Appart'City - Park & Suites - Défendons-nous

Tout va bien, vous dormez...

Incroyable culot et incroyable duperie quand ce même Monsieur a reconnu en réunion avec les co-propriétaires avoir plusieurs millions d'Euros de loyers impayés !

Le modérateur a supprimé le lien vers l'article sur midi libre au motif qu'il faut être abonné ce qui n'est pas tout à fait exact car l'article est accessible à tout le monde en acceptant de regarder une publicité pendant 30 s.

Je vous laisse donc le soin de rechercher vous même l'article sur le net (interview de l'ancien président du directoire d'AC par midi libre).
 
Bonsoir,

Je confirme tout à fait les dires de notre ami Lacarbre par rapport à la suppression de ce document de presse.

En effet, cela confirme que nous sommes bien évidemment pas tous égaux devant l'information, surtout comme nous nous heurtons à des entreprises d'envergure internationale, créatrices d'activités et d'emplois, au détriment bien sûr de sa propre déontologie dont elle veut pourtant tellement s'approprier pour essayer de garder son éthique.

Cela est aussi vrai au même titre des non paiements de loyers dus de ses bailleurs par cette même entreprise respectable depuis plusieurs mois qui ne sont, bien entendu, pas évoqués dans cet article peut-être un peu trop courtois avec A.C...
De qui se moque t-on?

Bien cordialement


Le modérateur a supprimé le lien vers l'article sur midi libre au motif qu'il faut être abonné ce qui n'est pas tout à fait exact car l'article est accessible à tout le monde en acceptant de regarder une publicité pendant 30 s.

Je vous laisse donc le soin de rechercher vous même l'article sur le net (interview de l'ancien président du directoire d'AC par midi libre).
 
A la question pourquoi attendre pour recapitaliser ?
Très simple il a fallu congédier les dirigeants et contacter l'actionnaire majoritaire pour que lui à son tour contact les autres actionnaires et leur face comprendre qu'il était temps de miser sur un avenir plus radieux. Les erreurs de politiques de fonctionnement ont du être démontrées et les avocats ont été engagé pour cela. Il faut du temps, il faut convaincre et la désinformation fait plus de mal que certaines vérités systématiquement étouffées. Le pot de terre contre le pot de fer.
Le pot de fer semble pourtant bien rouillé mais continue la désinformation. Nous pourrions appeler cela un suicide intellectuel.Une certaine auto-destruction.
Cette journaliste a fait un papier mais ne connait pas bien le dossier. Si tel avait été le cas il aurait été publié dans une revue économique plus fameuse qu'un blog perso...

Pour revenir sur les message de Coup-Yonnais : J'ai rencontré ce monsieur à plusieurs reprises et ses connaissances, son courage mais aussi sa grande bienveillance et empathie méritent un profond respect. Peu lui arrive à la cheville et au regard du temps qu'il offre à la communauté dans le besoin et l'aide qu'il a apporté au plus démunis (qu'il est inutile de citer mais qui se reconnaîtront) , je peu vous affirmer très facilement au risque d'être personnellement attaqué...Que c'est une BELLE PERSONNE.

Louise44

Bonjour,

Pour une bonne information : Monsieur Denizet est toujours au sein de la Holding. Si il se sévit plus dans la gestion française, il a eu la promotion de voir s'élargir son champ d'intervention en qualité de dirigeants à la filiale "étranger". De plus il est au Conseil de Surveillance ! Monsieur DENIZET n'a donc pas été licencié ! Quand à Monsieur Cavalier actionnaire majoritaire, il sait parfaitement que les loyers sont impayés depuis 2014 pour certains copropriétaires... L'état de siège dans lequel sont mis les bailleurs a pour but de leur faire avaler les baisses de loyers. Un dirigeant de AC ne s'en cache pas dans un article édité par Challenges.
Ces 20 millions que les investisseurs fournissent pour garder leur gagne pain est une somme dérisoire face aux millions accordés par la diminution des loyers x par les 11 ans de bail renouvelable !!! Quand aux loyers encaissés par AC sans que soit respecté les contrats qu'ils ont eux mêmes passés, c'est se moquer du bailleur et le prendre pour un parfait idiot. La preuve en est
 
