Rotheneuf Eau et Littoral Nouveau site Internet

la préservation de l'environnement ne devrait pas être entachée par des considérations économiques ou personnelle

Bien sur qu'elle doit l'être... Les ressources sont limitées, tout est choix entre des options. Dépenser 1€ pour, par exemple, réduire les émissions de CO2 de 50%, ROI évident. Dépenser 10 milliards d'€ du contribuable français pour sauver un bousier en Amazonie, ROI évident, dans l'autre sens. L'argent n'est pas illimité, et il faut faire des choix. La préservation de la nature n'est pas un objectif ultime qui efface tout raisonnement économique.

Et à nouveau, choisir de ne rien construire, c'est faire un choix financier très fort, défendre ceux qui sont déjà propriétaires. Exactement comme à Paris, où ne pas construire en hauteur, c'est peut-être un choix esthétique mais surtout entretenir une pénurie au profit des propriétaires actuels. Donc indépendamment de savoir si le hanneton doré va bien ou pas, je trouve ça choquant qu'on puisse dire que son action est "pure", "non entachée de considérations économiques ou personnelles" alors que c'est tout l'inverse. L'immobilier est hors de prix à Saint Malo, ne rient construire revient à défendre les intérêts des riches qui ont déjà leur logement. Pardonnez-moi de ne pas être d'accord pour que la législation cherche à protéger ceux qui ont déjà tout !

A nouveau, zéro avis sur le sujet des zones humides, mais je suis vraiment irrité qu'on puisse se dire ainsi pur et propre, alors que les saisonniers n'arrivent pas à se loger et que les locaux doivent fuir à parfois des dizaines de kilomètres pour trouver des logements accessibles... Il y a évidemment un arbitrage à faire ; quelle caricature de se dire ainsi "les gentils contre les méchants", alors que l'absence de construction dans des zones tendues revient à pénaliser des personnes qui sont tout sauf fortunées, au profit de la défense des prix de l'immobilier des riches...

Evitons les raccourcis et les raccourcis faux, qui plus est par un compte sorti de nul part, venu ici juste pour faire de la pub. Le débat mérite mieux.
 
Dernière modification:
Le sujet est complexe mais tout sujet réel est complexe alors que toute représentation médiatisée peut être manichéenne.

Surtout, il y a déjà tout un tas de documents cadres et d'institutions qui incluent la problématique de cette zone humide. SCOT, PLUi, Agence de l'Eau, Office de la Biodiversité...

Rappelons-nous que le même schéma de défense de l'environnement par les gentils face aux intérêts des méchants a engendré le sabordage de l'industrie électronucléaire française.

Tout est décidément bien complexe. Bon courage aux politiques.
 
Bonjour,

Et à nouveau, choisir de ne rien construire, c'est faire un choix financier très fort, défendre ceux qui sont déjà propriétaires.
Je crois que Rotheneuf Eau et Littoral ne s'oppose pas à des constructions sur Saint Malo, mais refuse des constructions sur des zones humides.
Donc il ne s'agit pas "de ne rien construire" mais de ne pas construire sur des zones sensibles. Ce n'est pas du tout pareil. ¨
Les décisions du Tribunal Administratif consultables sur le site de cette association confirment ce propos.
De plus au cours des dernières années de nombreuses constructions ont été réalisées ce qui, sur le seul plan esthétique, non seulement ne contribue pas à l'embellissement de ce quartier, mais l'abîme. Il ne semble pas possible de sacrifier la beauté d'un site et la détérioration de l'environnement pour faire des constructions et faire de la cote entre saint malo intra muros et Cancale une nouvelle "Costa Brava".

Juste une précision personnelle je ne suis pas résident et/ou propriétaire à Saint-Malo.
 
Bonjour,

De tous temps, certains sujets ont divisé les esprits, pris en étau entre la raison et la passion. Si l'histoire du vingtième siècle nous a légué le partage des richesses comme une énigme insoluble, le vingt-et-unième siècle nous confronte à un défi encore plus monumental : l'écologie.

Malgré les arguments pertinents avancés par Axiles, PepeR, Vivien, Rel, Aristide, Buffeto, Lopali, Gm43, et d'autres, ainsi que les miens, bien que modestes, nous devons admettre que l'accord entre nous demeure illusoire.

