last night the DJ save my life..............

à ajouter au florilège des inepties entendues ca et là , ce matin Jean Luc M......... ( bruiteur furieux) : " on ne paye jamais assez d’impôts pour une bonne cause "

question philosophique sous tendue , dis moi Mr le bruiteur furieux , c'est quoi "une bonne cause " ?

parce qu'à ce compte là on n'a pas fini de payer....:eek:
 
Bonjour Buffeto

Ben, je vais te donner - vu de ma fenêtre - un exemple de bonne cause et un de mauvaise cause

Bonne cause : impôt pour financver un service public indispensable (hopital...)

Mauvaise cause : mettre 60.000€ dans "Air Force Sarko One" pour transformer cet Air Bus en changeant un four à réchauffer en un four à griller.

Cdt
 
Bonne cause : impôt pour financver un service public indispensable (hopital...)

oui l’hôpital pourrait être une bonne cause si........ s'il était bien géré et non pas un gouffre sans fin réceptacle de tous les travers du dilapidage collectif de nos propres ressources financières ( et je sais de quoi je parle es matière de santé publique ....:oops:)
 
Oui, Buffeto, je suis d'accord avec toi mais là tu abordes un autre problème; celui évoqué c'est une mise en adéquation avec les besoins d'infrastructures hospitalières financée par l'impôt.
Ce n'est pas la gestion desdites infrastructures.

On pourrait d'ailleurs transposer sur des écoles/universités, prisons,.....???

Cdt
 
on ne paye jamais assez d’impôts pour une bonne cause

c'est quoi "une bonne cause " ?

En conclusion tu sembles donc d'accod pour dire qu'il y a de bonnes causes pour l'impôt :

=> Les infrastructures utiles, à fortiori indispensables, pour des services d'utilité publique
+ Hôpitaux
+ Écoles/Universités
+.....

Et des mauvaises causes comme :
+ Four à griller remplaçant le four à réchauffer "d'Air Sarko One"
+ La mauvaise gestion des services publics.

cdt
 
En conclusion tu sembles donc d'accod pour dire qu'il y a de bonnes causes pour l'impôt :

je n'affirme rien , je posais la question au bruiteur furieux.......

ceci dit les bonnes causes pour l'impot ne le sont que si elles vont de pair avec une gestion rigoureuse de la manne publique ......ce qui est loin d’être le cas actuellement.
 
à ajouter au florilège des inepties entendues ca et là , ce matin Jean Luc M......... ( bruiteur furieux) : " on ne paye jamais assez d’impôts pour une bonne cause "

question philosophique sous tendue , dis moi Mr le bruiteur furieux , c'est quoi "une bonne cause " ?

Celle pour laquelle on peut mourir "mais de mort lente ?"

Mon opinion est que personne ici ne nie l'utilité de l'impôt. Nous avons tous profité et profitons encore de l'intervention de l'Etat : nos routes, notre santé, notre sécurité, etc etc.

La contribution à l'impôt est d'ailleurs inscrite dans la déclaration des droits de l'homme de 1789 :
Art. 13. -

Pour l'entretien de la force publique, et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.

Art. 14. -

Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.

Ou alors de reprendre la devise (ou le principe, je ne sais plus) de l'Union Soviétique : de chacun selon ses moyens à chacun selon ses besoins.

A l'ineptie de Claude B ou de Jean-Michel M, je répondrais que :

oui, bien évidemment. Vous enfoncez même des portes ouvertes. MAIS l'utilité que vous imaginez de l'impôts est soumis à des fins partisans, que votre appréciation de l'utilité de l'impôt conduit à donner une carte blanche aux dépenses, que nous ne pouvons pas tolérer que telle augmentation de l'impôt est au bénéfice que d'une seule catégorie de personne, que la contribution que vous demandez conduit à exproprier les citoyens de leurs richesses pour un bien commun dont l'existence devient de plus en plus hypothétique, qu'alors que nous devrions tous profiter de l'impôt, nous imaginons plutôt être volé de notre travail, de nos efforts.

Alors, non, une bonne cause n'est pas une carte blanche.
 
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