Bonjour,
j'ai un projet d'investissement dans la résidence Colbert de Reims mais j'avoue que vos commentaires sur le gestionnaire locatif Appart City me laissent un peu perplexe...
Quels retours pouvez-vous me faire quant à l'expérience que vous avez avec ce gestionnaire ?
En vous remerciant infiniment pour vos précieux conseils,
Belle journée à tous !
 
bonjour,
nous sommes sur le point de signer l'achat d'un studio dans l'appart'city de Lyon Part Dieu, il n'y a apparemment aucun défaut de paiement mais à la lecture forte intéressante des différents articles et blogs que je vient de découvrir (par chance j'ai envie de dire), j'aimerai savoir si quelqu'un aurait des informations ou conseils
Merci à tous.
 
Bonjour,

Une "journaliste" a ouvert une discussion sur son blog, mais refuse tout post qui ne va pas dans son sens.
https://mdenoune.com/2017/03/18/appart-city-le-bilan-a-mi-mars/comment-page-1/#comment-2337

Je poste ici les remarques et questions que je lui ai posées et qu'elle ne veut pas publier :
"Toute cette prose amène plusieurs réflexions :
Madame D......, vous écrivez à Maître P....... :
"Votre cabinet et celui de 3 autres confrères engagent-ils leur responsabilité professionnelle sur cet accord que vous jugez exceptionnel?"
et vous, engagez-vous votre responsabilité ??
si au vu de vos pseudo vérités, et analyses à charge, l'accord ne se fait pas du fait de la mauvaise information que vous véhiculez, mal ou pas encadrés des copropriétaires maltraités jusqu'à présent par Appart'City ne comprennent pas que la nouvelle gouvernance de cette Entreprise peut améliorer la situation, et ne signent donc pas ces baux !!!!!!!!

Il faut leur expliquer que quand vous aurez réussi par votre participation à aller jusqu'au dépôt de bilan, 112 résidences seront laissées aux mains d'un administrateur judiciaire, qui décidera ce qu'il veut en privilégiant autant que possible Appart'City, parce que de nombreux emplois sont en jeu.
Ce sera encore pire que l'accord établi par les quatre avocats à ce jour.

Si l'administrateur décide d'arrêter l'activité de Appart'City, 112 résidences seront sur le marché.

Les 30 plus rentables seront les moins lésées, les autres vont perdre beaucoup plus de plumes qu'avec le nouveau bail. Sachant que les 30 dernières qui sont d'une rentabilité très faible seront abandonnées à leur triste sort ou devront consentir tellement de sacrifices que les copropriétaires ne s'en remettront pas.
Pour certaines de ces 30 résidences la baisse du loyer aurait du être de 50 à 60%, la « mutualisation » consentie lors de l'accord leur a permis de profiter d'un effort fait par les autres résidences ; ce qui fait que le nouveau bail ne prévoit pas plus de 30% de baisse (avec un retour progressif vers le loyer d'origine si la situation de la résidence s'améliore). Alors !!!!

Quitter le gestionnaire ??? Le message posté par « m.... g...... » est explicite, seules les résidences regroupées peuvent éventuellement s'en sortir à condition de mener une action avec une grande majorité des copropriétaires.
Ce que ne dit pas « m.... g...... », c'est :
. à quel prix les appartements ont été rachetés ? 40, 30, 20 % de la valeur initiale ??,
. la baisse de loyer qu'ils ont consentie pour relancer l'exploitation ?
. le coût de la procédure pour se libérer de leur ancien gestionnaire ?

Je salue le courage des Avocats qui ont essayé de mettre fin à cette situation de crise et ont mis en place une solutions qui peut ne pas sembler parfaite, mais une solution qui si elle aboutit rendra la vie plus facile au copropriétaires bailleurs de Appart'City.
Et puis cette solution pourrait faire école ….

