oui,
les parallèles entre prêt et affacturage trouvent vite leurs limites.
Cela me semble tenir au contexte de l'opération de crédit. Pour un prêt les frais sont décaissés vers une pluralité d'acteurs: courtier, banque, services fiscaux (PPD, hypo), assurance... tandis qu'en matière d'affacturage, il n'y a bien souvent que l'affactureur qui perçoit intérêts et frais.
Aussi les logiques de trésorerie m'apparaissent plus pertinentes en affacturages qu'en prêt.
De plus, par nature, les garanties du crédit d'affacturage sont intrinsèques ou consubstantielles à l'opération d'affacturage tandis que les garanties du crédit sont extrinsèques à l'opération.
La divergence entre prêt et affacturage me paraît particulièrement illustrée par leur différence de critère : en prêt le critère cardinal est celui de la conditionnalité de l'octroi du crédit et non l'impact sur la trésorerie de l'opération, tandis qu'en affacturage c'est celui de l'impact sur le financement disponible (ou sur le montant du crédit comme j'ai pu le raccourcir) qui prime sur la conditionnalité de l'octroi du crédit.
j'irai jusqu'à oser cette hardiesse : en matière d'affacturage, la conditionnalité de l'octroi du crédit se déduit non du contrat mais de l'impact sur le financement disponible.
les parallèles entre prêt et affacturage trouvent vite leurs limites.
Cela me semble tenir au contexte de l'opération de crédit. Pour un prêt les frais sont décaissés vers une pluralité d'acteurs: courtier, banque, services fiscaux (PPD, hypo), assurance... tandis qu'en matière d'affacturage, il n'y a bien souvent que l'affactureur qui perçoit intérêts et frais.
Aussi les logiques de trésorerie m'apparaissent plus pertinentes en affacturages qu'en prêt.
De plus, par nature, les garanties du crédit d'affacturage sont intrinsèques ou consubstantielles à l'opération d'affacturage tandis que les garanties du crédit sont extrinsèques à l'opération.
La divergence entre prêt et affacturage me paraît particulièrement illustrée par leur différence de critère : en prêt le critère cardinal est celui de la conditionnalité de l'octroi du crédit et non l'impact sur la trésorerie de l'opération, tandis qu'en affacturage c'est celui de l'impact sur le financement disponible (ou sur le montant du crédit comme j'ai pu le raccourcir) qui prime sur la conditionnalité de l'octroi du crédit.
j'irai jusqu'à oser cette hardiesse : en matière d'affacturage, la conditionnalité de l'octroi du crédit se déduit non du contrat mais de l'impact sur le financement disponible.