Pourtant, dans cette divergence d'opinions, émerge une unité singulière : l'acceptation de nos désaccords. En diplomatie, la reconnaissance de cette concorde dans la dissonance marque un premier pas vers une écoute authentique. Bourdieu nous enseigne que le débat, la discussion, sont les signes vitaux d'un désaccord fécond.

L'intelligence commande de transcender cette dualité. Si nos prédécesseurs ont jadis débattu d'équité, nos enjeux actuels surpassent la simple quête de justice : il s'agit de notre survie même. Sur ce sujet vital de l'écologie, certains peuvent ignorer l'évidence, mais la réalité demeure implacable : il s'agit de notre essence, de notre existence sur cette planète.

Face à ce précipice, chacun doit choisir sa voie. Plutôt que de nous perdre dans un concert discordant de voix, respectons chaque opinion.

Dans cette époque cruciale de l'histoire de l'humanité, je refuse de demeurer un simple spectateur passif, un commentateur anonyme. Je choisis l'action, guidé par le respect envers ceux qui agissent concrètement pour protéger notre environnement. Comme le soulignait avec sagesse Mahatma Gandhi : "Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde".

Je me tourne vers ceux qui incarnent ce changement, l'association "Rel" en l’occurrence et en la situation, qui œuvrent avec détermination et persévérance pour préserver notre planète. J'admire ceux qui se lèvent pour protéger notre précieuse biodiversité, notre air pur, et nos océans limpides, plutôt que de se laisser emporter par l'apathie ou la fuite.
Vous dérangez ? Vous serez critiqués !
Vous êtes critiqué ? Soyez-en fort aise !
Vous serez voué aux gémonies ? Remerciez vos délateurs de la publicité qu'ils vous font !
Vous serez accusés de partialité ? Ce sont de gros intérêts qui proféreront ces haines !
Vous serez accusés d'intérêts partisans ? Soyez certains que ce sont qui en ont d'une autre ampleur qui les profèrent !
Ignorez ces bassesses, tracez votre chemin, gardez en tête cette belle phrase de René Char (Rougeur des matinaux) :

"Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque. A te regarder, ils s’habitueront"​


Pour ma part, ma position est claire : je privilégie l'action sur les mots.
Les acteurs aux commentateurs.
Les agisseurs aux donneurs de leçons.
Les faiseurs plutôt que les causeurs.
Les opérationnels aux jacasseurs.
Je respecte ceux qui protègent plutôt que ceux qui se contentent de commenter ou de critiquer sans agir.

Nous habitons une terre fragile, mais que cette fragilité nous unisse, au moins sur ce point essentiel.
 
Dernière modification:
Bonjour,
il s'agit de notre survie même. Sur ce sujet vital de l'écologie, certains peuvent ignorer l'évidence, mais la réalité demeure implacable : il s'agit de notre essence, de notre existence sur cette planète.



Je me tourne vers ceux qui incarnent ce changement, l'association "Rel" en l’occurrence et en la situation, qui œuvrent avec détermination et persévérance pour préserver notre planète. J'admire ceux qui se lèvent pour protéger notre précieuse biodiversité, notre air pur, et nos océans limpides, plutôt que de se laisser emporter par l'apathie ou la fuite.
Vous dérangez ? Vous serez critiqués !
Vous êtes critiqué ? Soyez-en fort aise !
Vous serez voué aux gémonies ? Remerciez vos délateurs de la publicité qu'ils vous font !
Vous serez accusés de partialité ? Ce sont de gros intérêts qui proféreront ces haines !
Vous serez accusés d'intérêts partisans ? Soyez certains que ce sont qui en ont d'une autre ampleur qui les profèrent !
Ignorez ces bassesses, tracez votre chemin, gardez en tête cette belle phrase de René Char (Rougeur des matinaux) :

"Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque. A te regarder, ils s’habitueront"​


Pour ma part, ma position est claire : je privilégie l'action sur les mots.
Les acteurs aux commentateurs.
Les agisseurs aux donneurs de leçons.
Les faiseurs plutôt que les causeurs.
Les opérationnels aux jacasseurs.
Je respecte ceux qui protègent plutôt que ceux qui se contentent de commenter ou de critiquer sans agir.

