Investir start-ups -- how to

Merci!

N'y a t il pas selon vous un plus grand risque de solvabilite de ces organisations par rapport aux banques traditionnelles ?

Non.

Un contrat AV est souscrit et signé chez un assureur. C'est chez lui que les fonds du client sont et évoluent.
Banques traditionnelles, en ligne, courtiers internet ou CGP ... ne sont que des intermédiaires entre l'assureur et l'assuré.

Pour les banques traditionnelles, les assureurs sont de grosses maisons comme la CNP (Caisse d'épargne, banque postale...) ou des assureurs filiales de la Banque (Predica pour le CA par exemple etc....).

Mais pour les AV en ligne, les assureurs sont aussi de grosses maisons tout aussi importantes et solides : Generali, Axa... ou des assureurs filiales aussi de grandes banques: ACMN Vie, Suravenir (filiales du Crédit Mutuel), Spirica (du Crédit agricole) etc...
Donc, pas plus ou pas moins de risque de solvabilité.;)

Banques traditionnelles ou contrats en ligne, ce sont les mêmes qui sont derrière en fait, directement ou indirectement (par des filiales).:)
 
ne soyons pas trop dramatique!!! si tout le systeme s'ecroule et que même l'état ne peut garantir ce qu il affirme garantir ; vos 10 000 euros ne vous seront d aucun secours, car il n y aura plus rien a acheter et l'inflation rendra vos 10 000 euros à 50 centimes en 3 jours je vous conseille même dans ce cas , de ne plus rien avoir à part des victuailles; pour une somme de 10 000 euros toutes les banques ou assurances que nous connaissons comme notable garantissent ;
le vrai risque c'est que votre portefeuille au départ de 5000 euros , vous le geriez mal et qu il devienne 1000 euros ...cela c'est possible;ou alors quel l'état fasse faillite et que les fonds euros passe à 0; ca c'est un risque;
 
Merci!

N'y a t il pas selon vous un plus grand risque de solvabilite de ces organisations par rapport aux banques traditionnelles ?


Question très étonnante notamment en regard de votre question initiale, concernant l'investissement dans des sociétés hi-tech en cours de création (qui par définition sont peu ou pas solvables à court terme, ce qui explique leur besoin de capitaux privés) ! ;)
 
Mais un contrat d'assurance vie ce n'est pas que ça, loin s'en faut. Exemple, et non des moindres, dès la souscription vous y associez obligatoirement une clause bénéficiaire, ce qui vous permet de désigner librement le bénéficiaire de votre choix pour recevoir le capital versé ; vous pouvez aussi opter pour un rachat du capital sous forme de rente, éventuellement viagère.

entièrement d accord; mais avez vous déjà vu un "conseiller -commercial" d'un assureur connaitre réelment les subtilités pr exemple du demembrement de l assurance vie et de la donation temporaire d'usufruit? prenons le contrat d assurance vie là ou il nous convient le mieux (assurance ou banque) et demandons conseil gratuit aux notaires!!!
 
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