Enfin, Madame D......, journaliste, votre travail ne consiste-t-il pas à interviewer toutes les parties et à diffuser le résultat de votre enquête ?
Avez-vous seulement rencontré le groupe des Avocats qui a négocié l'Accord ??
"

C'est invraisemblable ces blogs n'admettant que la pensée unique. Dès que l'on souhaite que les propos soient éclaircis ou que l'on veut vérifier ce qui s'y cache, on est censuré.

A par ce Blog, ne peut-on que passer par Cash Investigation ou MédiaPart ??

Dans notre monde de communication, la censure devient de pire en pire.
 
Bonjour,

Connaissez-vous l'accord négocié ??
Avez-vous seulement fait une analyse économique de votre résidence ?

Vous n'êtes sûrement pas responsable de sa situation, mais celle ci étant ce qu'elle est, il faut cesser de pleurer sur le passé et se projeter vers l'avenir.

Vous vous plaignez tous, sans jamais définir de solution ni de suggestion.

Pleurer ne sert à rien, avancer et construire est positif.

Certaines Résidences et leurs Avocats ont agi et mis en place un accord négocié qui a abouti aux nouveaux baux.
CA C'EST CONCRET.

Le reste ................
 
Bonjour à tous,

Si l'on regarde la situation, aujourd'hui, une entreprise au bord du gouffre, des appartements qui, compte tenu du non paiement des loyers, ne valent rien (peut être 20% de la valeur initiale).

A ce jour deux solutions proposées :
Quitter le navire,
Accepter l'accord et signer les baux,

1) Quitter le navire :
Pour aller où ?
A quelles conditions ?
Sortir sous-entend qu'une majorité de copropriétaires acceptent de quitter l'exploitant.
Sortir sous-entend aussi que les copropriétaires paient des indemnités d'éviction (jusqu'à 2 ans de Chiffre d'Affaires payés à l'exploitant par résidence qui partirait). Pour partir, les coûts d'un procès que l'on n'est pas sûr de gagner (l'exploitant a accepté de négocier pour sortir de la crise). Une quasi-certitude de ne pas être payé des retards de loyer malgré les procès (donc des frais de justice) qu'il faudra faire.
112 résidences sur le marché 30% avec une certaine rentabilité, 40% avec des soucis, 30% qui devront payer et cher (remise à neuf des appartements) pour qu'un exploitant s'intéresse à eux. Il faut aussi qu'une grande majorité des copropriétaires de la résidence acceptent les nouvelles conditions d'exploitation (peu d'exploitant accepteront de ne gérer qu'une partie de la résidence).
Quoi qu'il en soit, compte tenu des problèmes actuels de l'activité touristique (diminution de la fréquentation hôtelière), les repreneurs ne se précipiteront pas sauf à des conditions inacceptables (un bail imposé, avec des clauses qui ne peuvent qu'avantager le repreneur au détriment des copropriétaires bailleurs).
Pour pratiquement toutes les résidences il y aura une perte du statut LMNP avec obligation de rembourser tout ou partie de la TVA (voire rembourser les avantages fiscaux).
Tous ceux qui auront tout fait pour quitter le navire (refus de signer les baux), et qui de ce fait auront entraîné l'entreprise au dépôt de bilan, pourraient être traînés en justice par ceux qui ont signé les baux et qui se retrouveraient malgré eux dans cette galère.