Nous habitons une terre fragile, mais que cette fragilité nous unisse, au moins sur ce point essentiel.
Bonsoir warf,
Vous n'êtes pas un petit peu excessif dans vos propos :rolleyes:

Si je comprends bien, vous partez d'un quartier dans un coin de Bretagne pour sauver la planète ?

Concrètement que proposez vous ?

Qui puisse être réalisable à moyen terme avec une adhésion des populations sans que vous passiez votre temps à nous culpabiliser et surtout que ceux qui décident les mesures les appliquent également à eux mêmes.

Mais sur le principe je suis plutôt d'accord avec vous. ;)
 
Bonjour,

Merci, nono52, pour votre commentaire pertinent. Vous soulevez une question cruciale : comment aborder efficacement les défis écologiques ? N’est-il pas ridicule, en voulant préserver une zone naturelle, d’un petit coin de Bretagne, de prétendre sauver la planète ? ;)

En France, nous avons souvent recours à une approche jacobine, une sorte de coup de baguette magique descendu d'en haut pour régler tous les problèmes d'un seul coup. Pour rappel, à l'origine, ce fut le découpage de la France en quatre-vingt-trois carrés identiques dessinés par Thouret ; le summum de l'absurde par cette recherche de similarité. Pour répondre à votre demande de proposition, ne serait-il pas temps d'opter pour une approche plus girondine ?

Imaginez un réseau dense d'actions locales, telles que celles menées par Rotheneuf Eau et Littoral, s'élevant contre les constructions sur des zones humides, une bataille menée au niveau le plus proche des citoyens concernés. Qui, multipliées, par capillarité, tranquillement, puissamment, instilleraient des réflexes et des pratiques allant dans le sens de l’enjeu identifié ?

Certes, ce n'est pas une solution instantanée ou magique. Et, vous avez raison, elle doit éviter le piège de la culpabilisation, car personne ne souhaite une écologie punitive !

Il est crucial de reconnaître la diversité des défis et des ressources dans chaque région, et d'impliquer les acteurs locaux dans le processus décisionnel.
Regardez le triste exemple du Zéro Artificialisation Nette. Une mesure ex cathedra venu de Paris, certes positive ; puis le démantèlement regrettable de la mesure au niveau national, toujours venu de Paris ? Quel signal désolant envoie-t-on ainsi aux acteurs locaux ? L'exemple type de la main mise des hauts fonctionnaires souhaitant une planification géographique dont ils seraient les "Deus Ex Machina".

De plus, une approche girondine encourage l'innovation et l'expérimentation. En donnant aux régions et aux communautés locales la liberté de tester différentes approches, nous pouvons découvrir ce qui fonctionne le mieux dans chaque contexte et partager les meilleures pratiques à grande échelle.

En somme, je suis convaincu qu'une approche girondine, décentralisée et participative, est cruciale pour relever les défis environnementaux auxquels nous sommes confrontés. C’est vrai, nous n’y sommes pas habitués. Raison de plus pour s’y mettre…

Merci encore pour votre contribution précieuse à cette discussion animée.

Et vous, qu'en pensez-vous ?
  • Quelles seraient vos suggestions pour une approche plus efficace de la protection de l'environnement à l'échelle locale ?
  • Vous parait-il logique, pour des constructions dont il ne s’agit pas de nier l’utilité, de les mettre précisément en un endroit qui abrite des zones humides ?
  • L'aire de Saint-Malo ne comporterait aucune friche industrielle ou aucun terrain urbanisé pour accueillir ce projet ?
 
En somme, je suis convaincu qu'une approche girondine, décentralisée et participative, est cruciale pour relever les défis environnementaux auxquels nous sommes confrontés. C’est vrai, nous n’y sommes pas habitués. Raison de plus pour s’y mettre…
Bonjour, Warf,
merci pour votre laïus, vous m'avez rajeuni d'une cinquantaine d'années.
A cette époque, je m'étais retrouvé par hasard dans une réunion "politique" où des personnes de mon âge discouraient très sérieusement, un peu comme vous le faites mais l'objectif était quand même de s'écouter parler et cela leur procurait une satisfaction visible.
une succession de mots, d'idées mal digérées. A l'époque, leur rock star était Pol Pot...
bonne journée
 
Bonjour,

Vos questions sont intéressantes et les réponses devraient permettre d'avoir des échanges constructifs

Vous parait-il logique, pour des constructions dont il ne s’agit pas de nier l’utilité, de les mettre précisément en un endroit qui abrite des zones humides ?

