pollux1963
Contributeur régulier
Merci Pollux de votre lien.
En pratique, il me semble, comme c'est d'ailleurs apparu dans le cas de l'affaire Cirier, que la contestation de ces frais sur leur caractère "bien fondé" ou non est typiquement un écueil dans lequel il ne faut pas tomber.
Pouvez vous développer ?
L'angle, c'est le TEG, erroné ou usuraire. Et comme vous le dites dans ce post, deux CIAP et hop, le taux affiché est erroné et (à coup sur) usuraire !
Ca, c'est une évidence mais rien n'empêche d'y joindre d'autres motifs : abus de domination, manquement aux devoirs de conseils, etc
Quant aux médiateurs, oubliez ! Il faut trois heures pour assigner au TI, et trois mois pour obtenir d'un médiateur une prise de position qui ne contraint même pas la banque...
Là, je pense qu'on doit passer par cette procédure pour montrer que l'on a chercher à résoudre l'affaire de manière pacifique ! La médiation est à la mode.
TI, Plainte contre X au parquet et aux services de la DGCCRF, mise en demeure du DG du siège de l'établissement, copie naturellement au service qualité et à toutes les asso de consommateurs....en attendant les trois mois liés à la réforme du CPP pour se constituer partie civile...45K€ par infraction pour chef d'usure, ça doit pouvoir calmer !
Peut être à me détailler en messagerie privée pour ne pas heurter les gens qui ne comprennent pas et n'admettent pas notre combat.
Enfin, pourquoi les banques ne reconnaissent pas les décissions de justice ? S sentent elles au dessus des lois ?
A bientôt.
pollux1963