Nicolas Lecoq Vallon et Hélène Feron-Poloni Robins des Bois des assurés

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rosario

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Bonjour,

Ayant lu il y peu des articles sur le thème "Nicolas Lecoq Vallon et Hélène Feron-Poloni Robins des Bois des assurés", je me dis que les petites victimes ont des espoirs face aux géants que représentent les compagnies d'assurance.

Je cite

"le cabinet d’avocats Lecoq-Vallon & Feron-Poloni vient d’annoncer officiellement l’ouverture du premier procès collectif (« class action ») en France sur un produit d’épargne, pour obtenir l’indemnisation du préjudice subi par les souscripteurs de contrats d’assurance vie qui n’ont pas distribué le rendement de 4,5% promis."

"La légalisation des actions de groupes (procès collectifs, ou « class actions ») ouvre de nouvelles perspectives aux victimes d’arnaques financières. Autorisées en France par la Loi Hamon du 17 mars 2014 (Loi 2014-344 au J.O. du 18/3/2014), avec des années de retard sur bien des pays civilisés, les actions de groupes ne sont réellement possibles que depuis la publication, le 1er octobre 2014, de leur décret d’application du 24 septembre, écrivions-nous à propos du nouveau scandale du Cref/Corem dans un article du 22 octobre 2014, en indiquant que le cabinet d’avocats Lecoq-Vallon & Feron-Poloni réfléchissait à cette option"

Pensez-vous que des actions sont envisageables en France également dans le secteur bancaire ?
 
Bonjour,

Ayant lu il y peu des articles sur le thème "Nicolas Lecoq Vallon et Hélène Feron-Poloni Robins des Bois des assurés", je me dis que les petites victimes ont des espoirs face aux géants que représentent les compagnies d'assurance.

Je cite

"le cabinet d’avocats Lecoq-Vallon & Feron-Poloni vient d’annoncer officiellement l’ouverture du premier procès collectif (« class action ») en France sur un produit d’épargne, pour obtenir l’indemnisation du préjudice subi par les souscripteurs de contrats d’assurance vie qui n’ont pas distribué le rendement de 4,5% promis."

"La légalisation des actions de groupes (procès collectifs, ou « class actions ») ouvre de nouvelles perspectives aux victimes d’arnaques financières. Autorisées en France par la Loi Hamon du 17 mars 2014 (Loi 2014-344 au J.O. du 18/3/2014), avec des années de retard sur bien des pays civilisés, les actions de groupes ne sont réellement possibles que depuis la publication, le 1er octobre 2014, de leur décret d’application du 24 septembre, écrivions-nous à propos du nouveau scandale du Cref/Corem dans un article du 22 octobre 2014, en indiquant que le cabinet d’avocats Lecoq-Vallon & Feron-Poloni réfléchissait à cette option"

Pensez-vous que des actions sont envisageables en France également dans le secteur bancaire ?

Ce qui peut être intéressant : http://www.lemonde.fr/vous/article/...e-groupe-votee-au-parlement_4365812_3238.html

"La nouvelle loi ouvre à des plaignants, quels qu'ils soient, le droit de saisir ensemble un seul juge pour obtenir d'un individu ou d'une personne morale réparation pour un même préjudice en matière de consommation et de concurrence. Pour éviter les dérives, le projet de loi prévoit cependant que tout recours en justice devra être mené par l'une des 16 associations agréées de défense des consommateurs"
 
Ayant lu il y peu des articles sur le thème "Nicolas Lecoq Vallon et Hélène Feron-Poloni Robins des Bois des assurés", je me dis que les petites victimes ont des espoirs face aux géants que représentent les compagnies d'assurance.

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"le cabinet d’avocats Lecoq-Vallon & Feron-Poloni vient d’annoncer officiellement l’ouverture du premier procès collectif (« class action ») en France sur un produit d’épargne, pour obtenir l’indemnisation du préjudice subi par les souscripteurs de contrats d’assurance vie qui n’ont pas distribué le rendement de 4,5% promis."

"La légalisation des actions de groupes (procès collectifs, ou « class actions ») ouvre de nouvelles perspectives aux victimes d’arnaques financières. Autorisées en France par la Loi Hamon du 17 mars 2014 (Loi 2014-344 au J.O. du 18/3/2014), avec des années de retard sur bien des pays civilisés, les actions de groupes ne sont réellement possibles que depuis la publication, le 1er octobre 2014, de leur décret d’application du 24 septembre, écrivions-nous à propos du nouveau scandale du Cref/Corem dans un article du 22 octobre 2014, en indiquant que le cabinet d’avocats Lecoq-Vallon & Feron-Poloni réfléchissait à cette option"

Pensez-vous que des actions sont envisageables en France également dans le secteur bancaire ?

