Zaphod Beeblebrox
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J’ai un vieux contrat d’assurance-vie (beaucoup plus de 8 ans) sur lequel un rachat total représenterait environ 12.000 € de plus-value, donc plus que les 4.600 € annuels. Si je sors tout cet argent pour financer la construction de ma future résidence principale, je vais payer des impôts sur cette plus-value.
Supposons qu’avant le 31 décembre 2022, je transfère une somme représentant 9.200 € de plus-value sur un PER ouvert pour l’occasion : si j’ai bien compris, je ne paie pas d’impôts sur cette opération grâce au dispositif temporaire mis en place par le gouvernement.
Entretemps, je lance le chantier de ma future résidence principale, alors que je suis déjà propriétaire de ma résidence principale actuelle. Ceci me permet de retirer rapidement la somme logée sur le PER. Le tout revient pratiquement à un rachat partiel sur l’assurance-vie avec abattement doublé.
Sur le papier je pense que ça marche (détrompez-moi si ce n’est pas le cas), mais est-ce le genre de situation qui peut conduire le fisc à me redresser pour m’apprendre à vouloir jouer les petits malins avec les abattements exceptionnels ?
Supposons qu’avant le 31 décembre 2022, je transfère une somme représentant 9.200 € de plus-value sur un PER ouvert pour l’occasion : si j’ai bien compris, je ne paie pas d’impôts sur cette opération grâce au dispositif temporaire mis en place par le gouvernement.
Entretemps, je lance le chantier de ma future résidence principale, alors que je suis déjà propriétaire de ma résidence principale actuelle. Ceci me permet de retirer rapidement la somme logée sur le PER. Le tout revient pratiquement à un rachat partiel sur l’assurance-vie avec abattement doublé.
Sur le papier je pense que ça marche (détrompez-moi si ce n’est pas le cas), mais est-ce le genre de situation qui peut conduire le fisc à me redresser pour m’apprendre à vouloir jouer les petits malins avec les abattements exceptionnels ?