Cette solution est une aventure sans vision, ceux qui vont s'y lancer rentrent dans un tunnel sans éclairage, d'un noir d'encre dans lequel il va falloir avancer au toucher sans voir arriver les obstacles et les pièges, sans certitude que l'on va vers la sortie.
Elle semble même sans lendemain

2) Accepter l'accord et signer les baux
Les conditions sont claires, à la fois dans l'accord et en partie traduite dans les baux.
Les inconvénients :
Une baisse des loyers, mais limitée, avec un clause dans le bail qui permet de diminuer cette baisse au fur et à mesure du retour de la résidence vers la rentabilité.
Un règlement des retards de loyer, suite à la recapitalisation, lié à la couverture des signatures par rapport au parc (80% des résidences doivent avoir au moins 75% de baux signés). Il est évident que l'exploitant ne peut s'engager que sur un périmètre lui permettant d'assurer sa survie ; en dessous de ces chiffres il ne peut espérer sa pérennité.
Un engagement sur 11 ans ? (il y a des clauses résolutoires qui permettent de sortir en cas de non respect des conditions du bail – y compris le règlement des loyers).
Y-en a-t-il d'autres ?? A part que l'on ne change pas d'exploitant
Les avantages :
Une voie assez rapide vers une solution qui devrait amener une certaine tranquillité aux copropriétaires si l'accord est respecté (plus de procès, certes une mobilisation toujours nécessaire).
Un engagement de règlement des retards de loyer (en fonction des signatures des baux sur l'ensemble des résidences).
La possibilité de réduire la baisse des loyers en fonction de l'amélioration de la gestion de l'entreprise.
L'accès aux éléments économiques de la résidence (compte d'exploitation), ce qui doit permettre à chaque résidence de réagir en fonction de la situation (alors que aujourd'hui on découvre en fin de bail la situation réelle de la résidence).
Des clauses qui ne sont pas à sens unique, où seul le copropriétaire avait des contraintes (ce qui était le cas dans le bail précédent).
Dans l'accord, pour les résidences qui en ont besoin, la promesse de travaux en partie financés par l'exploitant.
La possibilité de sortir facilement du bail (sans une procédure longue, fastidieuse et coûteuse) en cas de non respect des clauses du bail. Ce seul point doit inciter l'exploitant à bien gérer car, en cas de défaillance, les copropriétaires pourront dénoncer le bail sans risque important.
La mise en place d'un groupe de copropriétaires qui surveilleront le bon déroulement de l'accord et qui auront une information des orientations de l'entreprise. Ce groupe pourra alerter au plus tôt des problèmes ou manquements (et envisager la riposte à mettre en place).
Une nouvelle gouvernance chez l'exploitant qui collabore et n'est pas dans le totalitarisme de l'équipe précédente.
Des investissements qui reprendront de la valeur (si l'accord abouti), qui, compte-tenu des clauses des baux, et à condition que l'exploitant retrouve une rentabilité, seront recherchés sur le marché de la revente.

Cette solution est aussi assujettie à un certain nombre de paramètres économiques qui ne sont pas possible à appréhender aujourd'hui. Mais les conditions de l'accord donnent un maximum de chances de réussite à ce projet.

3) Conclusion
La première solution, n'est pas une solution, compte tenu de l'environnement économique elle engage dans un tourbillon dont on ne connaît pas l'issue. Certains veulent nous y précipiter sans en expliquer les conséquences.

La deuxième solution, structurée et pensée, limite les risques financiers immédiats. Elle permet rapidement de retrouver une tranquillité. Si vos résidences se structurent et mettent en place les bonnes conditions de suivi et de réactivité, vous assurerez la survie et la pérennité de vos investissements.
Et puis, si l'exploitant s'avère défaillant, nous avons alors des facilités pour le quitter et en trouver un autre. Avec tout de même les risques exposés dans la solution 1 (hors indemnité d'éviction qui n'existe plus), difficulté de trouver un exploitant, négociation des conditions d'exploitation, accord global de la résidence par rapport au nouvel exploitant, ...

Vous avez tout à gagner à accepter de signer les nouveaux baux, alors que dans les conditions actuelles, vous avez tout à perdre à les refuser.
Attention, le refus de signer rapidement va sûrement entraîner le dépôt de bilan. Je pense que l'administrateur judiciaire qui sera nommé sera bien plus drastique que l'accord et vous avez vraiment tout à perdre dans cette situation.

REFLECHISSEZ, mais REFLECHISSEZ vite.
 
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