Aide pour placement 420 000€

Peu probable compte tenu des résultats de l'entreprise mais effectivement c'est la limite de tout contrat et c'est pourquoi il faut s'intéresser un petit peu au marché sur lequel repose le produit. En cas de faillite vous restez propriétaire de votre collection et à ce titre vous pouvez tout à fait soit retrouver quelqu'un pour l'exploiter soit l'exploiter vous même soit la revendre sur le marché. L'accord contractuel est caduque bien sûr puisqu'une partie disparait par contre ce marché encore une fois très sécuritaire et performant permet de se dire que l'on ne prend pas un gros risque.
Après chacun sa sensibilité et sa façon d'investir comme le dit Gagarine, c'est un bon produit mais d'autres le sont aussi.Il convient de souscrire ou acheter des produits avec lesquels on est à l'aise et pour lesquels on a compris le principe.
 
En réalité, il n'y a qu'une seule véritable "zone d'ombre" : que se passe-t-il si la société de courtage fait faillite ?

Bonjour,
La question est intéressante, car dans l'hypothèse que la société fait faillite (même si cela ne peut être possible vu le patrimoine qu'elle a constitué dans les oeuvres manuscrites depuis plus de 30 ans qui sont exposés à l'unique musée européens consacrés aux lettres et manuscrits, et qui en revendant une partie réaliserait un bénéfice très important, mais admettons). Dans ce cas là, de toute façon vous avez le titre de propriété de l'oeuvre. Donc, en la revendant vous réaliseriez une plus-value plus importante au vu de l'évolution du marché des lettres et manuscrits.
Cordialement.
 
Je n'ai rien contre votre produit ! Mais comme dans l'art, il y a une part non négligeable d'affectif. Et là, rien ! J'aime sentir vivre mes investissements. Là, alors que l'on touche au patrimoine, il n'y a pas d'affectif avec le produit. Au même titre que je n'investirai pas dans des scpi. Il faut dire que je suis un tres mauvais investisseur car je n'ai que tres peu de liquidite et "beaucoup" de pierre.
Et au final, sur votre produit, on se fiche pas mal de savoir sur quoi cela repose puisque on se retrouve avec un contrat qui nous assure nos 8%/an. Pas très bandant...

Ce n'est pas mon produit personnel, je le propose à mes clients au même titre que d'autres produits d'investissement ou de placement. J'informe juste sur le fait que ce produit existe et qui avec ma connaissance en structuration du patrimoine est actuellement l'un des investissement les plus rentable et les plus sécuritaire disponible sur le marché.
Après, chacun se fait son opinion et se renseigne afin de mieux comprendre.
Cordialement.
 
Par "votre produit", j'entendais bien "le produit que vous nous présentez".
Je pense que la discussion a au moins le mérite de permettre à chacun de le découvrir et de se faire une idée. Il peut être une solution parmi d'autre...
 
Bonjour,
Dans ce cas là, de toute façon vous avez le titre de propriété de l'oeuvre. Donc, en la revendant vous réaliseriez une plus-value plus importante au vu de l'évolution du marché des lettres et manuscrits.
Cordialement.

Le problème vient probablement du fait que l'acheteur n'est pas la plupart du temps un spécialiste des oeuvres capable de vérifier leur valeur réelle.
Finalement l'investisseur achète un rendement dont le sous-jacent est l'oeuvre manuscrite.

Sans vouloir faire de raccourci ni de jugement de valeur dans la mesure ou je ne connais pas ce marché, on peux penser à des scandales immobilier comme APOLONIA ou de la même façon après la faillite les investisseurs sont restés propriétaires de leurs biens mais ceux-ci avaient étés largement sur-évalués. Le système a pourtant fonctionné plusieurs années.

Pour le particulier, ou est-il possible de suivre la valeur réelle (basée sur des transactions effetives) de ces oeuvres avec un historique? Y'a-t-il une base des commissaires priseurs?

Quid de la liquidité pour la société de courtage (car même si sur le long terme la sécurité semble plausible un creux court ou moyen terme n'est pas inimaginable) qui doit avoir une solidité financière absolue pour pouvoir servir un taux fixe même dans le cas ou la liquidité du marché est provisoirement en berne et ou l'exploitation connait également un baisse de rentabilité?

merci pour vos précisions
 
Par "votre produit", j'entendais bien "le produit que vous nous présentez".
Je pense que la discussion a au moins le mérite de permettre à chacun de le découvrir et de se faire une idée. Il peut être une solution parmi d'autre...

Tout à fait, et c'est le but de notre discussion sur le forum. Et vos questions restent intéressantes dans le fond car elles permettent de mieux définir et de mieux comprendre cet investissement.
Cordialement.
 
Le problème vient probablement du fait que l'acheteur n'est pas la plupart du temps un spécialiste des oeuvres capable de vérifier leur valeur réelle.
Finalement l'investisseur achète un rendement dont le sous-jacent est l'oeuvre manuscrite.

Sans vouloir faire de raccourci ni de jugement de valeur dans la mesure ou je ne connais pas ce marché, on peux penser à des scandales immobilier comme APOLONIA ou de la même façon après la faillite les investisseurs sont restés propriétaires de leurs biens mais ceux-ci avaient étés largement sur-évalués. Le système a pourtant fonctionné plusieurs années.

Pour le particulier, ou est-il possible de suivre la valeur réelle (basée sur des transactions effetives) de ces oeuvres avec un historique? Y'a-t-il une base des commissaires priseurs?

Quid de la liquidité pour la société de courtage (car même si sur le long terme la sécurité semble plausible un creux court ou moyen terme n'est pas inimaginable) qui doit avoir une solidité financière absolue pour pouvoir servir un taux fixe même dans le cas ou la liquidité du marché est provisoirement en berne et ou l'exploitation connait également un baisse de rentabilité?

merci pour vos précisions

Au niveau de la valeur et donc de l'estimation des oeuvres manuscrites, cela peut paraitre assez complexe pour les néophytes car l'oeuvre étant unique on ne peut pas la comparer par rapport à un marché. Cette estimation est donné par des experts ou des commissaires priseurs lors des ventes aux enchères. Bien entendu, vous pouvez retrouver une référence de cette cotation au niveau Européen, dans le domaine des lettres et manuscrits, aux éditions Plume.
Cet ouvrage existe également aux Etats-Unis sous la dénomination Sanders.
A l'heure de l'internationalisation vous pouvez retrouver des références sur internet.
Cordialement.
 
Bonjour,
La question est intéressante, car dans l'hypothèse que la société fait faillite (même si cela ne peut être possible vu le patrimoine qu'elle a constitué dans les oeuvres manuscrites depuis plus de 30 ans qui sont exposés à l'unique musée européens consacrés aux lettres et manuscrits, et qui en revendant une partie réaliserait un bénéfice très important, mais admettons). Dans ce cas là, de toute façon vous avez le titre de propriété de l'oeuvre. Donc, en la revendant vous réaliseriez une plus-value plus importante au vu de l'évolution du marché des lettres et manuscrits.
Cordialement.

Hummm... pas tout-à-fait, dans la mesure où, si j'ai bien compris, c'est l'indivision qui possède le titre de propriété. Disons qu'on doit pouvoir revendre, mais la tâche est certainement assez compliquée. Et, toujours en cas de faillite, quid de l'implication des assurances des CGP qui ont proposé ce produit ?
 
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