Bonjour,

Les textes de loi restreignent quand même un peu le champ d'action des procédures, c'est certainement pour éviter que les tribunaux soient engorgés, déjà que les dossiers on du mal à suivre.

Mais en ce qui concerne le secteur bancaire, il y a beaucoup de contentieux pour la partie crédit, mais aussi la partie conseil, en particulier pour les assurances vie.

Donc il faudrait savoir dans quel domaine bancaire vous souhaitez agir.
 
Bonjour,

Ayant lu il y peu des articles sur le thème "Nicolas Lecoq Vallon et Hélène Feron-Poloni Robins des Bois des assurés", je me dis que les petites victimes ont des espoirs face aux géants que représentent les compagnies d'assurance.

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"le cabinet d’avocats Lecoq-Vallon & Feron-Poloni vient d’annoncer officiellement l’ouverture du premier procès collectif (« class action ») en France sur un produit d’épargne, pour obtenir l’indemnisation du préjudice subi par les souscripteurs de contrats d’assurance vie qui n’ont pas distribué le rendement de 4,5% promis."

"La légalisation des actions de groupes (procès collectifs, ou « class actions ») ouvre de nouvelles perspectives aux victimes d’arnaques financières. Autorisées en France par la Loi Hamon du 17 mars 2014 (Loi 2014-344 au J.O. du 18/3/2014), avec des années de retard sur bien des pays civilisés, les actions de groupes ne sont réellement possibles que depuis la publication, le 1er octobre 2014, de leur décret d’application du 24 septembre, écrivions-nous à propos du nouveau scandale du Cref/Corem dans un article du 22 octobre 2014, en indiquant que le cabinet d’avocats Lecoq-Vallon & Feron-Poloni réfléchissait à cette option"

Pensez-vous que des actions sont envisageables en France également dans le secteur bancaire ?

Bonjour,

Effectivement, dans les litiges de la construction, c'est intéressant, par exemple dans des opérations immobilières hasardeuses, ou des intervenants de mauvaise foi.

Mais il faut passer par une liste d'associations agréées, je vais essayer d'en retrouver la liste
 
Bonjour,

le cabinet d’avocats Lecoq-Vallon & Feron-Poloni vient d’annoncer officiellement l’ouverture du premier procès collectif (« class action ») en France sur un produit d’épargne, pour obtenir l’indemnisation du préjudice subi par les souscripteurs de contrats d’assurance vie qui n’ont pas distribué le rendement de 4,5% promis."

"La légalisation des actions de groupes (procès collectifs, ou « class actions ») ouvre de nouvelles perspectives aux victimes d’arnaques financières. Autorisées en France par la Loi Hamon du 17 mars 2014 (Loi 2014-344 au J.O. du 18/3/2014), avec des années de retard sur bien des pays civilisés, les actions de groupes ne sont réellement possibles que depuis la publication, le 1er octobre 2014, de leur décret d’application du 24 septembre, écrivions-nous à propos du nouveau scandale du Cref/Corem dans un article du 22 octobre 2014, en indiquant que le cabinet d’avocats Lecoq-Vallon & Feron-Poloni réfléchissait à cette option"

Pensez-vous que des actions sont envisageables en France également dans le secteur bancaire ?

Oui, tout-à-fait, ces actions sont envisagées aussi dans le domaine bancaire ou la finance :

Déjà 31.700 plaintes
Jusqu'ici, les banques et les compagnies d'assurance sont restées sourdes à toute demande. "Le droit des assurances n'instaure pas de droit individuel à la participation aux bénéfices, c'est un droit collectif", objecte Colette Cova, porte-parole de la Fédération bancaire française. Même sérénité à la Fédération française des sociétés d'assurances. "Ce n'est pas leur affaire, seules les banques sont attaquées", souligne un expert.

Mais aussi, pour se donner une idée des sommes en jeu :

AXA et AGIPI sont attaquées pour ne pas avoir respecté leur engagement contractuel garantissant un taux minimum de rémunération annuel de 4,50 % envers les épargnants qui ont souscrit ce contrat avant 1995. Une centaine de milliers de particuliers sont concernés et le préjudice individuel, très variable selon les montants épargnés, est souvent compris entre 1500 et 4000 euros.
Dans cette affaire la CLCV a retenu comme conseil le cabinet Nicolas LECOQ VALLON et Hélène FERON-POLONI.
Le préjudice collectif, qui sera déterminé lors de la procédure, devrait se situer entre 300 et 500 millions d’euros.
 
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