ou alors il ne travaille qu'avec 2 ou 3 banques
Dans le système mis en place par H.C et qui consiste en une multitude d'"apporteurs d'affaires" le recrutement des clients se fait comme souvent dans ce genre de structure par connaissance ou voisinage.
si vous cherchez sur internet vous verrez facilement que bon nombre des structures de "correspondants H.C" ont été montées par des personnes qui n'avait rien à voir avec le monde de la finance, du droit ou du conseil.
vous avez même des vendeurs de produits alimentaires qui présente les services de H.C .......