C'est exactement le problème. Chacun peut reconnaître qu'il y a, à Saint Malo (et ailleurs dans lez zones touristiques), un besoin pour les saisonniers, les jeunes ménages et autres. Construire sur les zones humides de Rothéneuf, qui de plus sont protégées pour partie par la Loi Littoral, ce n'est pas la solution, car les prix de vente excluront les habitants qui recherchent une habitation.

  • L'aire de Saint-Malo ne comporterait aucune friche industrielle ou aucun terrain urbanisé pour accueillir ce projet ?
Il existe un site officiel qui répertorie les friches industrielles voir ICI et en effet il y a ce type de zone qui permettrait de proposer des logement financièrement plus abordables.

Bonne journée
 
Bonjour et un grand merci Vivien,

Votre lien nous éclaire en effet utilement sur une friche existante à Saint-Malo. Grâce à vous, je vous propose le lien direct vers celle-ci ICI.

Que nous apprends ce document, sous l’appellation "Appel à projet recyclage foncier 2021 (dossier 3571376)" ?
Qu'il existe 51 244 m², qui ont été pris à la nature, qui n'attendent qu'à être utilisés !!!
Je n'ose faire le calcul, sur la base d'un Cos, plus que prudent de 2, en hyper centre ville : cela pourrait représenter près de 100 000 m² de logements... Chacun pourra imaginer le nombre d'appartements qu'il serait possible de bâtir !

L'association Rothéneuf Eau et Littoral doit certainement connaître ce site, tout comme l'existence de multiples autres possibilités de reconvertir des bâtis existants, voire de les sur-élever.
Très étonnant que, dans ce contexte, naissent un projet qui, non seulement prenne sur la nature, mais ambitionne de détruire une zone humide ...

Quoiqu'il en soit, je témoigne à cette association toute mon admiration pour leur travail. Ils semblent affronter de gros intérêts, qui n'hésitent sans doute pas à user de tous les moyens pour arriver à leur fin.
Ils sont grandement aidés, et c'est toujours un mystère, par une foison de petits messieurs, souvent gris. Qu'ils végètent dans leurs certitudes du passé :sneaky:

Vu sous un autre angle, je me permets de vous soumettre cet excellent site ICI qui, là encore, donne une vision précise, commune par commune, de données essentielles sur l'effort ou non effectué par les communes et les collectivités.
On y observe un taux de vacance de 5,4%. Ne serait-ce point là une piste ?
On note également que ce sont 2,63 hectares qui ont été consacrés à l'habitat. La période n'est pas ici indiquée. N'étant pas de Saint-Malo, je ne sais quelle importance attribuer à ce chiffre. Si quelqu'un pouvait nous en dire plus ?

Bonne journée
 
Bonjour,

Merci, nono52, pour votre commentaire pertinent. Vous soulevez une question cruciale : comment aborder efficacement les défis écologiques ? N’est-il pas ridicule, en voulant préserver une zone naturelle, d’un petit coin de Bretagne, de prétendre sauver la planète ? ;)

En France, nous avons souvent recours à une approche jacobine, une sorte de coup de baguette magique descendu d'en haut pour régler tous les problèmes d'un seul coup. Pour rappel, à l'origine, ce fut le découpage de la France en quatre-vingt-trois carrés identiques dessinés par Thouret ; le summum de l'absurde par cette recherche de similarité. Pour répondre à votre demande de proposition, ne serait-il pas temps d'opter pour une approche plus girondine ?

Imaginez un réseau dense d'actions locales, telles que celles menées par Rotheneuf Eau et Littoral, s'élevant contre les constructions sur des zones humides, une bataille menée au niveau le plus proche des citoyens concernés. Qui, multipliées, par capillarité, tranquillement, puissamment, instilleraient des réflexes et des pratiques allant dans le sens de l’enjeu identifié ?

