Leur profil est spécifique : il s’agit de personnes ne touchant pas (ou très peu) de revenus d’activité, ni de pension de retraite ou d’allocation chômage de provenance française, et gagnant d’importants revenus du capital.
Primo, quelles sont
les limites ce que l'on nomme importants revenus des capitaux ?
Ensuite et pour les
personnes mariées ou pacsées, l'une des questions qui se posent, c'est de savoir à quel niveau se trouve la soumission à cette taxe qui, si j'ai bien compris, vient remplacer une cotisation à la CMU dans le régime précédent, qui était une cotisation personnelle, mais souvent pour des personnes ne pouvant se rattacher en qualité d'ayant droit d'un assuré social ; cette taxe a donc vocation à constituer une couverture sociale minimale, pour des personnes qui ne disposent que principalement d'importants revenus de capitaux ....
Cela veut-il dire que se trouvant en couple, un conjoint / partenaire de Pacs se trouvant dans cette situation, ne pourrait plus avoir la qualité d'
ayant droit social de son mari ou de son épouse /partenaire ?
Ou bien n'est-ce juste une question
de ponctionner une cotisation sociale (sous forme de taxation - pour les puristes du droit, on passe donc outre les distinctions entre impôt - taxe et/ou cotisation) sur un
revenu de biens patrimoniaux qui n'y était pas encore soumis ?
Une personne qui perçoit
principalement des revenus locatifs (soit en direct, soit via SCPI), se trouve-t-elle concernée par une telle disposition ?
Notre couple, percevant chacun de son côté une pension de retraite de source française, je ne crois pas me trouver visé (parmi les 45.000 résidents fiscaux de France .....)