Audience avec juge de proximité contre le CSF

titecec29

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Bonjour,

Comme beaucoup d'entre vous, mon mari et moi avons signé un prêt soi-disant capé via le CSF.
Nous avons signé ce prêt en septembre 2006. Nous avons compris notre erreur en octobre 2008 et racheté le prêt par une autre banque en novembre 2008. J'ai essayé de faire renégocier par la BNP (organisme prêteur) mais ce n'était pas intéressant. J'ai demandé des explications au CSF, mais la personne nie m'avoir parlé d'un taux capé.
Après divers rendez-vous, entretiens téléphonique, mails et courriers, aucune réponse satisfaisante nenous a été donnée.
Nous avons donc décidé de contacter notre assistance juridique.
De là, nous avons rencontré un avocat. Il y a en effet pas moyen de prouver le soi-disant taux capé (c'est leur parole contre la nôtre). Par contre il y a un manquement de conseil.
C'est pourquoi, l'avocat a accepté de nous défendre et de poursuivre l'affaire au tribunal.
Nous passons devant le juge de proximité le 26 mai 2009.
Pour avoir un dossier en béton, j'ai besoin d'un maximum de preuves contre le CSF. L'avocat pense que nous pourrions faire jurisprudence.
C'est pourquoi, j'aimerai savoir si vous, qui avez été abusé par le CSF, seriez d'accord de m'envoyer vos témoignages par écrit avec toutes les références possibles (n° adhérent CSF, organisme de prêt, les divers courriers et réponses....), enfin tout ce qui peut prouver leur mauvaise foie.
Nous allons peut-être pouvoir ouvrir une voie vers la justice...
En vous remerciant d'avance.
Titecec29
 
Bonjour

Avis aux personnes interressées, merci de faire vos demandes et témoignages par messagerie privée, vu qu'il y a une procédure judiciaire en partance, vous ne devez pas par principe laisser "trainer" vos témoignages en ligne.

Merci à titecec29 pour sa demande qui pourra en réjouir plus d'un.

Dernier point qui demande éclaicisement, attaquer vous uniquement votre centre de conseil ou le CSF en entier ?
Au niveau du tribunal c'est important car si votre demande est locale seul le centre CSF avec qui vous avez souscrit le prêt est concerné et seul les témoignages concernant cette agence seront "recevables".

Merci donc de préciser la ville concernée. (Et pas de nom de personne SVP).
 
Nous attaquons le CSF en entier. Ils ont d'ailleurs pris un avocat à Paris. Le nôtre attend ses conclusions.
Je ne manquerais pas de vous tenir au courant.
 
bonjour,

ma femme et moi avons pris un prêt à taux "semi-cappé" selon les dire de notre conseiller CSF, fin 2004. Aujourd hui, nous nous retrouvons avec des mensualités de +30% chez bnp paribas invest immo >.<

Rien n'a été écrit hélas, mais notre conseiller CSF nous a fortement invité à prendre un prêt à taux "semi-cappé" par rapport à un taux fixe car il nous permettait d'avoir plus d'argent pour l'achat immobilier. Il nous a garanti verbalement qu'on ne pouvait au pire que payer 2 années supplémentaires, mais que nous garderions le même montant mensuel. Un mensonge éhonté quoi...

Vous trouverez d'autres témoignages sur le net, car nous sommes nombreux en france à avoir été victimes de la politique du CSF en matière de crédit. Vous pouvez m'écrire un mail si vous souhaitez un témoignage plus précis.
 
bonjour je suis nouveau sur ce forum et j'attend quelques conseils afin de pouvoir me liberer d'un prêt contracter en 2005 avec le csf à taux variable ( présenté comme bloqué à l'époque ) et avec la banque entenial devenu crédit foncier.
Actuellement, je suis toujours en attente d'une proposition de crédit foncier depuis 1 an, (lettre m'informant que le taux était bloqué à 6 pour cent, mais rien de sérieux ).
Le csf quant à eux, déclare qu'il a fait son maximun. :eek:

Je désire me joindre à une action en cours, tant contre le csf et également contre le crédit foncier.
Merci de vos réponses
 
j'ai contracté moi aussi en avril 2005 un prêt au CSF "enténial" fusionné au crédit foncier. Ce prêt est à taux variable, indexé au TIBEUR tous les 3 mois.
Je ne me suis pas aperçue de l'arnaque parce que les mensualités ne changeaient pas sur l'année jusqu'à ce que je finisse par constater que la durée du prêt s'allongeait. Au dernier décompte (mars 2009) les mensualités ne paient quasiment plus que les intérêts (mensualité de 953€ avec 849 € d'intérêt et 33 € de capital). Enténial m'avait affirmé que en fonction de la conjoncture, il me préviendraient pour me proposer des réajustements et des conseils (envisager le taux fixe). Aujourd'hui, je suis à la recherche d'une banque qui propose un taux inférieur au CF, le mien est actuellement à 6.85 alors que je l'ai démarré à 3.40. les propositions de rachat qui me sont faites me coutent plus de 4000 € plus le paiement du courtier à 650€ et je perds les 4 ans de versements depuis avril 2005 (plus de 10 000). Les explications qui m'ont été données me laissent comprendre que je ne peux rien faire! peut être essayer le loto ?
 
Bonsoir,

Voici les dernières nouvelles :
*changement d'avocat car celui que nous avions travaille indirectement pour la BNP (qui vient de racheter l'entreprise pour laquelle il travaillait)
* l'audiance de février contre la BNP n'a rien donné car celle-ci a demandé un report, qui aura lieu le 25 mai

donc pour l'instant rien de bien nouveau. comme toujours on attend !!

dès qu'il y a du nouveau je le signalerai.
 
Bonjour,
Je suis dans la même situation que vous et j'aimerais avoir des renseignements sur les suites de votre affaire. Quant à moi, j'ai signé un prêt avec BNP en passant par le CSF en août 2005. En septembre 2006 mes mensualités passaient de 950 à presque 1200 €. Nous avons tenté de joindre les services du CSF (sans succès)... Finalement nous avons racheté notre crédit en janvier 2007 avec frais... Je me tourne donc vers vous pour savoir si vous aviez obtenu des résultats et surtout si vous aviez besoin de mon témoignage (beaucoup de lettres et documents à l'appui): entre les frais et le crédit en lui-même nous estimons notre préjudice à environ 15 000 €. J'attends de vos nouvelles.
Cordialement
 
Dernière modification par un modérateur:
Je découvre ce sujet grâce à cette remontée et deux choses me surprennent:

- une action devant le juge de proximité? En principe, et vu le montant en cause, il n'est pas compétent. Et ses décisions n'ont pas vocation à faire jurisprudence, je m'étonne donc de la remarque de l'avocat (écarté?).

- je m'étonne tout autant qu'il n'y ait "pas moyen de prouver le soi-disant taux capé", le contrat étant écrit. Disons plutôt: un capé tordu?

Enfin sur quelle demande le CSF était-il attaqué, le prêt ayant été racheté?
 
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