Certes, ce n'est pas une solution instantanée ou magique. Et, vous avez raison, elle doit éviter le piège de la culpabilisation, car personne ne souhaite une écologie punitive !

Il est crucial de reconnaître la diversité des défis et des ressources dans chaque région, et d'impliquer les acteurs locaux dans le processus décisionnel.
Regardez le triste exemple du Zéro Artificialisation Nette. Une mesure ex cathedra venu de Paris, certes positive ; puis le démantèlement regrettable de la mesure au niveau national, toujours venu de Paris ? Quel signal désolant envoie-t-on ainsi aux acteurs locaux ? L'exemple type de la main mise des hauts fonctionnaires souhaitant une planification géographique dont ils seraient les "Deus Ex Machina".

De plus, une approche girondine encourage l'innovation et l'expérimentation. En donnant aux régions et aux communautés locales la liberté de tester différentes approches, nous pouvons découvrir ce qui fonctionne le mieux dans chaque contexte et partager les meilleures pratiques à grande échelle.

En somme, je suis convaincu qu'une approche girondine, décentralisée et participative, est cruciale pour relever les défis environnementaux auxquels nous sommes confrontés. C’est vrai, nous n’y sommes pas habitués. Raison de plus pour s’y mettre…

Merci encore pour votre contribution précieuse à cette discussion animée.

Et vous, qu'en pensez-vous ?
  • Quelles seraient vos suggestions pour une approche plus efficace de la protection de l'environnement à l'échelle locale ?
  • Vous parait-il logique, pour des constructions dont il ne s’agit pas de nier l’utilité, de les mettre précisément en un endroit qui abrite des zones humides ?
  • L'aire de Saint-Malo ne comporterait aucune friche industrielle ou aucun terrain urbanisé pour accueillir ce projet ?
Bonjour,
Le citoyen lambda n'a aucun moyen à sa disposition pour faire évoluer cette situation qui est liée à notre système de vie que personne ne veut remettre en cause.
Et surtout pas les maires, dirigeants, politiques tous ceux qui profitent des taxes pour pourvoir les dépenser sans contrôle. (voir avec la TH supprimée, tout le monde "pleure" et on arrive même à trouver des citoyens qui se plaignent de ne plus la payer)
Par contre je ne vois autour de moi que des personnes respectueuses de l'environnement, qui font attention, ne font pas leurs déplacements uniquement en voiture, la nuit tout est éteint, du sérieux, de la vraie écologie responsable, du bon sens !

Vous avez peut être une vision idyllique de la vie, mais une maman qui doit emmener ses enfants à l'école, faire ses courses, etc.... le vélo ça va 5 minutes en province hors des agglo, il n'y a aucun mode de transport alternatif et les VE (à voir le vrai bilan CO2 en plus ) hors de prix réservés à l'élite bien pensante n'est pas accessible aux gens qui ont besoin de leurs voitures pour bosser.
Je suis peut être terre à terre mais c'est la réalité.

Les zones humides :
j'ai bien prendre l'exemple du Marais Poitevin qui au cours des siècles a été asséché pour diverses raisons et à présent que l'océan veut reprendre sa place, c'est de notre faute pauvre consommateur inconscient ! qui fait n'importe quoi !

Un petit article: https://www.lanouvellerepublique.fr/deux-sevres/le-marais-poitevin-menace-par-la-montee-de-l-ocean

Et que dire des constructions dans les lits mineurs des rivières et fleuves, et quand ce n'est pas dans le lit majeur !
Toujours le fameux réchauffement climatique en été et le dérèglement climatique en hiver.
Que voulez vous faire, quand ça arrange les politiques (et mêmes les écolos) vous devez être un consommateur et lors des catastrophes qui découlent de leurs agissements, vous devez vous transformer en citoyen (la main sur le coeur) responsable qui doit faire des efforts, plus d'avion, à pied, se laver à l'eau froide etc ....
Finalement c'est toujours de notre faute !

PS: Je ne connais pas assez Saint-Malo pour porter un jugement sauf intra-muros où je trouve qu'il n'y a plus rien d'authentique et qui se transforme un peu comme le Mont St Michel. La faute à qui ?
 
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